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Investir dans le bien- être au travail favorise la réussite de l'entreprise — Paroles d’entrepreneurs

Investir dans le bien- être au travail favorise la réussite de l'entreprise — Paroles d’entrepreneurs
" Les deux choses les plus importantes n'apparaissent pas au bilan de l'entreprise: sa réputation et ses hommes", affirmait Henry Ford. Florent Bonnel, consultant chez Merlane, explique pourquoi l'entreprise doit croire dans ses salariés et miser sur leur bien-être au travail. Deux ans se sont écoulés depeuis le plan d'urgence contre les risques psychosociaux en entreprise. Devrait paraître en ligne, dès ce mois-ci,un guide à destination des entreprises qui, selon le ministre du Travail Xavier Bertrand," revient dans les détails sur les principales étapes pour arriver au plan d'action antistress". Les risques, le stress, la violence. " Vous faites quoi dans la vie?". Entre les chocs médiatiques, l'effet de simplification qui s'y associe et l'observation de la dégradation d'indicateurs de santé et de sécurité au traval, se constitue la nouvelle classe des "risques psychosociaux". L'intérêt porté à la santé et à la sécurité au travail est durablement installé dans le paysage économique.

Qu'est-ce qu'une entreprise performante? La performance des entreprises, dans une société industrielle et commerciale, est de savoir produire et de savoir vendre, mieux et plus vite que ses concurrents. Aujourd'hui, la plupart des entreprises savent produire et vendre. C'est la raison de leur survie actuelle. Alain Juillet, responsable français en charge de l'intelligence économique auprès du premier ministre, nous donne sa vision de la situation dans une interview pour Informatique 01 (N°1768): "Chacun doit comprendre qu'après avoir connu le marché de l'offre pendant des siècles, puis celui de la demande dans la deuxième partie du siècle dernier, nous entrons maintenant dans celui de l'information et de la connaissance. La performance des entreprises dans une société de l'information, est donc de savoir mobiliser l'intelligence collective et les connaissances de ses parties prenantes (salariés, fournisseurs, clients...).

France Télécom: Pour la première fois, un suicide a été classé maladie professionnelle par la justice Paru dans leJDD Stéphane Richard, le directeur général de France Télécom. (Maxppp) Le suicide est-il une maladie du travail comme une autre? Le comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles de Besançon (Doubs) vient d’admettre que le décès par pendaison d’un salarié de France Télécom, dans la nuit du 10 au 11 août 2009, était d"origine professionnelle". L’entreprise, qui dispose d’un délai de deux mois pour contester cette décision, envisage très sérieusement de demander une nouvelle expertise du "cas" Grenoville. Rebondissement inattendu Après un premier classement sans suite, l’affaire Grenoville a connu un rebondissement inattendu. En septembre dernier, le juge bisontin chargé du dossier s’est dessaisi au profit du pôle judiciaire santé publique parisien. Un "crash programme" transformé en crash social LIRE AUSSI:Le témoignage d'Anne-Marie Grenoville, dont le fils, Nicolas, s'est pendu en 2009 M.

Bonheur au travail : trois théories divergentes Les chercheurs se cassent la tête depuis des années à propos du bonheur au travail. Trois théories récentes émergent et divergent; qui a raison ? Résumé librement adapté d’un article de Lilian Polderman du journal MT Management Team. Kanter : le bonheur c’est d’être motivé Rosabeth Moss Kanter, gourou du management, professeur à la Harvard Business School et auteur entre autres de : E-voluez!, a écrit récemment un essai dans la Harvard Business Review dans lequel elle explique que les salariés confrontés à des défis importants seraient de loin les plus heureux. Kanter identifie les trois facteurs de motivation au sein d’une entreprise : “Mastery”, “Membership” et “Meaning” (maîtrise, appartenance et sens). Rao : le bonheur c’est de se sentir responsable Srikumar Rao, auteur de Happiness at Work (Le bonheur au travail) et autrefois professeur à la Columbia Business School, a un autre point de vue. Leadership IQ : le bonheur c’est de ne rien faire

Améliorer l’ergonomie du lieu de travail La période estivale s’avère souvent un moment propice pour améliorer les conditions de travail de vos salariés. Des mesures simples peuvent être prises pour permettre à ceux-ci de disposer du cadre motivant pour accomplir leur mission. Dynamique a décidé, dans un volet de trois articles qui seront publiés pendant 3 jours à 16H, de vous donner les clés du bien être des salariés : l’ergonomie du lieu de travail (Partie I), l’amélioration du confort de travail (2) et de l’ambiance de votre entreprise (3) Une mise en place bénéfique La mise en place d’un meilleur cadre de travail est révélatrice de la considération que vous avez pour vos salariés. Celle-ci entraine aussi d’autres avantages pour l’entreprise : moins d’absentéisme, de frais liés à l’incontournable turn-over, de stress et de tension et permet aux salariés d’être plus performants. Les conseils simples pour améliorer l’ergonomie 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

Pourquoi vous ne faites plus confiance à votre entreprise Malgré la multiplication des signes d'accalmie et de sortie de crise, les Français conservent un petit moral en ce début de 2011. Selon l'institut BVA, qui a réalisé du 9 au 16 février 2011 une enquête sur les relations "salariés-employeurs" auprès d'un panel de 1 000 collaborateurs représentatifs de la population active occupée, ils ne sont plus "que" 78 % à se déclarer "assez satisfaits" ou "très satisfaits" de leur emploi actuel, contre 81% en mars 2009. Et les écarts se creusent entre ceux qui semblent tirer leur épingle du jeu et ceux qui se sentent laissés pour compte. Un exemple: 82 % des salariés des catégories socioprofessionnelles supérieures (CSP+) sont contents de leur sort, de même que 83% des managers et 80 % des collaborateurs de PME de moins de 500 salariés. Pour tous, les doléances vis-à-vis des entreprises tiennent essentiellement à la fameuse panne de l'ascenseur social. Des perspectives d'évolution professionnelle décevantes Comment regagner la confiance des salariés

C'est prouvé, être heureux au travail améliore la productivité VIE DE BUREAU - Plus un employé est heureux, plus il est efficace dans son travail. Ce n'est pas une surprise, mais c'est ce que démontre une nouvelle étude menée par le département d’économie de l'Université de Warwick, au Royaume-Uni. En réalisant un certain nombre d'expériences, dont les résultats vont être publiés dans le Journal of Labor Economics, l'équipe de chercheur a déterminé que le fait d'être heureux augmentait la productivité de près de 12%. En tout, ce sont 700 participants, divisés en plusieurs groupes, qui se sont prêtés au jeu de différentes expériences. Lire aussi : Les 10 chiffres qui confirment que les cadres vont mal Les sujets ont ensuite été soumis à des tests chronométrés de mathématiques. Travailler mieux et plus vite "Des entreprises comme Google investissent davantage dans le soutien des employés, et le résultat, c'est que ces derniers étaient globalement satisfaits", explique Andrew Oswald, l'un des directeurs de recherche.

Bien-être au travail Sur Mesacosan, nous sommes persuadés que le développement du bien-être au travail est un enjeu majeur pour nos sociétés modernes et nos organisations. Orienté résolument vers l’humain, c’est la place même de l’Homme dans le système productif que nous interrogeons ici. Du point de vue des organisations, développer et investir dans le bien-être au travail est un chemin nécessaire et indispensable pour développer l’efficacité et la capacité d’innovation. Mais développer et investir dans le bien-être au travail c’est aussi reconnaitre et assurer le rôle social que possède chaque organisation humaine. Que ce soit pour favoriser la santé des individus face aux coûts sociaux immenses des maladies professionnelles, mais aussi pour faire du lieu de travail un lieu d’épanouissement complet pour l’être humain et les relations humaines. Ensemble, redonnons sens à cette citation de La Fontaine qui affirmait que « Le travail est pour les Hommes un trésor ».

"Les entreprises ne savent plus ce qu'elles font" Vous lancez une sorte de cri d'alarme dans votre livre "Lost in Management". Faut-il faire le procès du management des trente dernières années ? Non pas le procès, mais amener les entreprises à regarder les choses en face. Elles sont en train de se fourvoyer. Pour faire face à la nécessité de garder tous les comportements sous contrôle, surtout avec la crise, les entreprises ont accentué leurs moyens de coercition. Tous ces process, ces systèmes de "reporting", c'est de la coercition destinée à garder les salariés sous contrôle. Vous avez, dites-vous voyagé à travers une vingtaine de cas, sorte d'expédition dans le monde des entreprises. Le monde de l'entreprise n'est pas un monde blanc ou noir. Comment réconcilier les Français avec le travail et plus particulièrement avec le monde de l'entreprise ? Les Français se sont beaucoup interrogés sur la baisse de la valeur travail. Derniers ouvrages parus : "Lost in Management" (2011), "la Fatigue des élites" (2008).

Bien-être au travail : une affaire de management Bien-être au travail, lutte contre le stress, deux notions loin d’être nouvelles : depuis une quinzaine d’années, elles sont pleinement intégrées par les DRH. La nouveauté est dans la façon de les appréhender : cet élément clé de toute politique salariale réussie est devenu un levier stratégique impactant fortement les résultats économiques. Les managers, chevilles ouvrières des transformations, sont une fois encore au cœur de ces nouveaux enjeux.Le bien-être au travail n'est plus un simple gadget, mis en avant par les entreprises pour mieux attirer les nouveaux talents, au même titre que l'implantation d'une salle de sport ou la mise en place d'open-spaces aux couleurs acidulées.

Le "présentéisme", cet autre mal français dont on ne parle jamais Atlantico : Selon un rapport paru en juillet et publié par la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares), l’ensemble des Français travaillent plus que la moyenne des Européens. Finir tard et emporter du travail avec soi serait une habitude hexagonale. Quelles raisons peuvent expliquer ce "présentéisme" ? Denis Monneuse : Les motivations sont diverses. La pression sociale est plus forte en période de crise économique car la crainte de perdre son travail est plus importante et la peur d’être mal vu par son patron peut renforcer le "présentéisme". Pourquoi quitter tôt son travail est-il mal vu chez nous ? Quitter son travail tôt peut être mal vu de la part des collègues qui éprouvent de la jalousie. Ce phénomène peut être plus important en France car notre pays est marqué par la logique de l’honneur. On le remarque bien chez les cadres. Comment expliquer que la situation est différente ailleurs, notamment dans les pays nordiques ? Non, au contraire.

Le Réseau - Article... Cette charte a été conçue en étroite collaboration entre le Secrétariat d'Etat chargée de la Jeunesse et de la Vie associative et la Direction des Ressources Humaines du Groupe Casino, à la tête de laquelle se trouve, Yves Desjacques, le Président du Réseau. En signant cette charte, le Groupe Casino, engagé depuis de nombreuses années dans l'accompagnement des jeunes vers l'emploi à travers de nombreuses actions innovantes en faveur des jeunes, notamment des quartiers défavorisés, s'engage à valoriser le Service Civique dans ses procédures de recrutement. Le Groupe démontre ainsi que les compétences acquises pendant les missions effectuées par les jeunes répondent aux attentes et aux besoins de l'entreprise. Plusieurs chartes de valorisation du Service Civique seront prochainement signées par la Secrétaire d'Etat avec d'autres grandes entreprises françaises. Auteur : Mlle Alexia AHLIN

Motivation au travail : les salariés français de moins en moins motivés En ce milieu d’année 2013, quel constat avons-nous de la motivation au travail en Europe ? Selon le baromètre Edenred-Ipsos, la démotivation au travail affecte toujours les salariés français depuis la crise de 2008… Comment changer la donne quand le chômage pèse sur le moral, que les opportunités de reconversions professionnelles se font rares ? La motivation au travail en France et dans les pays européens Le baromètre affiche une motivation au travail variante d’un pays à l’autre. Alors d’où proviendrait ce manque de motivation ? Un salarié sur deux a placé le niveau de salaire en tête des préoccupations. Comment remotiver les salariés ? Tandis que l’insatisfaction professionnelle gagne du terrain en Europe, le baromètre dévoile une situation plutôt stable en France depuis 2008. En effet, même s’ils sont les plus démotivés, les salariés français se disent « heureux dans leur travail » et « fiers de leur travail » ! Mais globalement, qu’attendent-ils de leur entreprise ?

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