(1) De Moulinsart à Célesteville, panorama des villes de BD L'an dernier, à l'occasion du Libé des géographes, était publiée une mappemonde des lieux de fiction. Ils ne sont bien souvent pas de simples toiles de fond, mais bien des personnages à part entière de séries télé, films culte, jeux vidéo ou romans. L'occasion de se promener dans le Fairfield de Desperate Housewives, le Gotham City de Batman, le Springfield des Simpson ou le Hyrule de Link, dans Zelda. Voici, cette année, à l'occasion de cette nouvelle édition du Libé des géographes, un panorama (non exhaustif) des villes de bande-dessinée. A lire aussi : De Springfield à Gotham City, panorama des villes de fiction Samaris Avant d’être une ville, Samaris est un mystère à résoudre. Donaldville La première chose qui frappe quand on arrive à Donaldville (entre 200 000 et 500 000 âmes selon les sources) c’est bien sûr cet énorme coffre, siglé d’un $ qui veut dire dollar, posé au sommet de la colline Killmotor. Le village des Schtroumpfs Mais où est donc situé le village des Schtroumpfs ?
Le Cri de Munch La question qu’on se pose toujours face à une œuvre, c’est : "Qu’est ce qui l’a inspirée ?". Elle se pose d’autant plus avec "Le Cri", tant cette toile diffuse un sentiment d’angoisse, voire d’horreur qui interpelle tout ceux qui la contemple. Son auteur, le peintre norvégien Edvard Munch (1863-1944) raconte les circonstances qui ont fait naître en lui cette inspiration : "Je me promenais sur un sentier avec deux amis – le soleil se couchait – tout d'un coup le ciel devint rouge sang – je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture – il y avait du sang et des langues de feu au dessus du fjord bleu-noir de la ville – mes amis continuèrent et j'y restais, tremblant d'anxiété – je sentais un cri infini qui passait à travers l'univers". Voilà pour l'inspiration. Reportage : N. Une oeuvre très prisée Faire sortir "Le Cri" de Munch de Norvège est assez compliqué. Munch, pionnier de l'estampe Edvard Munch - "Peur" (1896) - Collection privée
Espaces et paysages de l’urbanisation (4e – G1) – Kanaga Ce billet concerne la partie en français du cours de Section Internationale. Objectifs Je sais faire travailler en communutiliser des outils numériquesutiliser le langage graphique pour réaliser un schémaanalyser un paysage urbain Je sais me repérer dans l’espace et le temps situer Detroit Je connais le vocabulaire de la leçon centre/périphérie, crise urbaine, ségrégation Je sais expliquer en maîtrisant le vocabulaire la différence entre le centre te la périphériecomment se manifeste la crise urbaine à Detroit Un développement urbain et industriel Dans cette vidéo des années 1930 : quelle impression donne la ville ? Des années 1930 aux années 1950 la ville se développe selon le modèle classique aux États-Unis : Regroupez vous par deux pour analyser les cinq documents. comment la ville est elle structurée par les moyens de transportquelles sont les caractéristiques du centre ville ? Une crise urbaine Regardez la vidéo et les photographies : À partir de ces images : Une crise sociale et économique
Enki Bilal, La conscience visuelle - Le Continu Si le nom ne vous dit rien, c’est que vous n’êtes pas familiarisé avec l’univers de la BD ! Le patronyme un peu fantastique à consonance étrangère accroche l’imagination et, une fois associé aux dessins, ne s’oublie jamais plus. Parcours… Enki Bilal, c’est pourtant une histoire de soixante- quatre ans, débutée à Belgrade, en Yougoslavie, ou le futur scénariste et dessinateur à succès voit le jour. Entamant tout juste sa vingtaine, déjà armé ( expression consacrée par les événements récents) d’un serial coup de crayon, le jeune homme se lance avec audace dans la caricature politique et entame en parallèle un bref cursus aux Beaux-art. Reprenons donc : caricature de presse, cinéma, opéra, expositions.. Aujourd’hui son dernier album, la Couleur de l’air, édité en novembre dernier, prolonge sa réflexion sur le monde tel qu’il va en s’interrogeant plus particulièrement sur les résultantes du changement climatique. La couleur de l’air, manifeste esthétique? Des dess(e)ins cousus de fils blancs
Des photos aériennes pour comprendre l’empreinte humaine | Urbabillard Les photographies aériennes d’Alex MacLean sont des témoignages éloquents de l’empreinte de l’Homme sur son milieu. Elles font ressortir la géométrie de l’agriculture tout comme la forme des grilles de rues. Elles révèlent la manière dont le territoire est aménagé et dont les paterns immobiliers sont répliqués. Ce « Yann Arthus-Bertrand de la photographie américaine » prend de la hauteur pour mieux dépeindre notre rapport au territoire. Certains clichés apparaissent irréels vu l’impression « copier-coller » qui se dégage de certains quartiers préfabriqués des États-Unis. Le photographe multiplie les critiques autant que les regards esthétiques. Photographie des espaces cachés sur les toits de New York La série Up on the Roof est révèle le secret des lieux intimes au sommet des gratte-ciel de Manhattan. Montrant la multiplicité des formes de vie et des aménagements sur les toits de New York, Alex Mclean en souligne aussi leur potentialités. La ville standardisée Visualiser la densité
Shakespeare et Preljocaj | Une page à soi Roméo et Juliette, ballet de Preljocaj, 17, 18, 19 et 20 décembre 2015 à l’Opéra de Versailles. Lorsque Preljocaj décide d’adapter la plus célèbre histoire d’amour et de haine de Shakespeare, le public peut se montrer sceptique. Toutefois, il parvient à convaincre les spectateurs. Créé en 1990, il y a déjà vingt-cinq ans, le ballet Roméo et Juliette lança la carrière du chorégraphe. Le spectacle, divertissant, joliment mis en scène, puissamment accompagné par la musique de Prokofiev, parfois profondément poignant, est un bel événement. En hommage aux ballets qui existent déjà, Preljocaj reprend la musique du grand compositeur russe Prokofiev, mais choisit de livrer une vision très personnelle de la pièce. Les puristes remarqueront que les changements apportés à l’histoire rendent la trame plus bancale : ils auront raison. Roméo n’est pas non plus l’homme pacifique shakespearien, et il ne tue pas Tybalt, qui n’est guère apprécié par Juliette. © Béryl Huba-Mylek J'aime : J'aime chargement…
La ville vue par Yann Arthus-Bertrand | Urbabillard Dans l’ouvrage « La Terre vue du ciel » (1999), Yann Arthus-Bertrand présente des photographies aériennes d’une grande beauté, avec un propos écologiste affirmé. Un documentaire du même nom a été produit en 2004, permettant de survoler des paysages en révélant des enjeux tant locaux que globaux, à travers différents pays du monde. Réputé pour ses photographies de paysages et de phénomènes naturels, Yann Arthus-Bertrand nous permet ici de prendre de la hateur sur différents environnements urbains. Lotissements à Brøndby, banlieue de Copenhague, Seeland, Danemark. Les zones résidentielles font ressortir des paterns de développement qui démontrent une certaine standardisation de la production de la ville. Zone d’habitations unifamiliales, à Chiang Mai, Province de Chiang Mai, Thaïlande Quartier résidentiel dans la banlieue de Caguas, Porto Rico Quartier populaire de Belfast, province d’Antrim, Irlande du Nord (Ulster), Royaume-Uni Quartier résidentiel à Caguas, région centre, Porto Rico
beQbe - Roméo et Juliette La légende de Roméo et Juliette, plus ou moins authentique, qui a si bien inspiré Shakespeare (voir plus bas), a été maintes fois racontée au Moyen âge (Xénophon d'Ephèse, Masuccio de Salerne [1476]), a été fixée, dans la première moitié du XVIe siècle, par l'émouvante nouvelle du Vicentin Luigi da Porto (vers 1524), Les familles véronaises des Montecchi et des Cappelletti, anglicisées en Montaigu et Capulet par le grand tragique, ont sûrement existé. Dante les nomme au sixième chant du Purgatoire. Elles étaient toutes deux gibelines, mais la légende nous les montre séparées par une mortelle haine politique, qui forme le point de départ du drame. Le fils et la fille de leurs deux principaux représentants, Roméo Montechsi et Giulietta Cappelletti, qui se sont rencontrés par hasard, se vouent un amour éternel, parviennent à so marier secrètement, mais ne trouvent enfin de refuge et d'union assurée que dans la mort.