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6 leviers pour rapprocher la formation du travail

6 leviers pour rapprocher la formation du travail
L’accélération des cycles économiques et technologiques, les contraintes de coûts, les exigences de résultats, rendent indispensables la prise en compte des situations de travail dans la conception des formations. Dans un billet précédent : apprentissages informels, quel poids réel dans le développement des compétences professionnelles, nous évoquions le « modèle 70-20-10 » : non pas une proportion « gravée dans le marbre » et prouvée scientifiquement, mais une invitation à considérer la nature forcément systémique des apprentissages, à prendre en considération l’ensemble des éléments entrant dans l’alchimie qui permet d’aboutir au développement des compétences. Je propose une « grille de lecture », identifiant 6 leviers pour intégrer formation et travail, pour diagnostiquer les solutions existantes et les améliorer. L’alchimie du développement des compétences Les conditions pour apprendre en situation de travail Une grille de lecture des dispositifs Ou encore comme suit : Related:  SOCIAL LEARNINGFormation en situation de travail

L'expérience apprenant au cœur de notre transformation digitale L’expérience apprenant ou Learner Experience (LX), c’est l’ensemble des émotions et sentiments ressentis par un apprenant avant, pendant et après son parcours de formation. Dans le monde du e-commerce, le phénomène du RO-PO (Research Online – Purchase Offline) bouleverse l’expérience que les marques doivent proposer à leurs clients : on parle alors de parcours client omnicanal et ATAWAD (Any Time Any Way Any Device). Le client s’attend à être reconnu et servi sans rupture, de manière cohérente, quelques soient les canaux empruntés aux différentes étapes de son parcours d’achat… Dans le monde de la formation professionnelle, apprendre tout au long de la vie, c’est le phénomène que je vais renommer LO-TO (Learning Online / Training Offline) qui nous impose de proposer une nouvelle expérience apprenant par le biais de parcours apprenants omni modaux et SLATAWAD (Social Learning Any Time Any Way Any Device) Les différents leviers pour innover en matière d’expérience apprenant

Travail & Changement. Discuter du travail pour mieux le transformer | Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact) Le besoin de réinitier des temps de débat dans les entreprises n’est plus contesté. La mise en œuvre d’espaces de discussion coconstruits, centrés sur l’expérience du travail, constitue un levier intéressant d’innovation sociale et d’action sur les organisations. Les chercheurs relèvent la nécessité d’une mise en discussion du travail au sein de l’entreprise, pour transformer le travail, penser les tensions, prévenir les risques... Témoignages d'experts, cas d'entreprises, méthode du réseau Anact-Aract, découvrez ce nouveau numéro de Travail & Changement. Feuilleter le n°358 de Travail & Changement L'édito Par Hervé Lanouzière, directeur général de l'Anact. Entendons-nous bien... Les espaces de discussion produisent du dialogue professionnel, qui nourrit le dialogue social. Ce que vous trouverez dans ce nouveau numéro Arguments (p. 4 à 8) Espaces de discussion : une parole en l'air ? Avec le point de vue des partenaires sociaux : De la parole aux actes : construire le dialogue Hôpital Banque

Le bonheur au travail, c’est possible Arte présente ce soir un zoom sur les entreprises dites « libérées », en France et dans le monde, dans lesquelles les salariés se disent heureux. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Alain Constant Arte présente ce soir un zoom sur les entreprises dites « libérées », en France et dans le monde, dans lesquelles les salariés se disent heureux (Mardi 24 février sur Arte, à 20 h 50) Le titre de cette Thema, « Le Bonheur au travail », paraîtra sans doute provocateur à beaucoup de salariés. Car selon de récentes études, 31 % d’entre eux sont « activement désenchantés » et 61 % ne bossent « que » pour le salaire. Voilà de quoi dresser un tableau peu réjouissant du monde du travail. Etouffés par une pyramide hiérarchique obsolète, coincés dans des structures basées sur un modèle quasi militaire, beaucoup de travailleurs sont malheureux au travail. « Il y a encore des usines en Europe où des opérateurs d’une quarantaine d’années doivent demander l’autorisation pour aller pisser !

LE SOCIAL LEARNING et les outils web 2.0 Qu'est-ce que la FEST ? | Le blog de C-CampusLe blog de C-Campus Après la transformation digitale, la formation en situation de travail (ou FEST acronyme choisi par la DGEFP), est l’Autre transformation du monde de la formation. Les deux sont liés. Comment développer le digital learning sans un accompagnement « terrain » ? Comment développer la FEST sans des bibliothèques de contenus digitaux fiables et facilement accessibles ? La FEST, une volonté politique Le Premier Ministre Manuel Valls a souhaité dans son plan TPE-PME de juin dernier lancer une expérimentation pour « Libérer les possibilités de formation en situation de travail ». Le Plan TPE / PME du 9 juin 2015 – cliquez ici. Cette volonté d’ouvrir la formation à d’autres modalités que le stage ne date pas d’hier. Conséquence, la FEST se présente comme une troisième voie d’accès à la formation à côté du stage et de la FOAD. La FEST, une action de formation éligible Reprenons les points essentiels de cette définition et appliquons-les à toute formation qui se déroulerait en situation de travail.

Pourquoi travaille-t-on ? On travaille pour trois raisons fondamentales : gagner sa vie, exister socialement et faire des choses qui nous intéressent. Mais chacune de ces motivations a ses revers, poussant chacun tantôt à s’engager tantôt à fuir. Le lundi matin, pourquoi se lève-t-on pour aller au travail plutôt que de rester au lit ? Mais chacune de ces motivations a son revers. Ces tensions entre aspirations fondamentales et réalité conduisent chacun d’entre nous à s’engager et se désengager : se passionner et se dégoûter, connaître des moments de plaisir, d’autres de mortels ennuis, se plonger dans des projets excitants et avoir envie parfois de tout plaquer. Pour gagner sa vie On travaille d’abord pour gagner sa vie, « subvenir à ses besoins » ou « faire bouillir la marmite », comme on disait autrefois. Aujourd’hui comme hier, il faudrait donc « travailler pour vivre », se nourrir, se loger, s’habiller, se soigner, et se payer quelques plaisirs. Pour exister socialement Le travail brise l’isolement. Mots-clés

Des conditions à respecter pour susciter la motivation des élèves Pour que les élèves cherchent à s'améliorer, il faut bien sûr que la motivation soit au rendez-vous. De manière à susciter cette motivation chez les élèves, voici une proposition qui a déjà fait l'objet d'une expérimentation à l'enseignement supérieur. L'analyse des récentes recherches sur la motivation à apprendre en contexte scolaire, nous fait voir que les quatre facteurs qui influent le plus sur la dynamique motivationnelle des élèves en classe sont les activités d'apprentissage que l'enseignant propose, l'évaluation qu'il impose, les récompenses et les sanctions qu'il utilise, et lui-même, de par surtout sa passion pour sa matière et le respect qu'il porte à ses élèves. Nos travaux sur la motivation dans l'apprentissage du français nous ont amené à porter une attention particulière à l'un de ces facteurs : les activités d'apprentissage proposées aux élèves en classe. Dans un premier temps, nous décrirons brièvement chacune de ces conditions. Dix conditions pour motiver BROPHY, J.

18 techniques pour apprendre au sein d'une équipe - épisode 1 - Les apprentissages dans l'action | Le blog de C-CampusLe blog de C-Campus L’équipe est un éco-système apprenant. C’est le lieu d’apprentissages multiples : apprentissage dans l’action, apprentissage social, apprentissage en réseau… A travers d’interviews de managers et de notre expérience, nous avons recensé 18 techniques différentes pour apprendre au sein d’une équipe. Les voici classées en trois catégories principales. Chaque membre de l’équipe peut “apprendre en faisant“. Mais faire, ce n’est pas forcément apprendre. Pour qu’il y ait apprentissage, il faut qu’il y ait “expérience“, c’est-à-dire à la fois “Action“ + “Prise de recul“ : travailler et analyer son travail. La mission apprenante Il s’agit de fixer une mission à un équipier dont l’objectif est autant d’apprendre que de réaliser son travail. L’entretien de progrès L’entretien de progrès est distinct de l’entretien professionnel et de l’entretien annuel. Les groupes d’amélioration Les groupes de retour d’expérience ou d’analyse d’incident Parcours d’intégration Le rapport d’étonnement

Gestes professionnels, gestes de métier : de l’analyse à la formation Le 5 février dernier, la Chaire UNESCO « Former les enseignants au XXIe siècle » organisait une journée d’étude sur « Les gestes professionnels des enseignants comme objet d’étude et objet de formation ». La colonne vertébrale de cette journée a été deux extraits vidéos, des moments de vie d’une même classe et deux enseignants, l’une de français, l’autre de maths. Dans son introduction à la journée, Luc Ria a posé le décor, sur le fond et sur la forme que pouvaient prendre les réflexions et travaux sur les gestes professionnels[1]. Quelles méthodes pour les étudier ? Existe-t-il une culture partagée sur des gestes professionnels ? Ces gestes professionnels sont-ils révélateurs des préoccupations des enseignants ? On verra qu’au fil de la journée se pose la question d’une définition du geste professionnel. Pour aborder ces différentes problématiques, les chercheurs qui sont intervenus lors de cette journée ont apporté leur analyse des deux situations visionnées. Agir en tension

Niveaux d'engagement cognitif | PairForm - Blog Cet article s’appuie sur les résultats d’un excellent papier de recherche, le meilleur depuis 10 ans en psychologie cognitive selon André Tricot, chercheur français reconnu. Ce papier décrit quatre niveaux d’engagement cognitif dans l’accomplissement d’une activité. Il les compare aussi en termes d’efficacité sur l’apprentissage. Cet article de blog présente les divers niveaux d’engagement et le suivant détaillera la comparaison de leur efficacité. Les niveaux d’engagement Le niveau d’engagement cognitif dans une tâche correspond à la façon dont l’apprenant la réalise. le niveau Passif : l’apprenant est focalisé sur l’activité et reçoit les explications données. En résumé, on peut associer un verbe à chaque niveau : recevoir (passif), sélectionner (actif), générer (constructif), collaborer (interactif). Niveaux d’engagement et activité Toute tâche peut être accomplie dans un des quatre niveaux d’engagements. Lire un document Dans cet exemple, la tâche consiste en la lecture d’un document.

18 techniques pour apprendre au sein d'une équipe - épisode 2 - Les apprentissages collaboratifs | Le blog de C-CampusLe blog de C-Campus Nous avons vu dans un post précédent, 6 premières techniques d’apprentissage dans l’action. Nous présentons dans ce post, 6 nouvelles techniques pour apprendre au sein d’une équipe. Elles ont comme point commun de favoriser les apprentissages entre pairs. Deux par deux pour les quatre premières techniques et à plusieurs pour les deux dernières. Tutorat, mentorat, parrainage et binôme de compétences sont des termes utilisés dans les entreprises sans définition précise. Le tutorat Nous conservons cette appellation uniquement pour désigner l’apprentissage entre un “tuteur expérimenté“ ou un “maître d’apprentissage“ dans le cadre d’un contrat alterné : contrat de professionnalisation, d’apprentissage, de génération, d’avenir et préparation opérationnelle à l’emploi (POE). L’efficacité du tutorat dépend évidemment des compétences du tuteur lui-même mais ce n’est pas suffisant. Le mentorat Le parrainage Le parrainage est l’inverse du mentorat. Le binôme de compétences La revue des pairs

Définition des 12 déterminants du bien-être au travail - Fabrique Spinoza Faisant le constat de la diversité des outils et des trames d’analyse du bien-être au travail, la Fabrique Spinoza a souhaité effectuer une revue de littérature, ainsi qu’une revue des outils de mesure pour élaborer un cadre d’analyse global, visant l’exhaustivité et ne se réclamant pas d’un courant de pensée particulier (ni psychologie positive, ni sociologie des organisations, etc.) sur le sujet du bien-être au travail. Celui-ci comprend 12 dimensions qui sont présentées dans le schéma ci-dessous, puis explicitées dans la note de synthèse qui suit. Lire la note de synthèse définissant les 12 dimensions du bien-être au travail. Retrouver le rapport Le bien-être au travail, finalité et vecteur de performance socio-économique Retrouver le Guide sur les outils de mesure du bien-être au travail Retrouver le Wiki-BET, notre Wiki du Bien-Être au Travail, recueil de pratiques de BET

Quelques éléments de psychologie cognitive pour aider les professionnels à concevoir des situations d'apprentissages Cette captation vidéo a été réalisée le 3 juin 2015 lors d'une journée de formation intitulée : Les dispositifs, la classe, l’établissement ; quels soutiens à l’engagement des élèves ? Cette journée a été l’occasion de réfléchir aux enjeux d’une aide apportée de manière cohérente et ajustée aux besoins des élèves, dans un contexte marqué par la controverse autour de l’insuffisante efficacité des dispositifs d’accompagnement des élèves. Quels pas de côté ces dispositifs font-ils faire aux enseignants, aux praticiens, afin de mieux comprendre la nature des difficultés des élèves ? La réflexion s'est appuyée notamment sur le travail d’une équipe de recherche qui a étudié durant deux années les formes de soutien proposées aux élèves en difficulté dans des configurations locales très différentes. Écouter les enregistrements de la journée Une approche en quatre niveaux pour aider les professionnels à concevoir des situations d'apprentissage. player1 Le processus attentionnel (De 4min24 à 7min)

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