How We Share the World
This interactive graphic shows how the world is divided according to six different socioeconomic variables. The land area of each country represents its share of the worldwide total. Click on a circle to reshape the map For attribution and data sources, scroll to the bottom. I have been having fun experimenting with cartograms lately. For more information about what a cartogram is, have a look at my last two posts, The Housing Value of Every County in the U.S. and A Striking Perspective on New York City Property Values. For this map, I looked at several different socioeconomic variables to include. The GDP-scaled map makes it clear how dominant the U.S. economy is. Government Debt Looking at the world scaled by government debt, the first thing that jumps out is Japan. Population / Births Asia is home to about three fifths of world’s population, and arguably the 10 largest human settlements in the world. Wealth Extreme Wealth Hope you enjoy playing with the map. Attribution Follow Metrocosm
Énergif ROSE
Énergif ROSE est une application de visualisation cartographique et de mise à disposition des données du Réseau d'Observation Statistique de l'Énergie et des émissions de gaz à effet de serre en Île-de-France (ROSE). Cet outil est destiné à tous ceux qui s’intéressent aux problématiques de transition énergétique (sobriété, efficacité, énergies renouvelables) des territoires, et en particulier aux collectivités territoriales qui sont engagées dans l’élaboration ou la révision d’un Plan climat air énergie territorial (PCAET), d’un Schéma de Cohérence Territorial (SCoT) ou d’un Plan local d’urbanisme (PLU).Il rassemble des données de référence sur l’énergie mises à disposition par le ROSE qui permettent de comprendre et de suivre annuellement les spécificités territoriales au sein de la région Île-de-France, en particulier, pour ce qui concerne : Ces données de référence proviennent des travaux de consolidation et de validation du ROSE.
Prix des accès internet dans le monde
Cartographie. Les villes prennent le pouvoir
Les mégalopoles sont les nouveaux moteurs de l’économie mondiale. De la Californie au delta de la rivière des Perles, en Chine, l’avenir s’écrit dans des pôles urbains tentaculaires. D’ici à 2025, il y aura au moins quarante de ces villes ultra-connectées dans le monde. Par-delà les frontières, elles inventent une autre forme de gouvernance et d’économie, affirme Parag Khanna, l’auteur de Connectography : Mapping The Future of Global Civilization (éd. Penguin Random House, avril 2016, non traduit en français). Dans ce livre, l’auteur, que le New York Times décrit comme “l’homme le plus connecté du monde” en raison de ses collaborations avec des universités du monde entier, décrit un futur où les frontières nationales reculeront et où les agglomérations – ainsi que les personnes – les plus connectées prendront le pouvoir. Ce constat, c’est aussi celui de l’Institut Mc Kinsey.
Les dix meilleurs cartes de la ville de New york en 2015
Despite spending an inordinate amount of time each day looking at maps, it is beyond me to select a list of the best maps from among everything posted last year on the web. There are far too many, more than I could ever hope to find, for the list to have any real meaning. Sticking to what I know best, I have compiled my favorite maps of 2015 that cover New York City. With all the great work that has been done, this list could really be many times larger. The most commonly spoken language in each neighborhood that’s not English or Spanish Throughout it’s history, New York City has served as the primary gateway to the U.S. for immigrant populations from all corners of the world. This multicultural character of New York is clearly apparent when you examine which languages are spoken in the home. Who knew there were places in New York where Yiddish was commonly used, let alone Mande, Amhario, and French Criole? You can read more about the map at the original post by Business Insider. Max Galka
La diagonale se vide ? Analyse spatiale exploratoire des décroissances démographiques en France métropolitaine depuis 50 ans
Nous remercions particulièrement Jean-Philippe Antoni et les organisateurs du colloque Théoquant de 2013 qui nous ont permis d’avoir une première discussion avec des collègues géographes. Ce travail s’intègre dans la dynamique de l’observatoire démographique de la Méditerranée - DemoMed ( dirigé par Isabelle Blöss. 1La géographie française a connu dans les années 1970-80 un débat important autour de l’existence et de la qualification d’une « diagonale du vide ». Le terme, dont on ne retrouve pas l’origine exacte (Fumey, 2009), qualifie une diagonale traversant la France du sud-ouest au nord-est et caractérisée par des densités de population plus faibles qu’ailleurs. 2L’objet de cet article n’est pas de prendre position dans ce débat, mais d’apporter, 30 ans après, un élément d’éclairage démographique et spatial. 3Depuis quelques années, un certain nombre d’auteurs s’intéressent à nouveau à la question. 1 Nous avons utilisé pour cela le logiciel GéoDa (Anselin, 2005).
Detroit by Air
You can learn a lot about a place by seeing it from the air. I’m a pilot and an aerial photographer; I am also trained as an architect. I’ve always been interested in how the natural and constructed worlds work together, and sometimes collide. Issues like income inequality also reveal themselves quickly from above, and in Detroit and the surrounding area, the stark contrast between the haves and the have-nots couldn’t be more apparent. Outside the city center, I flew over new homes built alongside lakes and country clubs. Five-car garages, swimming pools and pool houses decorated elaborately landscaped yards. I first photographed Detroit from the air during the Reagan-Carter campaign 34 years ago. From the air today, the decline appears to be slowing. I think that the inner ring of Detroit will win out in the long run, as cities are and will continue to be the greenest places to live on a per-capita basis. Detroit’s rebound is just a matter of time.
BRIC : la fin d’un acronyme ? | IRIS
BRIC : la fin d’un acronyme ? | IRIS▻ Depuis l’invention de l’acronyme BRIC, en 2001, par l’économiste Jim O’Neill, pour désigner cet ensemble de pays émergents à fort potentiel de croissance, que de chemin parcouru pour le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine… Ces pays pesaient environ 21,5 % du PIB mondial en 2014 (PIB courant en dollars), contre moins de 8 % en 2000. Durant les années 2000, leur dynamique a permis de soutenir la croissance mondiale et d’instaurer une recomposition de la division internationale des échanges. La gestion de la crise des subprimes a renforcé cette croyance puisqu’excepté la Russie en 2009, les BRIC ont conservé de forts taux de croissance dans un environnement économique pourtant déprimé. Quelle unicité des BRIC ? Contraintes communes versus dynamiques différenciées #Bric
Six billion tweets