Le fonctionnement d’une station d’épuration Les eaux usées ménagères, industrielles et agricoles sont acheminées jusqu’à la station d’épuration, qui se situe le plus souvent à l’extrémité d’un réseau de collecte. L’eau est alors en partie traitée avant d’être rejetées dans le milieu naturel. Selon cité nature, on dénombre en France, 15 000 stations d’épuration pour 36 000 communes. « L’objectif de la station d’épuration n’est pas de rendre l’eau potable mais acceptable par la nature. Les eaux sales provenant des égouts sont tout d’abord filtrées pour éliminer les débris. L’accès à une eau propre est une chance : « Près de 3 milliards de terriens ne disposent pas d’un système d’assainissement de l’eau En France, 60% des communes nettoient leurs eaux sales dans les stations d’épuration. La situation de certains pays est donc grave : « L’Afrique et l’Asie sont les deux plaies de l’eau. On peut distinguer trois opérations principales dans le traitement de l’eau : 1ère étape : le dégrillage 2ème étape : le dessablage et le déshuilage
La qualité de l'eau - Les Dossiers du Net La qualité de l’eau du robinet En France, nous avons la chance d’avoir de l’eau potable. Sur notre planète, en effet, plus d’un milliard d’hommes en ont moins de 20 litres par jour, ce qui est très peu pour vivre. Dans notre pays, 70% de l’eau potable distribuée est puisée dans les nappes souterraines, par forage ou aux sources. Tous ces gisements sont renouvelables : la pluie et la neige contribuent à les remplir, à raison de 200 milliards de m3 par an, sur lequel la consommation totale n’excède pas un huitième. Critères de potabilité Pour être consommée, l’eau doit répondre à des critères de qualité très stricts. la qualité microbiologique : l’eau ne doit contenir ni parasite, ni virus, ni bactérie pathogène. la qualité chimique : les substances chimiques autres que les sels minéraux font l’objet de normes très sévères. la qualité physique et gustative (les paramètres organoleptiques) : l’eau doit être limpide, claire, aérée et ne doit présenter ni saveur ni odeur désagréable. "Pouah !
Le traitement de l'eau potable Veolia Eau met en œuvre toutes les techniques nécessaires pour s'assurer que l'eau distribuée est conforme aux exigences des normes de qualité. Protéger la santé A partir des recommandations émises par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), des réglementations nationales et internationales ont été mises en place afin d'éviter la présence de micro-organismes et de substances chimiques indésirables dans l'eau potable. Accordant une priorité absolue à la sécurité sanitaire des consommateurs, Veolia Eau met en œuvre les technologies nécessaires pour produire et distribuer une eau respectant ces normes de qualité. Les étapes de la production d'eau potable Une fois prélevée, l'eau est soumise à plusieurs types de traitements : Dégrillage et tamisage. Garantir une eau bonne pour la santé Veolia Eau mène une politique de contrôle strict de la qualité sanitaire de l'eau qu'elle produit et distribue, afin de respecter et d'anticiper les normes de plus en plus sévères. Haut de page
D’où viennent les principales pollutions de l’eau ? 20 janvier 2012 La pollution de l’eau vient essentiellement des activités humaines. Pollutions organiques Agriculteurs, particuliers et industriels rejettent des matières organiques (excréments, ordures ménagères animales ou végétales pour les particuliers ; déjections animales pour les exploitations agricoles ; déchets végétaux ou animaux pour les industries comme la papeterie, la tannerie ou les industries agroalimentaires). Pollutions chimiques L’agriculture (culture et élevage) est une cause majeure de pollution des eaux souterraines, et importante pour les eaux de surface. Pour lutter contre ces différentes pollutions, les pouvoirs publics ont mis en place différents plans d’action ciblés, qui visent notamment à améliorer les connaissances sur les impacts de certains polluants (médicaments, micro-polluants) sur le milieu naturel (plan micro-polluants, plan médicaments...).
Portail d'informations sur l'assainissement communal La gouvernance La gestion de l'eau, c'est trouver des solutions dans des situations de déficit, d'excès ou de détérioration de la qualité de l'eau ou même de conflits d'usage. Des directives européennes et la législation française donnent un cadre à la gestion de l'eau qui se concrétise par des instruments réglementaires, financiers, culturels qui doivent répondre à des objectifs spécifiques. La gestion de l'eau est décentralisée. La gestion de l'eau implique l'Europe, les partenaires institutionnels (ministères, services déconcentrés tels que les agences régionales de santé -ARS- ainsi que des établissements publics sous tutelle de l'Etat tels que les Agences de l'eau, l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques -ONEMA-, les Voies Navigables de France -VNF-...), les partenaires territoriaux (communes et regroupements de communes...), les partenaires scientifiques et des partenaires techniques ou économiques (différents usagers). L'organisation institutionnelle Le niveau européen Au niveau local
Traitement des eaux usées Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bassins utilisés dans une usine de traitement des eaux usées (ici vides) de la ville d'Albury en Australie. À l'échelle mondiale, le traitement des eaux usées constitue le premier enjeu de santé publique : plus de 4 000 enfants de moins de 5 ans meurent chaque jour de diarrhées liées à l’absence de traitement des eaux et au manque d’hygiène induit[1]. Les eaux usées sont toutes les eaux chargées de différents éléments provenant de la population mais aussi des activités commerciales et industrielles du fait qu'elles ont été utilisées pour le lavage ou les toilettes, qui sont de nature à polluer les milieux dans lesquelles elles seront déversées. C'est pourquoi, dans un souci de respect de ces différents milieux, des traitements sont réalisés sur ces effluents par le réseau d'assainissement urbain. Ces traitements peuvent être réalisés de manière collective dans une station d'épuration ou de manière individuelle. le traitement biologique : ...
Exemple d'une algue invasive Avril 2006 L'échappée belle En 1982, cette algue est amenée au Musée océanographique de Monaco pour y être cultivée. La prolifération rapide s'explique par le mode de reproduction de cette espèce : le bouturage se fait à partir de fragments de feuilles ou de tiges, littéralement "clonés" pour donner naissance à de nouvelles plantes. La Caulerpa taxifolia est aussi très résistante. La biodiversité en danger Même si on l'a surnommée "algue tueuse", la caulerpe n'est pas menaçantes en soi (elle n'a jamais tué personne et elle n'est pas toxique). Les posidonies, des plantes à fleurs fondamentales de l'écosystème méditerranéen, sont par exemple directement victimes de l'invasion. La lutte est inégale La lutte contre la taxifolia s'est jusqu'ici limitée à la prévention : les plaisanciers sont invités à prendre garde aux algues prises dans les ancres, pour ne pas encourager sa propagation.
Des vers de terre qui produisent de la richesse Vendredi 11 février 2011 5 11 /02 /Fév /2011 06:49 Nous avons vu que la transformation de la matière organique produite par les êtres vivants passait par la production, dans les usines d'épuration, de boues activées. Rappel des précédents articles: écologie des cours d'eau La question que l'on pourrait se poser, serait la suivante: Plutôt que de recueillir ces boues sur des lits de séchage, de les évacuer sur des décharges ou de les incinérer. En visitant un salon consacrée aux produits biologiques, j'ai eu l'opportunité de discuter avec un exposant qui présentait une animation consacrée à la lombriculture; n'hésitez pas à visiter son site: Remis à jour et pratiquée depuis plus de 40 ans aux États Unis, cette discipline devrait plaire et être porteuse d'emploi. object width="480" height="360"> Le lombricompostage envoyé par veosearch. - L'info video en direct. L'intérêt de cette technique est multiple: sa prolifération exceptionnelle, A Méditer
L'assainissement collectif Depuis la loi sur l'eau du 3 janvier 1992, tout d'immeuble d'habitation doit être raccordé à un réseau d'assainissement collectif ou être doté d'un système d'assainissement autonome. Tout système d'assainissement qu'il soit collectif ou non, a pour but de regrouper les eaux usées (la collecte), puis de les dépolluer (l'épuration) en les traitant avant leur rejet dans le milieu naturel. La complexité des traitements mis en oeuvre varie en fonction de la nature des eaux usées. Station d'épuration © Laurent Mignaux/METL-MEDDE Les décisions de répartition entre le mode d'assainissement collectif et le mode d'assainissement non collectif sont prises par les maires et les présidents d'établissement public de coopération intercommunale (EPCI), en fonction notamment de la densité urbaine. L'assainissement est majoritairement effectué de manière collective. Collecter les eaux usées Les différents réseaux de collecte L'entretien du système de collecte Dépolluer : le traitement des eaux usées