Circuits courts Les circuits courts de commercialisation des produits agricoles sont une activité non négligeable pour de nombreuses exploitations en France. En effet, la vente directe concerne toutes les filières, surtout celles des fruits et légumes, de l’horticulture, de la viticulture et des filières animales. 4% des fruits et légumes achetés le sont en vente directe, ce pourcentage atteint 7% si l’on prend en compte l’ensemble des formes des circuits courts. Plus généralement, 16,3 % des exploitations agricoles font de la vente directe, dont 47% qui transforment les produits De nombreux pays sont concernés par le sujet du développement des circuits courts qui font l’objet d’un grand intérêt. La démarche des circuits courts de commercialisation a toujours existé, mais elle tend à se développer depuis plusieurs années. Un comité chargé du suivi de la mise en œuvre des mesures annoncées a été institué.
Circuits Courts FODALI – FOrum des modes de Distribution ALimentaire Innovants, les 26 et 27 juin 2013 à Périgueux. A l’heure où le monde de la distribution alimentaire vit une profonde mutation, FODALI est l’unique rendez-vous en France pour décrypter et débattre des enjeux, des tendances, des innovations et des expériences réussies. FODALI, c’est : - Le forum sur les évolutions de la distribution alimentaire au regard des nouveaux comportements d’achat, - Le forum où l’on s’interroge, où l’on débat et où l’on partage ses expériences, - Un forum entre professionnels : producteurs, industriels, distributeurs, restaurateurs, logisticiens, prestataires de services et institutionnels. Au cœur des débats de l’édition 2013, une tendance de fond : La recherche de sens des consommateurs qui se traduit par un besoin de proximité. Pour consulter le programme complet, cliquez ici. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel de l'événement Communication : contact@fodali.com (123 Ko) (2,1 Mo) Colloque CCP 2013
Circuits courts/circuits de proximité Objectifs du projet de coopération Conforter et mettre en cohérence et en commun des savoir-faire locaux, mettre en réseau les acteurs et promouvoir les produits Conforter, mettre en cohérence et en commun les expériences, les connaissances et savoir-faire des territoires coopérant autour des produits du terroir Mettre en réseau les acteurs des territoires (producteurs, artisans, restaurateurs, acteurs du tourisme…) pour structurer des filières locales, soutenir la recherche de nouveaux débouchés Promouvoir les spécificités locales/ produit du terroir auprès des consommateurs. Créer une « identité culinaire » Touraine Partenaire du projet Thèmes Agriculture et produits agricoles Aménagement du territoire Circuits courts/circuits de proximité Commercialisation Date d'approbation du projet 8 Novembre, 2012 Date (prévue) de fin du projet 31 Décembre, 2014 Contexte et origine Objectifs opérationnels Créer une plus value des opérations déjà entreprises autour des produits locaux.
les AMAP disent NON à la Ruche qui dit oui Le “frelon” Parisien exterminateur de la petite paysannerie continue ses ravages ! Depuis plusieurs années, des groupes de consom-acteur-actrices se sont regroupés pour aider au maintien ou à l’installation de paysans (AMAP , ACAPE , centres de réinsertion, etc…), mais depuis peu cette mouvance semble s’essouffler. Par contre, de nouveaux moyens de distribution ont vu le jour, via internet comme “La ruche qui dit oui”. Grâce à la médiatisation énorme dont a bénéficié cette nouvelle formule, l’engouement auprès de celle-ci a bien pris. En effet, la presse laisse supposer aux lecteurs qu’il s’agit de distribution de paniers en vente directe, alors que c’est une plate-forme logistique qui prélève près de 20 % du chiffre d’affaires aux paysans adhérents à ce système. Un apiculteur à 90% en vente directe, distribuant dans 10 lieux d’AMAP a dit « NON » aux sollicitations d’une « ruche qui dit oui » (1) près de chez lui ! par AMAP Bio Devant – Courbevoie Petite mise à jour:
* C I V A M - Bretagne * Agriculture durable et solidaire Circuits courts et vente directe Recherche action SALT La méthode SALT (Systèmes ALimentaires Territoriaux) vise à comprendre comment des circuits courts peuvent faire système à l'échelle d'un territoire. La FR CIVAM Bretagne a construit une méthode, la méthode SALT (Système alimentaire territorialisé) afin d’accompagner la mise en place de plan d’action. Elle a pour objet d’évaluer globalement l'impact socio- économique des circuits courts sur un territoire. La méthode SALT a été utilisée sur de nombreux territoires (Pays, Agglomération, Parc Naturel Régional…). Le territoire de Rennes Métropole a fait l’objet d’une évaluation socio économique des circuits courts. Télécharger le document de présentation et de résultats sur Rennes Metropole (vers des systémes alimentaires territorialisés, 2014, 8 pages) Le guide SALT SALT bénéficie de partenariats scientifiques denses, notamment avec Agrocampus Ouest et l'Université Rennes 2. Une méthode d'observation systémique...
Producteurs et consommateurs s’unissent pour former des communautés solidaires Voilà un entrepreneur qui a du piquant. Guilhem Chéron prépare sa recette depuis un an et demi dans les règles de l’art. Se basant sur le succès des AMAP (Associations pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne) qui créent un lien direct entre le producteur et le consommateur, ce designer industriel de formation a inventé une nouvelle formule : « La ruche qui dit oui ! », visant à ouvrir le concept au-delà des simples consommateurs avertis. La ruche est en réalité un groupement de quarante à cinquante foyers situés dans une même zone géographique qui vont se réunir pour faire appel aux producteurs de leur choix et se fournir directement auprès d’eux, court-circuitant ainsi le passage par la case distributeur. Pour être plus précis, c’est le producteur qui calcule lui-même ses prix en fonction de sa zone de chalandise : il lancera lui même les propositions auprès de la ruche en proposant de livrer un certain volume de ses produits, fruits ou légumes par exemple.
Marketing, Business & Risk Management: NCAT Sustainable Agriculture Project Home > Marketing, Business & Risk Management No matter what you grow, you'll need to sell it at a profit if you're going to stay in business. These resources can guide agricultural business planning and help farmers manage the amount of risk in their enterprises. In addition, some of these resources offer advice on diversifying, developing new markets and adding value to farm products to increase income. Several categories of publications are offered: NOTE: Some of the following documents are available as Adobe Acrobat PDFs. Organic Marketing and Labeling Direct Marketing Options Value-Added and Processing Business Planning and Management Funding Search ATTRA's Funding Opportunities Database Where Else Can I Find Agricultural Funding Resources? Grassroots Guide to the 2008 Farm Bill Risk Management Agricultural Risk Management - English and Spanish Curriculum Organic Certification for Southern Farmers Other Marketing Topics Cooperatives (USDA-RBS Publications) Back to top
Traçabilité des produits: cinq façons de manger local Après les scandales de la viande de cheval retrouvée dans des plats cuisinés et les problèmes de traçabilité des produits qui en découlent, il paraît de plus en plus difficile de savoir ce que l'on trouve dans nos assiettes. Une solution parmi d'autres existe pourtant pour y voir plus clair dans ce que l’on mange: les circuits courts. Ce mode de consommation alternatif a pour but de réduire les intermédiaires entre producteurs et consommateurs, de préférence en consommant des produits issus d’une agriculture locale. 1. Les associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap) existent depuis des années. Ces dernières connaissent même un certain regain d'intérêt. 2. Réunir la plus grosse communauté possible de consommateurs autour de produits agricoles locaux et par Internet, c’est le principe de La Ruche qui dit oui! Cette entreprise sociale et solidaire a été fondée en 2010. 3. En octobre 2012 est né le tout premier “ drive-fermier ”. 4. 5.
L’alimentation au cœur des enjeux Se nourrir, dénominateur commun à l’ensemble des êtres vivants de la planète, se trouve au cœur des enjeux du développement durable. L'alimentation est à l'interface de nos territoires et de leur richesse en biodiversité, de nos paysages et de notre culture : elle les façonne et en est la résultante. L’alimentation c’est aussi un droit élémentaire pour chaque être humain. Or tous n’y ont pas accès puisque près d’un milliard d’hommes souffrent encore de la faim sur notre planète. L’alimentation c’est enfin un secteur économique majeur dont dépendent de nombreux acteurs (agriculteurs, industriels, pêcheurs) et qui est aujourd’hui porteur de déséquilibres environnementaux. Consultez le livret découverte "biodiversité & assiette" en ligne pour en savoir plus Des circuits alimentaires non durable Recréer le lien entre l'alimentation les êtres humains et les écosystèmes haut de page