Charles Sanders Peirce Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Peirce . Biographie[modifier | modifier le code] Vie[modifier | modifier le code] Cambridge (près de Boston), où Peirce est né et a grandi, New York, qu'il a souvent fréquenté et où il a parfois vécu, et Milford, où il a passé les dernières années de sa vie Juliette. Vers l'âge de douze ans, il lit un livre de logique de l'évêque Richard Whately et devient fasciné par les problèmes de logique au point de penser les problèmes à travers elle[2]. Peirce souffre depuis son adolescence de troubles nerveux qui de nos jours pourraient être diagnostiqués comme une névralgie du trijumeau. Juliette et Charles chez eux à Arisbe en 1907. Il obtient un premier diplôme de Harvard en 1859 et ne sait pas exactement ce qu'il va faire, puis il intègre l'équivalent de la faculté des sciences de Harvard, où il décroche un diplôme de chimie avec mention Summa cum laude (Très bien) en 1863. Philosophie[modifier | modifier le code] i.
Ekphrasis: problématiques majeures de la notion Ce terme de rhétorique désigne à l'origine toute description puis se spécialise pour signifier « description d'une œuvre d'art ». Selon G. Molinié (Dictionnaire de rhétorique, Le Livre de Poche, 1992, p. 121), « cette représentation est donc à la fois elle-même un objet du monde, un thème à traiter, et un traitement artistique déjà opéré, dans un autre système sémiotique ou symbolique que le langage. » En termes de rhétorique, cet auteur signale que la spécificité de ce lieu est qu'il constitue une « indexation de la valeur de culture ». 1 : Anachronisme de l'ekphrasis L'œuvre d'art et sa description sont le plus souvent produites à des moments différents, par des auteurs différents, voire dans des lieux différents. 2 : Pragmatique de l'ekphrasis Corollairement à la proposition précédente, il faut considérer que la description d'une œuvre ne peut pas avoir exactement la même fonction sociale que cette œuvre elle-même. tableau / spectateur <> descripteur->lecteur Nicolas Wanlin
Analyse sémiologique & Etudes marketing Les conditions d’attractivité des marques : une marque, ce n’est pas qu’un fabricant et un commerçant, c’est aussi une auto-contrainte Self-binding et profondeur de marque Pourquoi le consommateur parvient-il à se projeter dans la marque, pourquoi la performativité fonctionne-t-elle si bien ? Parce que les marque se performent elles-mêmes, s’imposent des règles. Lacan et le stade du miroir L’enfant passe devant une glace des dizaines de fois sans y prêter attention, puis un beau jour il se reconnaît. Les marques se forcent à correspondre à un idéal qu’elles se fixent, qu’elles créent, et c’est en se forçant à correspondre à cet idéal qu’elles créent cet idéal. Face à un marché capitaliste de masses, par définition libre et anonyme, comment la marque peut-elle créer sa propre attractivité, comment peut-elle inspirer la confiance ? − les dépenses qu’elle fait dans ce but ; − les messages qu’elle émet, notamment publicitaires, pour exister en tant qu’entité symbolique. > La nécessité d’un tiers
Ekphrasis - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une ekphrasis[2], au pluriel : ekphraseis[3] (grec ancien εκφραζειν, « expliquer jusqu'au bout »)[4], est une description précise et détaillée. Dans l'Antiquité, le terme désigne toute évocation vivace d'un sujet donné[5]. À l'époque moderne, les manuels regroupant les figures de style restreignent l'ekphrasis aux évocations d'un objet ou d'une œuvre d'art, réelle ou fictive, description souvent enchâssée dans un récit. L'ekphrasis classique peut correspondre sur le plan du style à l'hypotypose (description animée)[réf. nécessaire]. Sens antique et sens moderne[modifier | modifier le code] L’ekphrasis antique[modifier | modifier le code] Définition moderne[modifier | modifier le code] L'ekphrasis comme description d'une œuvre d'art[modifier | modifier le code] Les ekphrasis d'œuvres d'art dans la littérature antique[modifier | modifier le code] Le peintre s'autoreprésentant en train de peindre est un thème d'ekphrasis courant[11].
Laboratoire de résistance sémiotique-Université du Québec à Montréal Umberto Eco : Le processus sémiotique et la classification des signes Suivez-nous Eco La sémiotique touchant une diversité de signes différents, Eco a élaboré une classification qui distingue notamment les signes artificiels des signes naturels, auxquels nous nous limitons dans ce chapitre. Les signes naturels se divisent en deux classes : (1) les signes identifiés avec des choses ou des événements naturels (ex. : la position du soleil); (2) les signes émis inconsciemment par un agent humain (ex. : des boutons indiquant une varicelle) (cette classe comporte plusieurs sous-classes). Il en va de même avec les signes artificiels, qui sont ou (1) produits explicitement pour signifier (ex. : l’aboiement d’un chien), ou (2) produits explicitement comme fonction première (ex. : une chaise pour s’asseoir), seconde (ex. : un collier en diamants pour la richesse), mixte (ex. : un uniforme de policier, pour à la fois couvrir et indiquer une fonction sociale). source – émetteur – canal – message – destinataire – Les codes sont nécessaires à l’activité de communication.
Le mot de l'auteur - Le livre de sémiologie médicale La sémiologie est le prélude indispensable à la formation de tout médecin et de nombreux autres acteurs du soin et de la santé. La connaissance de cette « science des signes », au sens étymologique du terme, constitue la base du savoir-faire ultérieur du praticien, qu’il se destine à l’exercice de la clinique ou aux autres domaines de la médecine. A l’instar de l’apprentissage de toute nouvelle langue, l’étudiant découvre d’abord un nouveau vocabulaire, constitué ici des différents « symptômes ». Chaque symptôme est recueilli lors de l’une des 5 étapes-clés de l’examen clinique : l’interrogatoire, l’inspection, la palpation, la percussion et l’auscultation. Ensuite, peut être élaborée une nouvelle syntaxe, qui servira de support à la communication et au raisonnement clinique ultérieur : ainsi sont construits les « syndromes », constitués chacun d’une somme de différents symptômes. Le livre électronique e-semio.org, couvre les trois composantes de l’outil multimédia :
Sémiologie La sémiologie ou séméiologie (du grec ancien : σημεῖον / sēmeîon, « signe », et λόγος / lógos, « parole, discours, étude ») est l'étude des signes. Pour Émile Littré, le terme sémiologie se rapportait à la médecine, en tant que domaine d'étude des symptômes[1]. Il a ensuite été repris et élargi par Ferdinand de Saussure, pour qui la sémiologie est « la science qui étudie la vie des signes au sein de la vie sociale[2] ». Le terme synonyme sémiotique est utilisé par Charles Sanders Peirce[3], pour son approche de « la théorie quasi nécessaire ou formelle des signes ». Sémiologie et sémiotique se côtoient et co-existent dans le monde universitaire où la distinction est épistémologique et filiale. Pour Hjelmslev, la sémiologie est une sémiotique dont le plan du contenu est lui-même une sémiotique. Définition et histoire[modifier | modifier le code] La sémiologie apparaît être une discipline récente. Tournant sémiologique[modifier | modifier le code] ↑ Terme de médecine.
Couleurs « parlées » et couleurs « affichées » dans l’espace public roumain après 1989 1Au début du troisième millénaire, dans la « société du risque », de la « crise de la représentation » et des micropolitiques, on constate que le rapport de l’individu au politique et aux médias s’est complexifié. 2Il s’agit moins de dépolitisation que de déplacement des pratiques politiques et des formes de politisation (le printemps arabe, l’hiver civique de Bucarest). À cela s’ajoutent la transformation des discours, l’apparition de nouveaux supports (blogues, médias sociaux) et de genres médiatiques, la complémentarité des codes sémiotiques (iconiques, symboliques, chromatiques) ainsi que la perspective d’une « interdisciplinarité focalisée » (Charaudeau, 2010). 4Nous essayerons de voir comment s’articulent à l’intérieur de la schématisation politique la monade forme/sens ou plutôt le fonctionnement texte/visuel et le travail de l’idéologie : 5Dans son texte « Introduction. Manifesto d’Yves Saint Laurent 26En 2000, la gauche revient au pouvoir. La révolution roumaine L’orange
L’utilisation du drapeau dans la communication internationale des entreprises 1Imaginons pendant quelques instants les impressions visuelles pouvant guetter un client du groupe AIR FRANCE. Qu’il consulte la brochure touristique de Jet-Tours ou son titre de transport, qu’il embarque à bord de la navette routière pour se rendre à l’aéroport ou qu’il patiente en observant les jumbos alignés sur le tarmac, il est confronté à une politique de couleur qui s’articule avec insistance autour du tricolore hachuré, logo omniprésent de l’entreprise depuis une dizaine d’années. 2Il est partout et impérieux : seule note de couleur sur la blancheur glacée de la couverture des rapports d’activité, déployé fièrement sur l’empennage des appareils, polymorphe au point de devenir pirogue au Sénégal, coquillage en Polynésie, cornemuse en Écosse, allant même jusqu’à s’immiscer dans le plumage de l’hippocampe ailé, son prédécesseur et emblème historique de la Compagnie. 4L’exemple d’AIR FRANCE illustre avec éclat les relations que la publicité peut entretenir avec la vexillologie.
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