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Empire byzantin

Empire byzantin
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Empire byzantin Empire romain d'OrientImperium Romanum Orientale (la) Βασιλεία Ῥωμαίων / Basileía Rhōmaíōn (grc) L'Empire byzantin (en violet) et ses vassaux (en rose) à son apogée en 555, durant le règne de Justinien le Grand. Empire byzantin (en grec moderne : Βυζαντινή αυτοκρατορία / Byzantinè[N 1] autokratoría) est le nom donné depuis l'époque moderne par les historiens occidentaux[7], à l’un des deux États issus du partage au IVe siècle de l’Empire romain : l’Empire romain d'Orient (en latin Imperium Romanum Orientale, en grec médiéval Ἀνατολική Βασιλεία Ῥωμαίων / Anatolikè Basileía Rhômaíôn), avec pour capitale Constantinople, anciennement appelée Byzance, et lors de sa fondation Nova Roma (Nouvelle Rome)[réf. nécessaire]. En effet, à la fin du IIIe siècle, l’Empire romain est séparé en deux par Dioclétien et il est définitivement divisé à la mort de Théodose Ier en 395. Histoire de l'Empire byzantin[modifier | modifier le code]

Empire romain Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article traite d'une période de l'histoire de la Rome antique. Pour les territoires administrés par Rome, voir l'article Province romaine. Empire romain L'Empire fut fondé par Auguste, qui mit fin à la dernière guerre civile, dans la toute fin de la République romaine. En effet, à partir de la fin du IIe siècle, Rome est confrontée à ce que l'historiographie ultérieure a appelé les invasions barbares. À cette époque, le pouvoir était devenu un régime absolu, avec une cour et un protocole de type oriental. Après la division de l'Empire en deux entités — l'Empire romain d'Orient et l'Empire romain d'Occident, la période finale de la partie occidentale, à partir du Ve siècle, est marquée par le délitement continu de l'autorité politique : la puissance militaire s'effondre, l'économie est exsangue, et la domination territoriale se réduit, jusqu'à ne pas dépasser l'Italie. Le règne d'Auguste (-27 à 14)[modifier | modifier le code] ↑ J.

Séfévides Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dynastie des Séfévides صفویان (fa) L'État séfévide entre 1512 et 1722 La dynastie des Séfévides ou Safavides (en persan : صفویان, Safaviān) régna sur l'Iran de 1501 à 1736. Succédant aux Timourides, ils sont la première dynastie iranienne totalement indépendante à régner sur l'Iran depuis près de 1000 ans[1]. Les Safavides sont issus d'un ordre religieux soufi militant d'origine probablement kurde[2], fondé au XIVe siècle. Origines[modifier | modifier le code] Fait quasiment unique dans les annales dynastiques musulmanes, les Séfévides sont issus de la tariqa (« confrérie religieuse ») des Safavieh fondée par le cheïkh Safi al-Din Ardabili (1252-1334), ce qui en fait l’équivalent islamique de la dynastie des Hohenzollern, issue de la « privatisation » de l’Ordre Teutonique par Albert de Brandebourg, quasi-contemporain d’Ismaïl Ier. Prise du pouvoir et les premières conquêtes[modifier | modifier le code]

Ivan III Contexte[modifier | modifier le code] Au début du règne d'Ivan le Grand, en 1462, la Russie est constituée de deux grands territoires : le sud-ouest, sous domination polono-lituanienne, et le nord-est, qui paie tribut à la Horde d'or. La principauté de Moscou appartient à ce dernier territoire, ainsi que celles de Novgorod, Pskov et Viatka, sur lesquelles le grand-prince n'a aucun pouvoir. De plus, il ne règne pas sans partage sur celle de Moscou, divisée en cinq principautés patrimoniales. Ivan dirige la première. Le but premier d'Ivan le Grand, durant tout son règne, fut l'agrandissement du territoire de sa principauté au détriment des terres voisines et le renforcement de son autorité au détriment de celles des princes patrimoniaux. La politique conquérante[modifier | modifier le code] Usant de la force, de la ruse et de liens matrimoniaux, Ivan parvient à annexer petit à petit les principautés patrimoniales. Relations avec la Horde d’or[modifier | modifier le code] ↑ Nicholas V.

Theodora (wife of Justinian I) Theodora (Greek: Θεοδώρα) (c. 500 – 28 June 548), was empress of the Roman (Byzantine) Empire and the wife of Emperor Justinian I. She was one of the more influential and powerful empresses of Rome. Some sources mention her as empress regnant with Justinian I as her co-regent. The main historical sources for her life are the works of her contemporary Procopius, scribe for General Belisarius. Later he wrote the Secret History, which was not published for over a thousand years. Procopius' Buildings of Justinian, written about the same time as the Secret History, is a panegyric which paints Justinian and Theodora as a pious couple and presents particularly flattering portrayals of them. Her contemporary John of Ephesus writes about Theodora in his Lives of the Eastern Saints. Michael the Syrian, the Chronicle of 1234 and Bar-Hebraeus place her origin in the city of Daman, near Kallinikos, Syria. Her father, Acacius, was a bear trainer of the hippodrome's Green faction in Constantinople.

Empire ottoman Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sublime Porte ottomane دولتِ عَليه عُثمانيه Devlet-i Âliye-i Osmâniyye Devise : دولت ابد مدت Devlet-i Ebed-müddet (« L'empire éternel ») Carte de l'Empire ottoman à son apogée, aux XVIe et XVIIe siècles. Histoire[modifier | modifier le code] Les débuts[modifier | modifier le code] Fondation[modifier | modifier le code] L'Empire ottoman est fondé par une famille issue des Kayı, l'une des vingt-quatre tribus turciques oghouzes, qui avaient conquis l'Anatolie au XIe siècle, au détriment de l'Empire byzantin. Expansion vers l'Europe[modifier | modifier le code] Apogée[modifier | modifier le code] Un nouvel empire[modifier | modifier le code] L’âge d'or[modifier | modifier le code] En 1517, Sélim Ier conquiert l’Égypte et met fin au sultanat mamelouk. L'Empire trouve sa place dans le jeu diplomatique européen où il est un allié traditionnel de la France, dans une alliance de revers contre les Habsbourgs, dès le règne de François Ier. Le siège de Vienne (1529)

Chefs musulmans face aux croisades Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’objectif des croisades étant de délivrer les Lieux saints de l’occupation musulmane, les croisés se sont retrouvés à lutter contre des chefs musulmans. Cet article dresse la liste des chefs et des États musulmans ainsi que leurs rapports avec les croisés. Contrairement aux États croisés, qui perdurent pendant près de deux siècles sans changer d’institutions et souvent dans une continuité dynastique, les États musulmans se caractérisent par une grande instabilité politique due à deux facteurs. Le premier est qu’à la mort d’un souverain, ses héritiers commencent le plus souvent à lutter pour la succession, et le second facteur est que lorsqu’un chef subit des échecs répétés face aux Francs, ses soldats considèrent qu’il n’a plus la faveur d’Allah et l’abandonnent, mettant leur chef à la merci d’un émir plus puissant. L’Anatolie[modifier | modifier le code] L’Anatolie représente le premier contact entre les croisés et le monde musulman.

Mongols Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mongols Gengis Khan, représentant notable des Mongols À l'origine d'un des plus grands empires de tous les temps, qui s'étendit de la mer de Chine jusqu'au-delà de la Volga[2] au XIIIe siècle et au XIVe siècle, ils conservent encore leur culture, malgré leur éclatement en quatre entités politiques distinctes ; outre la langue et l'histoire, cette culture profondément originale couvre des domaines tels la musique, la religion, les fêtes, les sports, le mode de vie, et enfin l'organisation sociale. Définition[modifier | modifier le code] Répartition[modifier | modifier le code] carte de répartition des Mongols On compte environ 25 ethnies mongoles au total[4]. Descriptif des ethnies mongoles[6][modifier | modifier le code] Type ethnique[modifier | modifier le code] Les Mongols sont restés suffisamment isolés pour que subsiste un type (facial notamment) bien défini et caractéristique. Histoire[modifier | modifier le code] yourte mongole

Clothing of the Byzantine Empire The Byzantine costume tradition took its form from the Roman Empire (27 B.C.E. –476 C.E. ) and its color and decorative tradition from the Orient and the Middle East. The Roman roots are easy to understand. After all, the Byzantine Empire began in the fourth century C.E. as the Eastern Roman Empire; its capital, Constantinople, was for a short time the capital of the entire Roman Empire. From the Romans the Byzantines inherited their basic clothing forms, the tunic and toga for men, and the stola, a type of long dress, for women, as well as their shoes and their hairstyles. These basic garments had become more ornate and luxurious late in the Roman Empire, yet it was not long after the fall of the Roman Empire in 476 C.E. that the Byzantines began to modify and extend the Roman costume tradition to become something uniquely their own. Changing styles By the end of the Roman Empire the toga, which had once been required wear for Romans, was worn only on ceremonial occasions.

Tétrarchie Il ne faut pas confondre les tétrarques de l'Empire romain avec ceux de Judée, mentionnés dans l'évangile de Luc, qui font référence à un titre issu de la division en quatre du royaume d'Hérode, en l'an 4 apr. J.-C. Le terme « Tétrarchie » vient du grec ancien τετραρχία / tetrarkhía signifiant « gouvernement des quatre », par adjonction de la quantité τέσσαρες / téssares « quatre » au substantif ἀρχία / arkhía « gouvernement »[réf. nécessaire]. Sous la pression des invasions barbares, l’Empire romain connaît une grave crise tout au long du IIIe siècle[1]. Cependant, l’empire n’est pas divisé, et Dioclétien garde toute autorité sur son césar, ainsi que sur l’ensemble de l’empire et des légions. Dioclétien considère l’imperium comme une fonction, et non comme un pouvoir personnel à vie. Les deux premiers césars, tous deux généraux, sont Galère, choisi par Dioclétien, et Constance Chlore, choisi par Maximien. Dominée par Dioclétien, la première tétrarchie fonctionne parfaitement.

Iaroslav Lebedynsky, Les Magyars et la formation de la Hongrie À la fin du IXe siècle, un peuple de cavaliers et d'éleveurs jusque-là peu connu quitta les steppes ukraino-russes pour s'établir dans le bassin des Carpathes : les Magyars, appelés « Hongrois » par leurs adversaires européens. Leur aventure demeure un modèle, particulièrement réussi et bien documenté, des processus de migration et de stabilisation connus par bien des groupes de nomades eurasiens avant et après eux. La région même où ils s'installèrent, et qui constitue une sorte de « terminus » occidental de la route des steppes, avait vu défiler avant leur venue des Scythes, des Sarmates et Alains, et bien sûr les Huns et les Avars, créateurs d'empires redoutables mais éphémères. Les origines : les légendes et les faits Lorsque les cavaliers magyars surgirent en Europe, on les compara immédiatement – comme avant eux les Avars – aux plus illustres de leurs devanciers : les Huns. La conquête Il existe, sur la Conquête, davantage de légendes que de certitudes historiques. Septembre 2003

Tatars Femme tatare du XVIIIe siècle. Carte de répartition Les Tatars (ou Tatares[2]) sont un peuple turc, parlant le tatar. La plupart des Tatars vivent au centre et au sud de la Russie, en Ukraine, au Kazakhstan, en Turquie et en Ouzbékistan. On en dénombre plus de huit millions à la fin du XXe siècle. Confusion entre Tartares et Tatars[modifier | modifier le code] Il ne faut pas confondre les Tatars avec ce que l'on appelait en Occident les Tartares, terme qui désigne des peuples turcs d'Europe orientale et d'Asie du Nord qui parlent différentes langues turques autres que le tatar : les Mongols, parlant des langues mongoles[3], les Toungouses, parlant des langues toungouses, qui sont toutes des langues altaïques, auxquels on ajoutait parfois les Tibétains, lesquels parlent des langues bodiques du groupe des langues sino-tibétaines. Cette désignation donne lieu à l’appellation de Tartarie pour les régions habitées par les peuples turco-mongols. Il était parfois question de Turco-Tartars[4].

Byzantine Dress - Facts and History of Byzantine Dress Byzantine dress was very conservative under the influence of the Christian view that the body was not beautiful but sin. The Byzantines liked color and pattern and made and exported very richly patterned cloth. One of the most famous fabrics of that time and place was Byzantine silk which was woven and embroidered for the upper classes and resist-dyed and printed for the lower. From the beginning of the Byzantine Empire a Roman toga was still used as a dress for formal and for official occasions. In Justinian time dress is changed into the tunica or long chitons, which were worn by both sexes. Upper classes wore other dalmatica over tunica, which is a heavier and shorter type of tunica. Female dress was made as rather shapeless clothes that were planned to last very long, even through pregnancy because fabrics were very expensive at the time and not very affordable for lower classes. Military uniforms were very similar to Roman uniforms.

Dioclétien Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dioclétien, de son nom complet Caius Aurelius Valerius Diocletianus Augustus[notes 1] (né v. le 22 décembre 244[1] en Dalmatie - mort le 3 décembre 311[2]), est un empereur romain qui régna du 20 novembre 284 au 1er mai 305. Dioclétien sépare et élargit les services civils et militaires de l'Empire et réorganise le découpage administratif de l'Empire, instaurant le gouvernement le plus important et le plus bureaucratique de l'histoire de l'Empire. Il crée de nouveaux centres administratifs à Nicomédie, Mediolanum, Antioche et Trèves, plus proche des frontières de l'Empire que la capitale traditionnelle Rome. S'appuyant sur les tendances du IIIe siècle vers l'absolutisme, il se nomme lui-même autocrate, s'élevant au-dessus des masses de l'Empire et imposant un cérémonial de cour et une architecture officielle. Conquête du pouvoir[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Mort de Numérien[modifier | modifier le code]

Slaves Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Slave. Les pays à majorité slave (vert foncé), et à minorités slaves (plus de 10 % : vert clair). Les ancêtres Indo-Européens des Slaves, proches des Baltes et des Germains sur le plan ethnolinguistique, sont connus depuis la fin du Ier millénaire avant notre ère, mais le nom de « slaves » daterait du Ve siècle lorsque les Byzantins, et plus tard les Occidentaux, commencèrent à entrer en relations directes avec eux. Lorsque pour la première fois au Ier siècle de notre ère, Pline l'Ancien et Tacite parlent des Veneti (→ Vénètes), voisins orientaux des Germains, il est très probable qu'ils se réfèrent aux Slaves. Il est possible que les Protoslaves aient également été apparentés aux Scythes, dont la langue était « satem » comme celles des slaves. Au XXe siècle, les Slaves constituèrent de puissantes fédérations : Les États slaves, aujourd'hui[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code]

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