Liste des découvertes et inventions liées au hasard Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. 1941. Le Velcro. 1945. Le Téflon. 1977. 1980. 1990. On trouvera ci-dessous une liste de découvertes, d'inventions et d'innovations faites par accident — c. à d. à la suite d'un concours imprévu de circonstances — ou par hasard — c. à d. fortuitement –, ce qu'il est devenu courant d'appeler, sous l'influence du livre de Royston Roberts, Serendipity : Accidental Discoveries, découvertes et inventions faites par sérendipité. par accident[1] ;par un concours de circonstances[2] ;par erreur[3] ;par hasard pur[4] ;par inadvertance ;par maladresse[5] ;par mégarde[6] ;par négligence professionnelle[7] ; L'impact économique, social et culturel de ces découvertes, inventions et innovations faites par accident ou par hasard n'a aucun rapport avec leurs notoriété médiatique, comme entre l'hélice de bateau de Pettit qui a révolutionné la navigation et le Post-it, toujours cité. En géographie maritime[modifier | modifier le code] 1492. 1799. 1940. 1947.
Giordano Bruno Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Giordano Bruno Philosophe Portrait de Giordano Bruno (XIXe siècle, d'après une gravure publiée dans le Livre du recteur, 1578) Biographie[modifier | modifier le code] Trajectoire dominicaine (1548 - 1575)[modifier | modifier le code] Statue en bronze de Giordano Bruno par Ettore Ferrari (1845-1929), Campo de' Fiori, Rome. Sa culture, alors essentiellement humaniste, s'enrichit d'un apport théologique déterminant. La rupture[modifier | modifier le code] L'errance (1576 - 1592)[modifier | modifier le code] Illustration d'un des livres de Giordano Bruno sur la mnémotechnique: on y distingue les quatre éléments classiques : la terre, l'air, l'eau et le feu. Dans un premier temps, Bruno espère rester en Italie. Épuisé par sa condition, il finit par s’exiler dans le comté de Savoie, à Chambéry tout d’abord, puis il va dans la Genève calviniste. Il repart et rejoint Lyon, puis Toulouse, alors sujette au dogmatisme catholique le plus intègre.
Théorie des cordes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les niveaux de grossissements : monde macroscopique, monde moléculaire, monde atomique, monde subatomique, monde des cordes. La théorie des cordes est un domaine actif de recherche traitant de l'une des questions de la physique théorique : fournir une description de la gravité quantique c’est-à-dire l’unification de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité générale. La principale particularité de la théorie des cordes est que son ambition ne s’arrête pas à cette réconciliation, mais qu’elle prétend réussir à unifier les quatre interactions élémentaires connues, on parle de théorie du tout. La théorie des cordes a obtenu des premiers résultats théoriques partiels. Présentation élémentaire du problème[modifier | modifier le code] Il reste que certains phénomènes nécessiteraient l'utilisation des deux théories. Hypothèses et prédictions[modifier | modifier le code] La théorie repose sur deux hypothèses : Le graviton, boson (c.
Galilée (savant) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Galilée (en italien : Galileo Galilei), né à Pise le et mort à Arcetri, près de Florence, le (à 77 ans), est un mathématicien, géomètre, physicien et astronome italien du XVIIe siècle. Parmi ses réalisations techniques, il a inventé la lunette astronomique, perfectionnement de la découverte hollandaise d'une lunette d'approche, pour procéder à des observations rapides et précoces qui ont bouleversé les fondements de l'astronomie. Dans le domaine des mathématiques, ce « langage décrivant la nature » qu'il appelait de ses vœux pour « l'écriture mathématique du livre de l'Univers » en 1623 dans son opus sur les comètes, si Galilée n'a pas contribué à faire progresser l'algèbre, il a tout de même produit des travaux inédits et remarquables sur les suites, sur certaines courbes géométriques, sur la prise en compte des infiniment petits… Galileo Galilei (Galilée), fils de Vincenzo Galilei et de Giulia Ammannati, est l'aîné de leurs sept enfants.
Acétate de cellulose Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'acétate de cellulose est une matière plastique inventée en 1865. C'est l'ester acétate de la cellulose. Sous forme de fibres (fil textile, autrefois appelée acétol), ce produit a été vendu sous le nom de rayonne, soie artificielle, viscose, etc. Histoire[modifier | modifier le code] à Bâle en Suisse, en Italie, via une filiale des Dreyfus fondée en 1917 à Milan)[5]. En Europe, la mise en œuvre de l'acétate de cellulose pour une fabrication industrielle de fibres a principalement été le fait de la Rhodiacéta (ancienne filiale de Rhône-Poulenc) avant la Première Guerre mondiale. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Cellulosique et thermoplastique ;biodégradable, compostable lentement;forte résistance à la moisissure ;combustible ;hypoallergénicité ;hydrophilie : l'acétate se mouille facilement, et absorbe facilement certaines molécules. Production[modifier | modifier le code] Usages[modifier | modifier le code]
Détonateur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un détonateur électrique : le Wiener Zünder de Marcus (1864). Le détonateur est un élément de la chaîne pyrotechnique dont le rôle consiste à produire, au départ d'un courant électrique ou d'une flamme, une onde de choc suffisamment puissante pour provoquer à coup sûr la détonation d'une charge explosive. Typologies[modifier | modifier le code] Suivant son type, un détonateur peut être déclenché par l'intermédiaire ; Cet explosif « primaire », très sensible et ne connaissant qu'un seul régime de combustion - la détonation -, provoque à son tour la détonation d'une quantité plus importante (environ un gramme) d'un autre explosif dit « secondaire » (généralement la penthrite ou l'hexogène), moins sensible mais plus puissant, et qui sert de relais entre l'explosif « primaire » et la charge principale. Détonateur pyrotechnique[modifier | modifier le code] Détonateurs électriques[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Moteur à réaction Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Réacteur. Un moteur à réaction est un moteur destiné à la propulsion de véhicule. Le principe de base repose sur la projection d'un fluide (gaz ou liquide) vers l'arrière, par réaction, il transmet une poussée au véhicule, de force égale et de direction opposée, vers l'avant. Avec un rapport poids/puissance très favorable, ce type de motorisation trouve de nombreuses applications dans les secteurs aéronautiques et spatiaux, ainsi que dans le secteur de la propulsion marine (hydrojet). Propulsion à réaction[modifier | modifier le code] La propulsion à réaction est fondée sur le principe d'action-réaction formulé par Isaac Newton. Il existe deux grands types de propulseurs à réaction, en fonction de l'origine de la matière projetée en arrière : Analyse physique[modifier | modifier le code] où : Types[modifier | modifier le code] De manière générale on peut séparer ce type de motorisation en trois catégories :
Moteur-fusée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Principe d'action-réaction du moteur-fusée Implantation d'un moteur-fusée dans un V2 Le moteur-fusée est un type de moteurs à réaction, c'est-à-dire un engin qui projette un fluide (gaz ou liquide) vers l'arrière, ce qui transmet par réaction une poussée au véhicule solidaire du moteur, de force égale et de direction opposée, vers l'avant. Le moteur-fusée présente la particularité d'expulser une matière qui est entièrement stockée dans le corps du véhicule. Généralement un moteur fusée fonctionne en expulsant des gaz qui sont produits par une réaction chimique exothermique dans une chambre de combustion et qui sont accélérés par une tuyère de Laval. Histoire[modifier | modifier le code] Si le principe de propulsion par transformation d'énergie chimique en énergie cinétique est connu depuis l'Antiquité et les pièces d'artifice propulsées par poudre à canon depuis le IXe siècle av. Principe de fonctionnement[modifier | modifier le code] où:
Lysozyme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cristal de lysozyme Le lysozyme est une protéine globulaire formée de 129 acides aminés (chez l'être humain), que l'on rencontre dans un certain nombre de sécrétions (larmes, salive, lait maternel, mucus...) et dans le blanc d'œuf, chez de nombreuses espèces d'animaux, dont insectes et acariens[1]. Il s'agit d'une hydrolase acide (EC 3.2.1.17) sécrétée par les granulocytes et les monocytes. Elle détruit la paroi bactérienne en catalysant l'hydrolyse des peptidoglycanes la constituant. Cette protéine a été découverte par Alexander Fleming en 1922. Le lysozyme de blanc d'œuf (type-C) possède une saveur sucrée 200 fois plus intense que celle de la protéine édulcorante thaumatine (au seuil de perception)[2]. Mode d'action[modifier | modifier le code] Le lysozyme peut agir comme une opsonine innée, ou comme une enzyme lytique capable de lyser des bactéries, en particulier celles à Gram positif, indépendamment de leur pouvoir pathogène.