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Les Français n'ont jamais claqué autant d'argent aux jeux

Les Français n'ont jamais claqué autant d'argent aux jeux
En France, on joue. On joue même beaucoup. Jamais les Français n’avaient misé autant dans les jeux d’argent. Que l’on gratte au comptoir, qu’on mette un billet sur un cheval ou qu’on bluffe au poker, les yeux dans les yeux ou par ordinateur interposé… Les ménages ont parié 46,2 milliards d’euros en 2012, soit 76% de plus qu’en 2000. La mise moyenne, 2 000 euros par an Près de la moitié des Français joue, au moins occasionnellement. «Entre 2000 et 2012, le montant total des mises s’est accru de 76% en valeur, la dépense nette des ménages a progressé de 48%», relève l’Insee. Poker et grattage Les Français adorent gratter. Le joueur dépendant a changé de visage Et concernant l’addiction ? A ces nouveaux joueurs dépendants, s’ajoute le bataillon des obsessionnels des jeux à gratter. Related:  Veille informative sur le jeu

Jeux d’argent, crédit et surendettement : Depuis la légalisation en France des sites de jeux d’argent et de hasard en ligne (loi n° 2010-476 du 12 mai 2010), le nombre de joueurs a explosé. La fréquentation du site PMU.fr, par exemple, a progressé de 41% en un mois seulement, entre septembre et octobre 2010, selon l’Institut Mediamétrie. Dans les 3 catégories de jeux en ligne, Jeux de cercle comme le poker, paris sportifs ou paris hippiques, le succès est assuré. Partout sur les blogs, sur Youtube, dans les Skyblogs même, les gens s’enflamment pour leur nouvelle passion ! Crédit et activités d’argent = encadrement de l’Etat. Les jeux d’argent et de hasard n’étant pas sans risque, ils font l’objet d’un encadrement strict par l’Etat. Pour autant, les français restent pour le moment très sages vis à vis des jeux en ligne, comme le montre une étude Ipsos : Ces bons chiffres globaux peuvent cependant masquer de vrais cas de surendettement par les jeux. Des services à la disposition des joueurs. Peut-on jouer à crédit ? En conclusion.

Les jeux d'argent rapportent 4,7 milliards d'euros par an à l'Etat En 2011, les Français ont misé 31,6 milliards d'euros dans des jeux d'argent, contre 26,3 milliards en 2010. Les loteries, courses de chevaux, sites de paris et de poker en ligne rapportent près de 4,7 milliards d'euros de recettes fiscales annuelles pour l'ensemble des administrations publiques, selon une étude publiée dans le dernier numéro de la revue l'ENA Hors les murs, dirigée par des anciens élèves de l'Ecole nationale d'administration. Les jeux en ligne apportent chaque année 1,4 milliard d'euros à l'Etat, précise Véronique Bied-Charreton, directrice de la législation fiscale à la direction générale des finances publiques de Bercy et auteur de l'étude. La Française des Jeux, dont le chiffres d'affaires a atteint 11,4 milliards d'euros en 2011, et les près de 190 casinos français, dont le produit brut des jeux, différence entre les mises et les gains des joueurs s'est élevé la même année à 2,32 milliards d'euros, assurent à l'Etat 3,3 milliards d'euros de recettes.

Jeux télé : voici les astuces des productions pour limiter les gains des candidats Les jeux télé attirent de plus en plus de candidats. En temps de crise, de nombreux téléspectateurs rêvent de décrocher le jackpot pour s'offrir des vacances ou simplement arrondir leurs fins de mois. Forcément, lorsque Julien Courbet nous promet 100 000 euros dans A prendre ou à laisser ou Laurence Boccolini 250 000 euros avec les trappes de Money Drop, la tentation est forte ! Surtout qu'il est, a priori, plus facile (encore faut-il avoir le profil recherché) de se faire sélectionner et de repartir avec quelques milliers d'euros que de gagner la somme équivalente dans les jeux à tirage ou à gratter. En plus, c'est gratuit et amusant... Mais comme au casino, les chaînes et les productions ne veulent pas prendre le risque de reverser de telles sommes tous les jours. "Ces sommes doivent être intégralement financées par les appels surtaxés", écrivent nos confrères. Alors comment font les producteurs pour ne pas dépasser ces gains moyens ?

Jeux d'argent: Les Français jouent plus, plus souvent Loto, courses hippiques, poker en ligne... Plus de la moitié des Français (56,2%) a joué au moins une fois à un jeu en 2014, note l'Observatoire des Jeux (ODJ) dans une étude publiée jeudi. En 2010, ils n'étaient que 46,4%. Selon les chercheurs de l'ODJ, cette augmentation «concerne tous les milieux sociaux», est «générale et assez homogène», même si elle est «un peu plus importante parmi (...) les femmes (+11%) et les personnes les plus jeunes et les plus âgées (+12,4% pour les 15-17 ans, +11,5% pour les 45-75 ans)». Autrement dit, les Français sont de plus en plus nombreux à jouer, ils jouent plus souvent et plus d'argent. Les femmes et le grattage, les étudiants et les paris sportifs Alors qui joue le plus souvent? Accros aux jeux en ligne: «Une très nette émergence des problèmes liés au poker et aux paris sportifs» Beaucoup plus de joueurs réguliers Le nombre de joueurs réguliers (au moins 52 fois dans l'année) passe de 22,4% en 2010 à 31,5% en 2014, explique l'ODJ.

Jeux de hasard et d'argent - Synthèse des connaissances Accès rapides : - Présentation- Production / offre- Consommation- Conséquences- Cadre légal et orientations publiques récentes- Sélection de documents- Repères législatifs et réglementaires haut du document Les jeux de hasard et d’argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. L'industrie du jeu constitue aujourd'hui un secteur économique et financier important qui draine de l'emploi (direct et indirect) et de la fiscalité. À la fin des années 2000, dans un contexte de possible ouverture des jeux en ligne (officialisée en 2010), les conséquences de ces usages préoccupent de plus en plus les pouvoirs publics : la Direction générale de la santé commande à l’INSERM une expertise collective en 2008 [2] à la suite de laquelle a lieu, en 2010, la première enquête épidémiologique nationale sur les jeux de hasard et d’argent [4]. Un secteur économique ancien et important Le PMU gère les paris d'argent sur les courses de chevaux en dehors des hippodromes.

bibllio Conditions de vie-Société - Les jeux d'argent en France Imprimer la page Éric Rakedjian et Marina Robin, division Services, Insee Résumé En France, l’attirance pour les jeux d’argent n’a cessé de progresser jusqu’en 2004-2006 (0,9 % de la consommation des ménages) et s’érode un peu depuis (0,8 % en 2012). Avant 2010, le secteur des jeux s’organisait autour de trois grands pôles : la Française des jeux (FDJ), le Pari mutuel urbain (PMU) et les casinos. L’autorisation de jouer légalement en ligne, depuis juin 2010, n’a pas modifié l’équilibre et la hiérarchie du secteur des jeux d’argent : les jeux en ligne ne représentent que 7 % du marché en 2012. Les prélèvements obligatoires représentent 11 % des mises. Un joueur mise en moyenne environ 2 000 euros par an, soit une dépense de 400 euros, nette des gains. Sommaire Encadrés Publication La moitié des adultes en France s'adonne aux jeux d'argent, même occasionnellement En 2012, en France, les ménages ont parié 46,2 milliards d’euros dans les jeux d’argent. Retour au sommaire Un secteur très concentré

Jeux d'argent : les Français perdent en moyenne 400 euros par an Le Parisien | 02 Avril 2014, 09h00 Au tirage, au grattage, sur les champs de course, dans les casinos ou encore sur internet... Au total, les Français ont dépensé près de 46 milliards d'euros pour les jeux d'argent en 2012. Mais tout le monde ne gagne pas le jackpot avec la perspective de pouvoir aller vivre au soleil ! L'attrait des jeux d'argent reste néanmoins très fort, même s'il a semblé s'éroder en 2013 avec, selon l'Insee, une baisse de 0,8% (en valeur) de la consommation en jeux pour les ménages. A partir de 2010, l'arrivée des jeux en ligne n'a pas fondamentalement changé la donne, malgré l'engouement de départ. « Les jeux en ligne ne représentent que 7 % du marché en 2012», explique l'Insee. L'Insee dresse aussi le portrait du consommateur de jeux : «Un joueur sur quatre est un joueur actif, c'est à dire qu'il joue plus de 52 fois par an ou mise plus de 500 euros dans l'année», ajoute l'Insee. > Résultats des élections régionales 2015

Les coulisses de la télé: Les jeux sont-ils déjà faits? Chez nous, le Septante et un mène pépère sa barque sur RTL-TVI sans concurrent direct à l'horizon. Mais quand les téléspectateurs belges se branchent sur les chaînes françaises, les jeux télé représentent une armada d'animateurs et de candidats qui se livrent une bataille au quotidien. L'avantage du genre? Un jeu coûte dix fois moins cher à produire qu'une fiction, et ça rapporte beaucoup d'argent. Cette guerre quotidienne contraint les producteurs de ces programmes à imaginer des stratégies de séduction sans faille. Règle 1: Recruter du "champion potentiel" La tendance actuelle est claire: dans la plupart des jeux, les candidats peuvent revenir plusieurs fois. * Un chiffre? Règle 2: La vie du candidat doit être passionnante Les "anecdotes" racontées par les candidats font partie du récit moderne des jeux. * Un chiffre? Règle 3: En plateau, ça doit être show! Les jeux sont tournés à une cadence infernale: 5 par jour, en moyenne. * Un chiffre? * Un chiffre? * Un chiffre?

TEMOIGNAGE : Dans les coulisses des castings de jeux télévisés (Vécu) La production ne recherche pas des têtes d’ampoules mais des gens qui font le spectacle… à leurs dépens Ils sont nombreux les amateurs de jeux télévisés qui n’hésitent pas à courir les castings pour avoir la joie de passer à la télé. Et surtout de gagner une petite ou grosse somme, quand dame chance est de la partie. Malheureusement, au fil des ans, et avec l’apparition des émissions de téléréalité, les critères de sélections ont changé. Et pas dans le bon sens ! Remporter la vitrine du « Juste prix » ou montrer son incroyable talent de chanteur dans « N’oubliez pas les paroles », quoi de plus amusant, pour peu qu’on soit un peu extraverti. Ainsi, dans les années 1980, à l’époque de « Tournez Manège », « La Roue de la Fortune » «Le Monde est à vous » (hé oui, ça remonte à loin), il suffisait de s’inscrire par courrier, d’envoyer une photo et d’attendre tranquillement la convocation au casting. Et là encore, les heureux sélectionnés se sont bien marrés sur le plateau.

La dépendance au jeu | Information jeux d'argent De manière quasi invariable, on estime que cette pathologie concerne un peu plus de 2 % de la population adulte ; le consensus est admis sur ce chiffre par l’ensemble des études internationales. L’étude référence date de 1996 (Ladouceur, Jacques, Ferland et Giroux) et situe le taux de prévalence à 2.1 %. On remarque que les taux ont tendance à augmenter dans le temps signifiant aussi que plus il y a accès aux jeux de hasard, plus l’incidence augmente, comme tend à le démontrer l’expérience australienne, un pays qui détient un record en terme de nombre de loteries-vidéos et de joueurs pathologiques, estimés à 7 % de la population. A Las Vegas, capitale mondiale du jeu, on dénombre aussi plus de joueurs accros que dans la moyenne nationale… Seule certitude, on peut admettre que les joueurs en difficultés se recrutent majoritairement au sein des joueurs réguliers, dont les études de clientèles montrent clairement l’importance : Synthèse ► Parler de dépendance, ce n'est pas parler d'excès ! 1.

Le sport n'est pas un jeu neutre et innocent Le sport n'est pas un jeu neutre et innocent Michel Caillat Ignoré ou méprisé par la majorité des militants, le sport, "fait social total", joue pourtant des fonctions politiques, idéologiques et économiques très importantes. Le sport est le seul domaine du social qui fait totalement consensus. Alors qu'il mobilise des millions de personnes, les militants ne l'analysent pas et glissent sur cette institution de façon invraisemblable. Du côté politique, tous les programmes de la gauche à la droite ont des discours identiques sur le sport : on le sacralise parce qu'il est populaire. Le premier problème est celui de la définition du sport. Le second problème est de réduire l'analyse du sport aux résultats sans dévoiler ses fonctions. Ensuite, ses implications sont idéologiques. Le sport reflète le fondement des rapports de production capitalistes ainsi que leurs principes structurels de fonctionnement. On accepte ainsi dans le sport ce qu'on met en question partout ailleurs.

Téléréalité: un jeu pas comme les autres - hommelibre sur LePost.fr (14:21) Publié parhommelibre post non vérifié par la rédaction 16/04/2011 à 14h06 - mis à jour le 16/04/2011 à 14h21 | vues | réactions On a le droit de rêver. Il débutent avec des provisions pour par exemple trois jours. Ces 20 personnes traversent des difficultés: géographiques, climatiques, organisationnelles. En chemin les participants doivent résoudre des énigmes, participer à des épreuves physiques, trouver des solutions pour avancer quand ils semblent dans l’impasse. Dans ce jeu il y a une règle de base: tous les participants doivent arriver au bout (sauf cas de force majeure comme un accident). Le groupe est donc aussi fort que chacun de ses membres. Mais en même temps, comme tous doivent arriver au but dans un temps donné, l’entraide mutuelle est nécessaire.

1)Un conditionnement dés l'enfance avec la socialisation sexuée Nous avons observé dans la première partie que l’école avait un rôle important dans la reproduction des rôles féminins et masculins, et qu'ils aboutissaient à des inégalités entre hommes et femmes dans la vie d'adulte des individus. La famille ; un des principaux agent de socialisation va clairement reproduire ces rôles prédéfinis, consciemment ou inconsciemment. Les parents traitent leurs enfants différemment selon qu’ils sont garçons ou filles. Dès l’annonce du sexe de l’enfant à venir, sa chambre et ses vêtements prennent les couleurs conventionnelle et on lui achète des jouets correspondant à son sexe. Les parents projettent les activités qu’ils pourront réaliser avec l’enfant suivant son sexe et, souvent, l’un des deux sexes est souhaité plutôt que l’autre. L'attitude qu'on qualifie " de fille " ou " de garçon " n'est pas d'origine naturelle, en effet, des nouveaux nés de sexe différent auront les mêmes reflexes, les mêmes cris etc... 2.

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