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Ce que l’on sait de la maladie d’Alzheimer

Ce que l’on sait de la maladie d’Alzheimer
Cette pathologie dégénérative, dont la Journée mondiale a lieu lundi, devrait toucher une personne âgée de plus de 65 ans sur quatre dans le monde en 2020. Neuf cent mille malades en France, des traitements encore peu efficaces et des proches parfois écrasés par le poids de la pathologie… A l’occasion de la Journée mondiale de la maladie d’Alzheimer, lundi 21 septembre, retour sur cette maladie qui toucherait entre 28 et 33 millions de personnes dans le monde, selon les estimations de l’Organisation mondiale pour la santé (OMS). Qu’est-ce que la maladie d’Alzheimer ? Décrite en 1906 par le médecin allemand qui lui a donné son nom, la maladie d’Alzheimer est une maladie dégénérative affectant le fonctionnement du cerveau. Combien de cas dénombre-t-on ? La maladie d’Alzheimer est classée parmi les « démences », dont elle représente 60 % à 70 % des 47,5 millions de personnes atteintes dans le monde, selon l’OMS. En France, 900 000 personnes sont atteintes de la maladie d’Alzheimer. Related:  POURQUOI ?

Un jour, ce sera peut-être vous | Ce métier, malheureusement sous-estimé, déplorablement non vénéré, serait pourtant digne que tout bon vivant, dont les années guettent, s'y attarde et s'y inquiète. Aujourd'hui, s'investir dans un système de santé qui use, qui épuise et qui émousse toutes bonnes intentions d'altruisme, fait naître déception et désenchantement. À quoi bon persister alors? J'explique difficilement cette vocation, ce mouvement intérieur qui se veut si puissant et irrésistible. En 2013, un aide-soignant qui trime, qui peine, qui s'évertue et qui sue dans un centre de soins de longue durée, voit sa vie ainsi que celle des grabataires qu'il bichonne comme un long chemin, un long parcours sans stop, sans étoile, sans gratitude et sans reconnaissance. Tous et toutes ne demandent pas plus que tendresse, douceur et humanité. Oui, en 2013, oeuvrer dans les CHSLD exige patience, courage et sang-froid.

Définition de la maladie d'Alzheimer Découverte en 1906 par Aloïs Alzheimer, la maladie d’Alzheimer est une affection du cerveau dite « neuro-dégénérative », c’est-à-dire qu’elle entraîne une disparition progressive des neurones. L'altération des facultés cognitives Ces neurones, qui servent à programmer un certain nombre d'actions, en disparaissant entraînent une altération des facultés cognitives : mémoire, langage, raisonnement, etc. La maladie d’Alzheimer apparaît plus souvent chez les personnes âgées, mais elle n’est pas une conséquence normale du vieillissement. Maladie d’Alzheimer, maladie de la mémoire ? D’un point de vue scientifique La maladie d’Alzheimer résulte d’un processus pathologique spécifique qui entraîne le développement de deux types de lésions au niveau du système nerveux central : Ces lésions envahissent progressivement les différentes zones du cortex cérébral.

Alzheimer Dossier réalisé en collaboration avec le Pr Philippe Amouyel, directeur de recherche d’une unité mixte Inserm et du Laboratoire d’excellence DISTALZ sur la maladie d’Alzheimer, professeur d’épidémiologie et de santé publique au CHU de Lille et directeur général de la Fondation Plan Alzheimer – juillet 2014 © Fotolia La maladie d’Alzheimer est une maladie rare avant 65 ans. Moins de 2 % des cas de maladie d’Alzheimer surviennent avant cet âge, essentiellement chez des personnes atteintes de formes familiales héréditaires rares. Les femmes sont plus exposées à cette maladie : sur 25 malades, 10 sont des hommes et 15 des femmes. La perte de mémoire, première manifestation Le trouble de la mémoire est le plus constant et le plus perceptible des symptômes associés à la maladie d’Alzheimer. Beaucoup d’individus se plaignent de trous de mémoire récurrents. Deux coupables : le peptide bêta amyloïde et la protéine tau phosphorylée Age, génétique et environnement, le cocktail des facteurs de risque

Association de formation des aidants et des soignants intervenant auprès des personnes atteintes de la maladies d'Alzheimer et de leur entourage Je survis | Je veux vous décrire cette sensation de se réveiller dans une bulle. De se réveiller et de regarder autour de soi pour s'apercevoir que le monde s'est éloigné et que votre oreiller n'est pas réel, ou du moins pas aussi réel qu'au moment du coucher. Ce moment où vous vous êtes dit "Super journée. RAS. Tout va bien". Je veux vous décrire ce que ça fait de se balader comme emmitouflée dans un brouillard épais. anxiety by caroro Anxieté par Caroro Je veux vous dire ce que ça fait de se réveiller un jour en étant pleinement présente. Je ne vais pas mentir, la plupart du temps tout est trop loin et je me demande si je ne suis pas en train de glisser dans une autre dimension. Je ne vais pas mentir, je déteste dire aux autres que j'ai besoin de faire une pause. Je veux vous dire ce que ça fait de se réveiller en sursaut dans le noir, le cœur battant à tout rompre. C'est déconcertant, et les autres vous regardent de travers lorsque vous leur dites que vous faites de l'anxiété.

Il y a 100 ans, l'Alzheimer Le neurologue et psychiatre allemand Aloïs Alzheimer décrivait il y a 100 ans ce qui constitue la base de nos connaissances sur la maladie qui porte aujourd'hui son nom. En 1906, un neurologue allemand décrivait pour la première fois la maladie qui a, par la suite, porté son nom. Un siècle après, la science progresse et les médecins disposent de plusieurs traitements, mais aucun ne guérit la maladie. C'était en 1906, lors de la 37e Conférence des psychiatres allemands. À l'époque, Alzheimer a mis en évidence, lors de l'autopsie d'une patiente, les deux types de lésions cérébrales caractéristiques de la maladie: dégénérescence fibrillaire et plaques séniles. Dès lors, ce qui était jadis considéré comme de la « sénilité », et une partie normale du vieillissement, devenait une maladie distincte et l'une des principales préoccupations de la médecine contemporaine. Chronologie d'une maladie Ce n'est toutefois que dans les années 60 que l'ensemble de la communauté médicale reconnaît la maladie.

7 stades d'Alzheimer et symptômes | France La maladie d'Alzheimer s'aggrave au fil du temps. Les experts ont défini des « stades » afin de décrire l'évolution des capacités d'une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer jusqu'à un stade avancé. Les stades décrits ci-dessous donnent un aperçu général de la façon dont les capacités d’une personne évoluent au cours de la maladie. Les symptômes et l’évolution de la maladie d’Alzheimer peuvent varier considérablement d’un individu à l’autre. Ces sept stades s’appuient sur un système créé par le docteur Barry Reisberg, MD, chef de clinique de la New York University School of Medicine's Silberstein Aging and Dementia Research Center. Stade 1 : Aucune déficience(fonctions normales)La personne ne présente aucun trouble de la mémoire. Retour en haut de la page Pour en savoir plus:Découvrir les 10 signes Retour en haut de la page Souvenez-vous : Les différents stades pouvant se chevaucher, il est difficile de déterminer à quel stade de la maladie se trouve une personne.

Les addicts aux jeux vidéo sont plus réactifs face au danger Des chercheurs américains ont observé une hyperconnexion neuronale chez les dépendants aux jeux vidéo. © mtreasure, Istock.com Les addicts aux jeux vidéo sont plus réactifs face au danger - 2 Photos Une récente étude américaine, menée en Corée du Sud et publiée dans Addiction Biology, s’est intéressée aux cerveaux des jeunes accros aux jeux vidéo. Elle fournit la preuve que leurs cerveaux sont raccordés différemment. Les chercheurs américains ont en effet observé une hyperconnexion neuronale entre certaines zones du cerveau chez les dépendants chroniques. Principalement, celles liées à la vision et à l’audition. D’après les scientifiques, cette donnée aurait des impacts positifs et négatifs sur leur comportement. Pour réaliser ces travaux, les chercheurs ont fait passer une IRM (imagerie par résonance magnétique) à 106 garçons, âgés de 10 à 19 ans, en recherche de traitement pour guérir leur dépendance aux jeux vidéo. Les effets des jeux vidéo sur le cerveau sont régulièrement étudiés.

Oliver Sacks savait qu'il allait mourir. Aujourd'hui, il faut le relire Le célèbre neurologue anglais Oliver Sacks est mort, dimanche 30 août, à l'âge de 82 ans. Cette personnalité hors du commun avait annoncé sa mort prochaine en février dernier, dans un texte intitulé «My Own Life. Oliver Sacks on Learning He Has Terminal Cancer», publié par le New York Times. Ce jour-là, j'avais reçu un appel téléphonique d’un confrère et ami de la télévision française: un conseil de lecture. Toujours écouter les amis. Un choc. Nous connaissions tous, de nom, le Dr Sacks, né à Londres, neurologue aux Etats-Unis et vulgarisateur international hors pair des lésions cérébrales et de leurs traductions comportementales. Reconnaissant Que nous disait, cette fois-là, le Dr Sacks? Que nous disait-il encore? Il nous disait encore que c’était à lui et à lui seul, désormais, de choisir comment passer le temps qui lui restait à vivre. Détaché de la vie, intensément vivant Oliver Sacks nous résumait ce qu’il était parvenu à réaliser durant les neuf années qui venaient de s’écouler.

La prise en charge de la maladie d'Alzheimer - Plan Alzheimer 2008 - 2012 Compte tenu du caractère évolutif de la maladie, une prise en charge précoce permet d’améliorer les conditions de vie des patients et de leur entourage. D’où l’intérêt du diagnostic précoce. Les consultations mémoire Depuis le lancement du plan Alzheimer 2004-2007, des consultations mémoire sont progressivement mises en place dans les hôpitaux. Les consultations mémoire participent également au suivi des personnes malades en partenariat avec les médecins de ville (généralistes, neurologues, psychiatres…) et les professionnels médico-sociaux. Pour accomplir leurs missions, les consultations disposent d’une équipe pluridisciplinaire composée, notamment de praticiens hospitaliers, gériatre, neurologue, psychiatre et psychologue. Les centres mémoire de ressources et de recherche Implantés dans chaque région, les centres mémoire de ressources et de recherche (CM2R) ont une vocation plus large que les consultations mémoires. Une affection de longue durée (ALD)

L’addiction ne doit plus rester un secret de famille 22 octobre 2015, 10:00 Addiction Suisse / Illustratrice Gaëlle Pecoraro - www.organicdesign.ch Environ 100'000 enfants en Suisse ont un parent qui boit. A ceux-là s'ajoute un nombre indéterminé d’enfants dont les parents ont un autre problème d’addiction. Le stress, les sentiments de honte et de culpabilité sont le lot quotidien de ces enfants comme de leurs parents. A l’occasion d’une conférence de presse à Berne, Addiction Suisse présente deux nouveaux projets venant combler une lacune importante dans le soutien aux familles touchées par l’addiction afin de les aider à appréhender la dépendance comme une maladie et à profiter de l’expérience d’autrui. Le fait d'être dépendant et parent constitue un double tabou. Le site www.parentsetaddiction.ch comble une lacune Malgré les grandes difficultés qu'ils rencontrent, la plupart des parents concernés ne cherchent pas de soutien. L’alcool lui a pris son père «Mon père a commencé à boire quand j’avais onze ans. Ouverture vers le public Liens:

Mon bébé est mort D'abord, elles ne vous disent rien. Même si tous ceux qui sont dans la pièce savent pertinemment que le bébé est décédé, vous y compris, personne ne le confirme. Au lieu de ça, elles vous disent de ne pas vous inquiéter, de vous calmer, que le Doppler n'est pas toujours fiable, qu'elles vont en chercher un autre. Qu'on va vous envoyer à l'hôpital pour vérifier ça. Elles ne peuvent pas vous y préparer. Elles ne vous disent pas qu'elles ont l'habitude et qu'elles doivent accoucher un bébé endormi toutes les semaines. Elles ne vous disent pas à quoi elle ressemblera, qu'elle sera pâle et que sa peau sera probablement plissée. Elles ne vous disent pas qu'elles ont, elles aussi, le cœur brisé. Elles vous poussent à l'habiller, la baigner, prendre des photos et l'empreinte de ses mains et de ses pieds. Elles ne prononcent pas un mot lorsqu'elles vous accompagnent à la chapelle mortuaire avec votre petite fille. Je ne perds jamais une occasion de remercier la mienne.

c'est interessant merci de l'info alse by lauorie Jan 29

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