Symbolisme phonétique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne le symbolisme phonétique. Pour le symbolisme phonique, voir Symbolisme des sons. Le symbolisme phonétique ou phonosémantique (en anglais Sound symbolism ou Phonosemantics) est un phénomène linguistique qui consiste en un rapport motivé entre le son et le sens (la phonétique et la sémantique) des langues naturelles. « On appelle symbolisme phon(ét)ique la tendance à supposer qu'il existe une relation nécessaire entre le mot et l'objet signifié et à attribuer aux sons une valeur sémantique dénotative ou connotative. Cette relation est saisissable dans les onomatopées ou les mots expressifs (cocorico, miauler) ; cette hypothèse se vérifierait dans le rapport qui existerait entre la voyelle [i], par exemple, et les petits objets. Origine[modifier | modifier le code] Recherches actuelles[modifier | modifier le code] Les recherches actuelles doivent beaucoup : Onomatopées[modifier | modifier le code]
Popper et le critère de falsifiabilité
Par Claire Saillour Copyright © Photo-libre.fr A la recherche d’un critère ultime de détermination de la frontière entre science et non-science, Popper aura fait de la falsifiabilité des énoncés théoriques la clé de voûte de son épistémologie. La falsifiabilité peut se définir de la manière suivante : un énoncé est falsifiable « si la logique autorise l’existence d’un énoncé ou d’une série d’énoncés d’observation qui lui sont contradictoires, c’est-à-dire, qui la falsifieraient s’ils se révélaient vrais » [1]. Dans ce cadre, l’empirie, à laquelle doit se confronter toute proposition théorique, joue le rôle de « tribunal » des assertions théoriques, elle a donc une fonction critique. Des idées audacieuses, des anticipations injustifiées et des spéculations constituent notre seul moyen d’interpréter la nature, notre seul outil, notre seul instrument pour la saisir. Cette brève présentation de certains aspects de la pensée de K. [1] K.POPPER, cité par A. [2] A. [3] K. [4] A. [5] K.R. [6] K.
Symbolisme des sons
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le symbolisme des sons concerne les sons en tant que symboles, dans leur puissance à représenter analogiquement, à être interprétés, à porter sens et valeurs (en plus de l'aspect pratique ou matériel). On entre dans l'étude des sons en tant que symboles (symbologie) ou en tant que systèmes (symbolique) ou dans l'examen de leur capacité à désigner, à signifier, à exercer une influence (symbolisme). Sous peine de délire, la symbolique ne doit pas sortir du cadre de l'acoustique et tenir compte des caractéristiques du son : un son est une "sensation auditive produite sur l'organe de l'ouïe par la vibration périodique ou quasi-périodique d'une onde matérielle propagée dans un milieu élastique, en particulier dans l'air". Distinctions[modifier | modifier le code] Sons naturels, sons du langage articulé humain (phones), sons musicaux. ? 2 Semi-consonnes. 2.1 Phonème /j/ : yeux ; 2.2 Phonème /w/ : oui ; 2.3 Phonème /ɥ/ : lui. Sons et planètes.
Le refoulement
Latino sine flexione
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Latino sine flexione (LsF) (le latin sans flexions) est une langue auxiliaire internationale inventée en 1903 par le mathématicien italien Giuseppe Peano. Giuseppe Peano Il s'agit, comme le dit son nom, d'une forme du latin sans les modifications morphologiques dues à la déclinaison et à la conjugaison, le vocabulaire restant le même. Historique[modifier | modifier le code] Peano justifiait sa langue dans l'article De Latino sine Flexione, Lingua Auxiliare Internationale (= le latin sans flexion, une langue auxiliaire internationale), inspiré par la suggestion de la langue universelle sur la base de la langue latine par Leibniz[1]. Cette langue appelée par la suite aussi interlingua[2], ne doit pas être confondue avec l'Interlingua de l'IALA. Jusqu'en 1950, il y eut d'assez nombreuses publications en Latino sine Flexione (environ 3000 pages), publications scientifiques surtout. Exemple de texte[modifier | modifier le code]
LA PSYCHANALYSE EST-ELLE UNE SCIENCE COMME LES AUTRES?...
Langue construite
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une langue construite (ou idéolangue, parfois improprement dénommée langue artificielle[réf. nécessaire]) est une langue créée par une ou plusieurs personnes dans un temps relativement bref, contrairement aux langues naturelles dont l'élaboration est largement spontanée. Pourtant, toutes deux sont in fine des créations de l'espèce humaine. Il est donc parfois difficile de cloisonner les langues dans ces deux catégories. Langue construite vs langue naturelle[modifier | modifier le code] Contrairement à une représentation fort répandue, toutes les langues naturelles sont dans une certaine mesure des langues mixtes, puisqu'elles ont connu des interférences au cours de leur développement. Certaines langues naturelles actuelles ont subi des processus de planification. La différence tient donc davantage à un facteur d'échelle : Les motivations[modifier | modifier le code] Une langue internationale[modifier | modifier le code] 20 novembre 1629.
Interlingua (IALA)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La construction de l'interlingua par l'IALA débuta en 1924 et fut achevée en 1951. L'un des principaux contributeurs a été Alexander Gode, auteur d'un précis grammatical, d'un dictionnaire interlingua-anglais et d'un ouvrage d'introduction à la langue intitulé Interlingua a Prime Vista, on peut également citer comme collaborateur Otto Jespersen, Edward Sapir et André Martinet, ainsi que Clark Stillman avec qui Alexander Gode publia la langue. Le vocabulaire de l'interlingua est emprunté essentiellement aux langues romanes ainsi qu'à l'anglais du fait qu'une grande partie de son vocabulaire est d'origine romane. Il existe aujourd'hui une Union mondiale pour l'interlingua (Union Mundial pro Interlingua), qui compte des adhérents dans le monde entier, et une Union interlinguiste de France. C'est également la langue naturaliste ayant eu le plus de succès[2]. L'article défini est "le". l'article indéfini est un Fafa ha le plus verde dentes ex omne.
Figure de style
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une figure de style, du latin figura, est un procédé d’expression qui s’écarte de l’usage ordinaire de la langue et donne une expressivité particulière au propos. On parle également de figure de rhétorique ou de figure du discours. Si certains auteurs établissent des distinctions dans la portée des deux expressions, l’usage courant en fait des synonymes. Substitution opérée par la métaphore : « Ils viennent les chevaux de la Mer ! Les figures de style, liées à l'origine à l'art rhétorique, sont l’une des caractéristiques des textes qualifiés de « littéraires ». Chaque langue a ainsi ses propres figures de style ; leur traduction pose souvent des problèmes de fidélité par rapport à l'image recherchée. Les figures de style constituent un vaste ensemble complexe de procédés variés et à l’étude délicate. Définition et caractéristiques[modifier | modifier le code] (Gérard de Nerval, Les Chimères, El Desdichado) — Paul Valéry[3] — Henri Suhamy[D 2]