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« Reverse mentoring » : quand les jeunes apprennent aux dirigeants Le reverse mentoring ou le mentorat inversé est un nouveau principe mis en place par les grands groupes, qui consiste à affecter aux dirigeants expérimentés un mentor qui n’est autre qu’un jeune salarié issu de la génération Y. Quand le poste d’apprenti prend un autre sens Les jeunes salariés de la génération Y, génération qui a grandi dans un environnement numérique, ont des compétences en matière d’outils numériques, de communication que les dirigeants plus expérimentés n’ont pas. Ainsi, le jeune mentor a pour mission de les aider à mieux appréhender les codes et les usages des technologies de l’information et de la communication qui se multiplient. C’est une autre façon de travailler qui se met en place. D’ailleurs, les dirigeants ayant bénéficié d’un mentor de la génération Y, admettent avoir reçu des informations et des conseils qu’ils n’auraient pas obtenus autrement et qui ont joué un rôle important dans le développement de leur stratégie commerciale et marketing.
Cinq conseils pour en finir avec le management à l'ancienne Management Le 16/09/2014 La transformation du travail à l’ère de la mondialisation numérique s’accélère. On choisit de plus en plus d’être son propre patron, et un nombre croissant d’entreprises et de travailleurs indépendants traitent par le biais de plateformes en ligne. Dans certains secteurs du monde des affaires, des stratégies innovantes sont en train d’émerger et misent sur une plus grande liberté et un plus grand choix accordés à tous les employés quant à leur lieu et leurs méthodes de travail. Des forces majeures sous-tendent cette mutation du travail, comme les rapides avancées que connaît le domaine des technologies de la communication, la mondialisation, les changements démographiques en matière de main-d’œuvre et le besoin urgent de lutter contre le changement climatique. 1. Il est primordial de faire confiance à ses employés si l’on décide de leur accorder une plus grande liberté afin qu’ils donnent le meilleur d’eux-mêmes. 2. 3. 4. 5.
Le choc des générations Vous avez envie de savoir comment pensent, agissent et vivent les Baby Boomers, la Génération X et la Génération Y ? Voici quelques éléments de réponses. À l'ère où quatre générations travaillent ensemble, parfois avec une différence d'âge d'un demi-siècle, Hudson s'interroge sur leurs façons de penser, d'être et d'agir. Une étude internationale menée par le cabinet de conseil en recrutement et en talent management auprès de 28 000 professionnels dans 22 langues différentes (via le BAQ, un questionnaire développé par son propre centre de R&D) met en parallèle les manières d'aborder le monde du travail, d'appréhender l'entreprise et le management des baby-boomers, X, Y et Z. Si l'étude pose certaines évidences, comme le fait que l'ambition s'atténue avec l'âge ou que les hommes sont moins enclins à soutenir les autres, elle révèle aussi des informations plus surprenantes : les baby-boomers seraient plus persuasifs, décideurs et extravertis que les Y. Quels impacts pour les entreprises ?
Changer la conduite du changement : une nécessité pour tous ! De plus en plus de voix se font entendre pour remettre en cause les approches usuelles de conduite du changement. En effet, elles sont jugées trop linéaires, pas assez participatives et trop peu digitales. C’est dans cette situation que se pose la question de faire évoluer la conduite du changement. Une histoire déjà significative La conduite du changement est une discipline relativement récente qui depuis ses origines jusqu’à nos jours a donné lieu à de nombreuses études et analyses même si le sujet reste toujours le même, à savoir la gestion de l’élément humain dans les changements. C’est réellement à partir du début des années quatre-vingt-dix qu’a démarrée la deuxième phase, alors que les organisations faisaient face au développement rapide de la globalisation et des technologies informatiques. A partir des années deux mille, la conduite du changement est entrée dans une troisième phase avec l’approfondissement de ses méthodes d’analyse. Des changements qui évoluent
Yves Morieux (BCG) : 6 règles de simplicité au travail Pourquoi assiste t-on à une productivité en berne malgré les avancées technologiques, pourquoi les entreprises font-elles face à un «désengagement actif» de la part de leurs salariés en dépit du développement des formations en management et en leadership ? C’est à ces questions que répondait Yves Morieux, Directeur Associé senior au BCG lors d’une intervention Ted remarquée et qui font l’objet de son nouvel ouvrage « Six Simple Rules » Sa réponse est que les deux piliers du management : Le pilier dur (structures, process, KPIs etc..) mais aussi le pilier «soft» (émotions, liens…)-qui imposent des compromis de plus en plus difficile à gérer- sont obsolètes. Ils génèrent une ultra-complexité que chaque entreprise tend naturellement à rendre de plus en plus indéchiffrable en créant une nouvelle fonction et de nouveaux KPIs adaptés à chaque process dans une matrice de plus en plus confuse et avec, au final, un impact de plus en plus marginal. 1- Comprendre le travail des autres
Quel management en 2030 ? Que sera le management dans quinze ans ? Bien difficile de répondre à une telle question quand on connaît le peu de pertinence des prédictions en la matière. La question mérite pourtant d'être posée, car les modes de management ont profondément évolué depuis trente ans. Nous sommes loin des quatorze pratiques de management d'Henri Fayol et de l'École des Relations humaines : pour faire face à des environnements incertains et mouvants, les managers ont eu recours à l'analyse systémique, à la contingence ou à l'approche par les processus. Management solidaire Mais la mondialisation n'a pas abouti à l'émergence d'une forme de management globale et homogène. De stratégique, le management est devenu plus opérationnel avec le développement du management de proximité. Moins d'emplois salariés La désintermédiation, d'une part, provoque une augmentation massive du nombre de travailleurs indépendants (free-lances), libres de toute structure, dans des emplois précaires. De nouveaux managers
Les pratiques managériales les plus innovantes du monde Audace, inventivité, souplesse, authenticité... Tout le monde s'accorde à dire que nos entreprises doivent se réinventer pour se différencier. Quand on parle d'innovation, on pense stratégie, offre, organisation et très rarement management, à savoir la manière dont on anime et les Hommes. Pourquoi ? Vous, qui découvrez cet article, aimeriez-vous travailler au sein d'une entreprise où :les missions que l'on vous confie sont passionnantes ? Bien que 85 % des dirigeants estiment que l'innovation est primordiale pour rester compétitif, les entreprises n'y accordent qu'environ 10 % de leur temps [i]. Le management : parent pauvre de l'innovation Selon un sondage Ipsos de 2013, l'innovation est confiée à 72 % aux fonctions Recherche & Développement, Qualité et Marketing, ce qui représente entre 5 à 8 % de l'effectif. Histoire du management : quand "toujours plus de la même chose produit les mêmes effets" Si les outils évoluent, les paradigmes managériaux demeurent inchangés depuis un siècle. 1.
Management : Les différentes écoles de la théorie des organisations Les différentes écoles de la théorie des organisations → Entreprise = organisation et institution managériale, système complexe et contingent, lieu de contrat et de décision à rationalité limitée Structures et configurations Structurer = organiser = diviser et coordonner Choix fondamentaux de division : -faire ou faire faire -comment répartir les taches -comment répartir le pouvoir et Controller la dynamique sociale Paramètre de conception d’une structure : - spécialisation du travail (vertical ou horizontal) -décentralisation verticale ou horizontale Formes de structures : -Hiérarchique : unité de commandement -Fonctionnelle : compétence mais absence d’unité de commandement -Hierarchico-fonctionnelle : hiérarchique + conseillers -Matricielle : chef de département + chef de projet/produit - Par Mintzberg : sommet stratégique, ligne hiérarchique, centre opérationnel + technostructure et support logistique Dynamique des structures
Le manager et l'innovation participative L’innovation participative, ce n’est pas nouveau. Depuis 10 ans, des séminaires, des présentations, des experts venus du bout du monde et bien entendu des consultants se sont jetés sur le sujet sans pour autant arriver à en faire un modèle déployable partout. Qu’est ce qui peut donc faire la différence entre les sociétés qui y arrivent et les autres ? Faire confiance… le premier pas le plus difficile et quasiment inexistant en entreprise Innover c’est prendre le risque de proposer des solutions qui ne marchent pas du premier coup, c’est explorer des pistes qui peuvent être sans issue. Pour créer ce climat de confiance, le manager doit développer plusieurs réflexes/rituels de management : Cette collaboration est favorisée par certaines postures managériales : Le manager a encore un rôle central dans la responsabilisation des équipes : En trouvez-vous ? Sans pilier, pas d’innovation.
Qu'est ce que le management de l’innovation ? L’innovation est-elle rentable? Et la réponse est oui! Le cabinet d'audit PwC a interrogé 2.000 dirigeants sur le sujet en octobre 2013 et ils sont quasi unanimes. 93% d’entre eux estiment que leur croissance des cinq prochaines années sera rendue possible non plus par la mondialisation, mais par l’innovation. Les entreprises les plus innovantes enregistrent déjà un chiffre d’affaires de 20% supérieur à celles qui n'obéissent pas à cette logique. Mais du coup, pour les managers, un nouvel enjeu apparaît : maîtriser ces processus qui instaurent le changement dans leurs équipes. L’innovation ne se résume pas à la technique Le succès d’entreprises comme Google ne repose pas tant sur une supériorité technique, que sur un modèle de management. « Ce n’est pas l’idée, mais son exécution au sein de l’entreprise qui est importante », assure Stéphane Mercier, responsable du Mastère en management stratégique du changement par l'innovation de l’ENSAM. - maîtriser des processus.
Modèle économique d'un espace de coworking Introduction Nous allons reprendre dans cette section l'ensemble (le plus exhaustif possible) des possibilités pour développer une offre intégratrice de Coworking. Cela ne signifie pas que toutes les composantes doivent être mises en œuvre. Quelle est la proposition de valeur du Coworking ? Pourquoi vient-on dans un espace de coworking ? On se rend dans un espace de coworking pour de multiples raisons: premièrement: la curiosité, en effet ce type de structure d’origine anglo-saxonne est en pleine expansion, et a fait ses preuves dans différentes régions de la planète, donc certains veulent “essayer” cette nouvelle manière de travailler. Que vient-on y chercher ? On se rend dans un espace de coworking tout d’abord parce que c’est un espace de travail alternatif, c’est une nouvelle manière de concevoir le travail, et le coworker devient acteur de ce changement. Quels sont les éléments constitutifs de notre offre auprès de nos publics cibles ? Qui sont les bénéficiaires directs et indirects?
Coworking à Paris : sur quelle table poser son ordi ? - 16 juin 2015 Le "coworking", c'est quoi ? Des espaces où l'on peut poser son ordinateur portable pour une heure, une journée, un mois, profiter du wi-fi... et rencontrer d'éventuels collaborateurs ou clients. Face à l'essor du boulot à distance et le boom des travailleurs indépendants, le concept a le vent en poupe. La Mairie de Paris l'a bien senti. La Ville vient d'annoncer qu'elle financerait 14 nouveaux espaces de travail partagés. "L'Obs" a sélectionné les meilleures tables au sein de 5 espaces de travail à Paris. 1 Le Tank (11e) Pourquoi cette table ? On se trouve au rez-de-chaussée, proche de l’espace détente avec bibliothèque, canapés et magazines, et à deux pas de la cuisine. Quand la table est bondée, impossible de s’étaler mais c’est ici que s’installent les bavards. Les coworkers qui cherchent un lieu très calme préféreront s’installer au 1er étage. Les + du Tank Les nombreux événements et rencontres, avec des experts du web. Ce que les habitués en disent : Infos pratiques 2Mutinerie (19e)
Comment gérer un manager toxique : Le management de type 4x4 © iStock Sommaire Il est : un monstre sacré. Il aime se surpasser. Il a une grande force de travail. Ce qu’on ressent face à luiDe l’incompétence, des complexes, parfois. Ce qu’il fait par exempleIl ne comprend pas que les autres puissent fonctionner différemment. Les conseils de Chantal Vander Vorst« Essayez d’établir une relation humaine. Le manager de type antipathie A découvrir Pour aller plus loin Il est : intolérant à une part de votre personnalité. Ce qu’on ressent face à luiL’impression qu’il ne nous aime pas. Ce qu’il fait par exempleIl s’énerve, s’impatiente, se met en colère contre certaines personnes. Les conseils de Chantal Vander Vorst« Ne prenez pas personnellement ces agressions. Idées clés - Mettez-vous en projet - N’attendez pas que votre manager change son comportement ou fasse preuve de reconnaissance - Prenez soin de vous - Retrouvez de la motivation en vous faisant plaisir dans la vie - Restez bienveillant, même si c’est parfois difficile Décembre 2014