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Projet René Guénon: Jean-François Lyotard, La condition postmoderne, (note de lectura) Paru chez Les Editions de Minuit, 1979. Sous-titre: Rapport sur le savoir. Introduction Sens du mot « postmoderne »: « Il désigne l’état de la culture après les transformations qui ont affecté les règles des jeux de la science, de la littérature et des arts à partir de la fin du XIXe siècle. Ici, on situera ces transformations par rapport à la crise des récits. » (p. 7) La science est en conflit avec les récits. Quand même, elle tient sur son propre statut un discours de légitimation, qui est un métarécit, un métadiscours, une philosophie. « En simplifiant à l’extrême, on tient pour « postmoderne » l’incrédulité à l’égard des métarécits. » (p. 7) La science moderne croyait encore dans les métarécits justificateurs (la dialectique de l’Esprit, l’herméneutique du sens). 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14.

The power of transmedia storytelling Jeff Gomez talks through the dynamic techniques that can be used to access your audience in the digital age at The Cross-Media Forum 2011 In today’s interconnected world, transmedia (or cross-media) storytelling techniques are revolutionising the way people interact with entertainment brands and consumer products. But how do we tell our stories to an audience that is migrating in greater numbers to mobile, social media, videogame and other digital platforms? In this exclusive keynote designed especially for Power to the Pixel’s Cross-Media Forum held in London last month, Jeff Gomez, CEO of Starlight Runner Entertainment and the world’s leading expert on transmedia storytelling, candidly details the fast-evolving process of building ‘storyworlds’ and extending narrative across the rising tide of traditional and new media channels.

Jean-François Lyotard Page(s) en rapport avec ce sujet : Jean-François Lyotard est un philosophe français associé au post-structuralisme et le plus souvent reconnu pour sa théorie de la postmodernité.... (source : akadem)Prix : EUR 11, 39 LIVRAISON GRATUITE En savoir plus.... le postmoderne, Jean- François Lyotard est pour énormément (en particulier hors de France) l'incarnation... (source : amazon)où s'est surtout inauguré le concept de " postmodernité ", Jean-François Lyotard est aussi l'un des rares philosophes de la génération 68 à avoir été... Jean-François Lyotard Jean-François Lyotard, né à Versailles le 10 août 1924 et mort à Paris le 21 avril 1998, est un philosophe français associé au post-structuralisme et en particulier réputé pour son usage conceptuel de la notion de postmoderne. Il est le père de Corinne Enaudeau, aussi philosophe, spécialiste de son œuvre mais aussi de celle de Derrida. Biographie Mort en 1998, Jean-François Lyotard a été enterré à Paris, au Cimetière du Père-Lachaise. Références

Jean-François Lyotard (1924-1998) - La fin des grands récits Engagé dans la vie syndicale, Jean-François Lyotard le sera aussi dans ses écrits. Philosophe critique, il remet en question les grands récits de la modernité et postule l’éclatement et l’incompatibilité des différents savoirs. Dites « postmodernité » et un nom vient immédiatement à l’esprit, celui de Jean-François Lyotard. D’autres auteurs français le suivent de près, de Jacques Derrida (voir l’article p. 84) et ses « déconstructions » à Jean Baudrillard (voir l’encadré p. 87) et ses « simulacres ». Mais si J. Plusieurs codes sociaux et moraux incompatibles Tout commence au début des années 1970. Le langage, une base pour la résolution des conflits ? Pour le philosophe, cette fragmentation du langage confine au tragique. Jean Baudrillard (1929-2007), de la sociologie à la pataphysique Rétrospectivement, l’œuvre de Jean Baudrillard ressemble à une suite de déplacements. Du marxisme au postmodernisme Bibliographie Jean-François Lyotard • La Phénoménologie1954, 14e rééd. Jean Baudrillard

Is Vladislav Surkov an Artist? – New Minds Eye Introduction In this essay I propose that the Russian politician Vladislav Surkov is in fact an artist. It has been suggested that in contemporary Russian politics Art theory informs both domestic and foreign policy at the highest level. Who is Surkov? I am the author, or one of the authors, of the new Russian system…My portfolio at the Kremlin and in government has included ideology, media, political parties, religion, modernisation, innovation, foreign relations, and… modern art. There are few more ambiguous figures in contemporary world politics than Vladislav Surkov. Maintaining an interest in the arts throughout, Surkov may or may not be a published novelist and short story writer. Lyotard and Surkov Many commentators have highlighted the parallels between Surkov’s activities and the theories proposed by French philosopher Jean-François Lyotard. Every deal we make, every face we kiss, involves a politic—a politic which is constituted within the strictures of the marketplace.

Kremlin puppet master's leaked emails are price of return to political frontline Vladislav Surkov was the mysterious Kremlin puppet master who wrote rock lyrics and loved Tupac Shakur yet was simultaneously the chief architect of Vladimir Putin’s system of “managed democracy”. Now, after some time on the sidelines, Surkov is well and truly back in the thick of Kremlin intrigue after a cache of emails purporting to show his office coordinating affairs in separatist east Ukraine was leaked online. Sanctioned and thus banned from travel to the EU for his role in the Kremlin’s Ukraine policy, the 52-year-old Surkov nevertheless popped up at recent four-way negotiations in Berlin over Ukraine, sitting at the round table next to Putin, and just one seat across from Angela Merkel. It was a very visible signal of Surkov’s importance to the Kremlin’s controversial Ukraine policy. Putin’s spokesman, Dmitry Peskov, dismissed the email account as a fake, saying Surkov never used email. Galeotti said it was possible Ukrainian proxies had been used to cover the tracks.

Qui est Vladislav Surkov? L'homme à tout de faire de Poutine s'appelle en réalité Dudaeiv En décembre 2006, Le Monde a soudain laissé la bride sur le cou à ses collaboratrices, spécialistes des questions russes. Le résultat en fut deux grandes pages sur la quinzaine d'oligarques et de " siloviki " (anciens officiers des services de sécurité et du contre-espionnage) groupés autour de Vladimir Poutine depuis deux ou trois ans. Des pages révélatrices, à conserver pour suivre l'évolution interne et externe du pouvoir au Kremlin. Manquait cependant un personnage de premier plan Vladislav Surkov, 42 ans. Il tient le secrétariat du Maître, et inspire souvent ses décisions. Dudaiev, alias Vladislav Surkov Surkov s'appelle en réalité Dudaiev. Son père était tchétchène, sa mère, russe. Il faut dire que Poutine n'a pas été le dernier à manipuler le goût des Tchétchènes pour l'intrigue -- jusqu'à des oppositions sanglantes entre clans -- pour en arriver à déclencher ce qui fut appelé la deuxième guerre de Tchétchénie en 1999. Parmi ses amis, le créateur de Youkos, M.

Vladislav Sourkov Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sourkov. Vladislav Iouriévitch Sourkov (en russe : Владислав Юрьевич Сурков), né Aslambek Andarbekovitch Doudaïev le , est un homme d'affaires et politicien russe, cofondateur du parti Russie unie[1] qui mena Vladimir Poutine au pouvoir en 2001. Largement considéré comme le principal idéologue du Kremlin des années 2000[1], auteur du concept de « Démocratie souveraine », il est nommé vice-président du gouvernement, chargé de la modernisation le 27 décembre 2011 par le président Dmitri Medvedev[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Études[modifier | modifier le code] Carrière privée[modifier | modifier le code] Carrière publique[modifier | modifier le code] Après un bref poste de directeur des relations publiques de la chaîne de télévision russe Perviy Kanal entre 1998 à 1999, il devient premier adjoint au chef de l'administration présidentielle russe, poste qu'il occupe jusqu'en 2011.

The manipulation of the American mind: Edward Bernays and the birth of public relations “The most interesting man in the world.” “Reach out and touch someone.” “Finger-lickin’ good.” Such advertising slogans have become fixtures of American culture, and each year millions now tune into the Super Bowl as much for the ads as for the football. While no single person can claim exclusive credit for the ascendancy of advertising in American life, no one deserves credit more than a man most of us have never heard of: Edward Bernays. I first encountered Bernays through an article I was writing on propaganda, and it quickly became clear that he was one of the 20th century’s foremost salesmen of ideas. Bernays pioneered public relations Often referred to as “the father of public relations,” Bernays in 1928 published his seminal work, Propaganda, in which he argued that public relations is not a gimmick but a necessity: The conscious and intelligent manipulation of the organized habits and opinions of the masses is an important element in democratic society.

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