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Taxinomie

Taxinomie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La classification hiérarchique du vivant regroupe les êtres vivants dans des groupes de plus en plus vastes. La taxinomie (ou taxonomie)[1] est une science, branche de la biologie, qui a pour objet de décrire les organismes vivants et de les regrouper en entités appelées taxons afin de les identifier puis les nommer et enfin les classer. Elle complète la systématique qui est la science qui organise le classement des taxons et leurs relations. Parmi ces méthodes, les plus récentes incluent une nouvelle approche conceptuelle de la classification mais aussi des méthodes d'analyse d'éléments empiriques restés longtemps ignorés de la science avant l'arrivée, au cours de la seconde moitié du XXe siècle, des découvertes de la biologie moléculaire. La taxinomie s'étend maintenant à d'autres sciences, entre autres les sciences humaines et sociales, les sciences de l'information ou l'informatique[2]. Avant Linné[modifier | modifier le code]

Thésaurus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. C'est un langage contrôlé utilisé pour l'indexation de documents et la recherche de ressources documentaires dans des applications informatiques spécialisées. Les thésaurus sont donc une catégorie de langages documentaires parmi d'autres. Les termes (dans l'exemple ci-contre : véhicule, navire,...) sont reliés entre eux par des relations de synonymie (terme équivalent), de hiérarchie (terme générique et terme spécifique) et d'association (terme associé) ; chaque terme appartient à une catégorie ou domaine. Introduction[modifier | modifier le code] Le thésaurus est un outil linguistique qui permet de mettre en relation le langage naturel des utilisateurs et celui contenu dans les ressources. Par exemple un thésaurus reliant récolte à culture, blé à céréale, et France à Europe, permettra pour une question portant sur la récolte du blé en France de trouver des ressources indexées avec culture céréale Europe. IndividusLogicielRéseauRessources

Métadonnée Le catalogue de la bibliothèque universitaire de Graz en Autriche. La carte présentée renvoie à un texte de Schleimer qui a défini les règles de ce catalogue. Historique[modifier | modifier le code] Tous les établissements qui ont à gérer de l'information, bibliothèques, archives ou médiathèques ont déjà une longue pratique dans la codification du signalement ou des contenus des documents qu'ils manipulent. Ces descriptions ont ensuite été informatisées sous la forme de notices bibliographiques et normalisées (voir par exemple les formats MARC en 1964 utilisant la norme ISO 2709 dont la conception a démarré en 1960). Les bibliothèques numériques ont eu recours aux mêmes dispositifs pour gérer et localiser des documents électroniques. Le terme métadonnée (en anglais : metadata) est apparu dans le cadre de la description de ressources sur Internet dans les années 1990 et s'est ensuite généralisé. Généralisation[modifier | modifier le code] Description[modifier | modifier le code] Voir :

Taxilogie et classification Les systèmes traditionnels de classification du savoir, qui reposaient sur une division disciplinaire des connaissances, semblent de moins en moins adaptés aux nouvelles exigences de la recherche d'informations, notamment sur banques de données. Les sciences de l'information ne sont d'ailleurs pas seules concernées par la taxilogie, ou étude scientifique des classifications, à laquelle contribuent d'autres disciplines, telles que la philosophie, la sémiotique, l'intelligence artificielle... Présenter brièvement les grands systèmes de classification adoptés dans le monde et replacer les nouvelles tendances, qui se font jour dans les bibliothèques, dans le cadre plus vaste d'une recherche interdisciplinaire, tel est le propos de cette mise à jour concernant un domaine en pleine mutation. Pourquoi distinguer classification de taxilogie ? Composantes disciplinaires Philosophie et « théorie des systèmes » Mais sur quoi fonder cet « ordre naturel » du savoir ? Science de la science Royaume-Uni

[Curation] : Pearltrees, Scoop.it, Storify, Paper.li,... à la recherche de l'information ultime. Cet article a été publié il y a 6 ans 7 mois 20 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. On le sait maintenant, en plus du terme de community manager, celui de curation ou content curator (définition selon Vincent Berthelot : « Le curator est celui qui transforme l’information qu’il a recueilli pour en faire une agrégation concise et porteuse de sens soit pour information soit pour décision. ») fait une entrée fracassante dans le domaine du marketing social. Même si ce dernier n’est pas nouveau, et que les premières théories autour de celui-ci date des alentours de 2006, il semble que l’activité de curation devienne très importante. Ce qui est en même temps normal dans une ère d’über-information, où s’informer correctement et atteindre la bonne information sont devenus une vraie aventure, digne d’un film d’Indiana Jones. Heureusement, afin de toujours retrouver le nord, il existe des boussoles très efficaces.

Web sémantique Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2]. Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5]. Histoire[modifier | modifier le code] Tim Berners-Lee à l'origine exprimait la vision du Web sémantique comme suit : I have a dream for the Web [in which computers] become capable of analyzing all the data on the Web — the content, links, and transactions between people and computers. — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] — Weaving the Web[13]

Classification Classification En son sens générique, la classification est une « répartition systématique en classes, en catégories, d'êtres, de choses ou de notions ayant des caractères communs notamment afin d'en faciliter l'étude; résultat de cette opération » (Trésor de la langue française informatisé). Elle répond à un besoin constant de l’esprit humain d’organiser les savoirs pour les articuler entre eux (la démarche encyclopédique, par exemple), et de catégoriser les savoirs au sein d’une hiérarchie ou d’une chronologie (classification des espèces, par exemple). Généralités DAGOGNET, François. GROULT, Martine (dir.). VIGNAUX, Georges. DOBROWOLSKI , Zygmunt. La Classification dans les sciences. Quelques exemples de classifications Classification décimale universelle UDC-Consortium. DEWEY, MELVIL. RANGANATHAN, Shiyali Ramamrita. LIBRARY OF CONGRESS. NATIONAL LIBRARY OF MEDICINE. Ressources KUMBHAR, Rajendra. HUDON, Michèle et WIDAD, Mustafa el Hadi. LEVIE, Françoise. CHARAF, Inaam. MANIEZ, Jacques.

6 bons outils pour trouver des sites similaires Trouver des sites similaires à un site web qu’on vient de découvrir par hasard est une activité à laquelle nous sommes tous confrontés couramment. Ca peut être parce que nous avons besoin d’informations supplémentaires sur le même sujet. Ca peut être aussi afin de réaliser une étude de marché afin de dégager les sites qui ciblent la même niche. Autant dire qu’il s’agit d’une compétence hautement stratégique. La technique la plus utilisée est de deviner les mots clés pertinents du site. Voici donc quelques bons outils pour trouver des sites similaires : 1. Utiliser le préfixe “related:” dans le formulaire de recherche de Google est l’un des outils les plus connus pour trouver des sites similaires. A noter que si vous utilisez Google Chrome, il existe une extension qui permet de consulter très facilement les liens similaires. 2. Le site Alexa est connu pour fournir des statistiques sur la fréquentation mondiale de tous les sites internet. 3. 4. 5. 6. Conclusion

Friend of a friend (informatique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo FOAF FOAF (de l'anglais Friend of a friend, littéralement « l’ami d’un ami ») est un vocabulaire RDF permettant de décrire des personnes et les relations qu’elles entretiennent entre elles. Elle est une application du web sémantique, qui est considérée comme très prometteuse. Le protocole WebID, anciennement FOAF+SSL[1]., est un protocole d'authentification décentralisé utilisant des documents FOAF comme conteneur d'informations de profil et le protocole TLS pour l'authentification. <rdf:RDF xmlns:rdf=" xmlns:foaf=" xmlns:rdfs=" Wales</foaf:name><foaf:title>Mr. (en) Portail du projet(en) FOAF Schema 0.1 : spécification du vocabulaire FOAF. (en) FOAF Corp est une extension de FOAF au domaine des entreprises.On pourra aussi visualiser en Flash l’application expérimentale (en) They rule.

Melvil Dewey En 1876 paraît un opuscule anonyme de 44 pages intitulé A Classification and Subject Index for Cataloguing and Arranging the Books and Pamphlets of a Library 1, sous la plume d’un certain Melvil Dewey. En 2011, paraît la vingt-troisième édition de la Dewey Decimal Classification, quatre gros volumes reliés totalisant plus de quatre mille pages 2. Qui était Dewey ? Son biographe, l’historien des bibliothèques Wayne A. Melvil Dewey C’est au Columbia College de New York, dont il dirigea la bibliothèque de 1883 à 1889, que Melvil Dewey devait préparer la seconde édition (parue en 1885) de ce qui – sept fois plus important – allait bien au-delà du premier opuscule : indices développés, avec point décimal après le troisième chiffre, index passant de deux mille à dix mille entrées. C’est aussi à son initiative, en 1887, qu’ouvre à New York la toute première école de bibliothéconomie. Une très riche et très forte personnalité donc, aux multiples centres d’intérêt. Les différentes étapes

Comment diffuser les résultats de la veille avec les outils de curation : Scoop.It et Paper.li Un article de jean luc Raymond repris du site Net Public de la Délégation aux usages de l’internet Un article sous licence creative commons by nc sa publié le 20 mai 2012 L’URFIST de Bretagne et Pays de La Loire (Unité Régionale de Formation à l’Information Scientifique et Technique) a mis en ligne le support de formation consacré au traitement de l’information : Diffuser les résultats de la veille avec les outils de « curation » : Scoop.it, Paper.li (au format PowerPoint .ppt) par Alexandre Serres et Marie-Laure Malingre (mai 2012). Ce support pédagogique de 65 pages offre un panorama actuel de la curation (« pratique qui consiste à sélectionner, éditorialiser et partager du contenu ») aussi bien en terme de compréhension de ce que recouvre cette thématique, de méthodologie de gestion de projet, de pratiques, d’outillage, un point sur le juridique et la valeur informative ainsi que des ressources complémentaires. 1. 2. 3. 4. 5. 6.

a subjective collective cartography 40 more maps that explain the world2014-02-09 17:19:17 - by Laurence Jenard Maps seemed to be everywhere in 2013, a trend I like to think we encouraged along with August’s 40 maps that explain the world. Maps can be a remarkably powerful tool for understanding the world and how it works, but they show only what you ask them to. You might consider this, then, a collection of maps meant to inspire your inner map nerd. I’ve searched far and wide for maps that can reveal and surprise and inform in ways that the daily headlines might not, with a careful eye for sourcing and detail. I’ve included a link for more information on just about every one. Ton Bruxelles, il est comment ? Textes, dessins, photographies, structures en trois dimensions réalisés par des personnes adultes en formation d’alphabétisation, toutes habitantes de Bruxelles.

Des usages diversifiés pour la classification Dewey à la Bibliothèque nationale de France (1997) 63rd IFLA General Conference - Conference Programme and Proceedings - August 31- September 5, 1997 Le choix de la classification Dewey L'établissement constructeur du nouveau site de la Bibliothèque nationale de France s'est préoccupé dès 1991 de l'organisation de ses collections en libre-accès et du choix d'une classification. Etant donné la nature des collections, la classification devait être encyclopédique. Aidé par un groupe d'experts, l'établissement a étudié plusieurs hypothèses : créer une nouvelle classification pouvait sembler le choix idéal, permettant de suivre l'évolution des connaissances, mais la lourdeur de la tâche et l'urgence des délais y ont fait renoncer ; choisir la plus adaptée aux besoins parmi les grandes classifications existantes. On peut rappeler brièvement les critères de sélection qu'énumérait Annie Béthery, présidente du groupe de travail chargé de choisir une classification pour la nouvelle bibliothèque : Exemple : Langues et littératures scandinaves

Evaluer la crédibilité d’une ressource sur internet, support de formation L’URFIST de Bretagne et des Pays de la Loire publie sur son portail une présentation du stage d’Alexandre Serres : « Evaluer la crédibilité d’une ressource sur internet » (fichier PowerPoint, 89 diapositives) actualisée en octobre 2012 (sous licence Creative Commons). Méthodologie d’évaluation d’une ressource Internet en 4 points Ce document indique une méthodologie sur cette thématique en 4 points : Contextes, ruptures et continuités de l’évaluation de l’information ; Complexités et notions-clés de l’évaluation ; La crédibilité ; Démarche d’évaluation de la crédibilité. Captures d’écran, tableaux et exemples du Web d’aujourd’hui viennent illustrer la présentation du formateur d’Alexandre Serres qui pose des jalons clairs sur la validité d’une information sur Internet et des critères permettant de prendre en compte concrètement la qualification de données publiées en ligne. Fiche pratique Autrement dit, deux ressources très utiles pour les EPN (Espaces publics numériques). Licence :

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