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Michel JOURNIAC

Michel JOURNIAC
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Galerie Journiac À l’occasion de la publication de Paris des écrits de Michel Journiac aux éditions des Beaux-Arts de Paris, le département Arts Plastiques et Sciences de l’Art de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne souhaite rendre hommage à celui qui y fut, dès 1972, enseignant et avait notamment créé un séminaire-atelier sur le thème du corps. « Le corps c’est ce qui surgit et qui nous pose en permanence la question que l’on ne peut pas détruire. Les idées peuvent évoluer, se transformer, on peut utiliser tous les sophismes possibles et inimaginables pour s’en tirer, mais devant quelqu’un que l’on désire ou devant la mort, le cadavre, les idéologies craquent. Initiateur, notamment avec Gina Pane et Vito Acconci, de l’art corporel en France, Michel Journiac, disparu en 1995 à l’âge de soixante ans, est aujourd’hui reconnu comme une source d’inspiration pour de nombreux artistes. L’exposition Hommage à Michel Journiac s’inscrit dans un cycle de trois évènements consacrés à cet artiste : 1.

Gina Pane Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pane. Gina Pane est une artiste française, née à Biarritz le 24 mai 1939 et morte à Paris le 5 mars 1990. Elle est l'une des représentantes majeures de l'art corporel[1],[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Née à Biarritz d’un père italien restaurateur de piano et d’une mère autrichienne, Gina Pane passe une partie de son enfance en Italie du Nord et à Turin. Œuvre[modifier | modifier le code] Cette section peut contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées (novembre 2012). Analyse de l'œuvre[modifier | modifier le code] Gina Pane distingue elle-même trois périodes dans son évolution artistique : Par la voie du souvenir, de ses actions et par les évidentes références à l'histoire de l'art d'Ucello à Memling, Gina Pane révèle une démarche profondément liée au sacré. Chronologie de l'œuvre[modifier | modifier le code] Expositions personnelles[modifier | modifier le code]

Lygia Clark Brazilian painter, sculptor and psychotherapist. Married at the age of eighteen, Lygia Clark led a normal middle-class life until her divorce in 1947, then moved to Rio de Janeiro to take up art. Her training in painting began under Roberto Burle Marx (1909–1994), a famous landscape architect, and continued in Paris between 1950 and 1952 alongside Fernand Léger (1881–1955) and Árpád Szenes (1897–1985). When concrete art – an abstractionist movement strongly derived from Russian constructivism – dominated the visual arts in South America, her painting concerned itself with the concretist exploration of the elements in the pictorial space, paying particular attention to the interstices between planes, especially the interphase between the canvas and the frame, which Clark would treat as a plastic element in its own right. In 1959 a group of artists based in Rio de Janeiro signed the Neo-Concrete Manifesto in response to the formalist and rationalist intransigence of concretism.

Pour Michel Journiac, le corps est comme "une viande consciente socialisée", exporevue, magazine, art vivant et actualité Le corps et l'action L'action artistique d'un corps tout entier âme et chair, raison et sensibilité, comme une tentative de remise en cause de la société par l'art, voilà qui pourrait être une autre définition du Body Art. L'œuvre de Michel Journiac donne un nouvel élan à l'art français et, par-delà, à l'art européen. Le corps n'est désormais plus seulement un sujet, il est un moyen. Le corps est "actant", actif, critique et ironique, et François Pluchard, critique d'art, le décrit comme "un matériau". Il permet de montrer ce qui est caché, dévoile selon Journiac plus que ne peuvent le faire les peintures. Les performances À partir de 1969, Journiac abandonne définitivement la peinture et consacre entièrement sa vie à son art. 1969, l'année de l'action et des actions Lessive, Piège pour un voyeur, Messe pour un corps. Artiste actant et immobile La photographie permet à Journiac de garder des traces de ses performances, mais devient une nécessité pour l'artiste. Exposer Journiac

Ana Mendieta, l'art de la terre et du sang La Hayward Gallery de Londres propose la première rétrospective consacrée à cette plasticienne en Grande-Bretagne, jusqu'au 15 décembre. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Emmanuelle Lequeux Comment avons-nous pu l'oublier si longtemps ? Ana Mendieta est une des artistes les plus bouleversantes que nous aient offertes les années 1970 : la remarquable rétrospective que lui consacre la Hayward Gallery de Londres le rappelle enfin. Et pourtant… Née en 1948 à La Havane, à Cuba, Ana Mendieta fut envoyée à 12 ans dans un orphelinat américain, dans l'Iowa, avec sa sœur aînée, pendant la révolution castriste. Lire aussi : Ana Mendieta, l'art de la terre et du sang › Accéder au portfolio Il y a peu de temps que ressurgit sa mémoire. Mais déjà, elle avait développé une œuvre remarquable. Dès ses débuts, en 1972, la jeune étudiante colle sur son visage les poils d'une barbe, en clin d'œil aux élans transsexuels d'un Marcel Duchamp. Du corps, ne reste souvent que sa trace.

. : Yann Marussich - Description: Bleu Remix est la suite de Bleu provisoire crée en 2001, performance dans laquelle Yann Marussich laissait surgir de ses orifices, et suinter de son épiderme, des liquides biologiques teintés de bleu mettant en abîme les remous intérieurs de son corps. Le son original de Bleu Provisoire est retravaillé à chaque représentation dans Bleu Remix par un nouveau musicien local rendant cette performance à chaque fois unique. Son corps est immobile, yeux clos, yeux ouverts. Pourquoi Yann Marussich choisit-il la couleur bleue ? Texte: Anne Rochat Création et performance: Yann Marussich Son remixé par: ...Réglages et lumières: Yann Marussich Collaboration artistique et lumières: Daniel DemontDécor : David ChâtelTechnique: Denis RolletDurée: 60minAdministration / Diffusion: Perceuse productions Scènes / Julie Semoroz Avec le soutien de: la Ville de Genève, la Loterie romande et Pro Helvetia

Michel Journiac | Critique | Messe pour un corps | Paris 4e. Galerie Patricia Dorfmann Si le second volet de l'exposition sur Michel Journiac convertirait au fétichisme les moins idolâtres d'entre nous, avec, par exemple, cette édition de L'Ecce Homo annotée par l'artiste qu'il est possible de se procurer à 3000 euros, elle réunit surtout (et miraculeusement!) les vestiges d'une des performances majeures de l'art corporel : Messe pour un corps. Le choix de l'automne est de circonstance, puisque c'est en novembre 1969 à la galerie parisienne Daniel Templon que Michel Journiac, déguisé en prêtre, fit communier le public avec son propre sang, cuit et préparé sous forme de boudin. Parodie de l'eucharistie, en un temps où la religion structure la société, contrôle encore les corps et les esprits, la Messe est moins anticléricale qu'il n'y paraît. A l'époque, l'impact du blasphème est retentissant. Pourquoi ce recours perpétuel au christianisme?

Franz Erhard Walther Le corps à l’œuvre « Le spectateur qui agit définit l’œuvre et en répond ; il ne peut être impliqué seulement dans sa qualité de regardeur : son corps entier est engagé. » Cette déclaration de Franz Erhard Walther dessine le cadre dans lequel existe une partie de ses travaux, c’est-à-dire dans lequel ils sont véritablement mis en œuvre ou mis en forme : c’est avec le corps de celle ou de celui qui active l’œuvre, qui la fait véritablement vivre, que l’art prend pour lui tout son sens et toute sa place dans la somme globale des activités assumées par le sujet humain. Cette dimension physique et participative du travail, et plus précisément de la sculpture — ce que l’artiste qualifie d’« objets », soulignant ainsi leur caractère instrumental —, F. E. Walther l’établit dès 1963, date à laquelle il débute un ensemble de pièces réunies sous l’intitulé 1. Werksazt (Série d’œuvres No 1).

Saumur. La fratrie suisse Chapuisat conquiert les caves Ackerman pour une oeuvre monumentale (vidéo) Depuis le mois de février dernier, les « Frères Chapuisat » sont partis à l'assaut des caves Ackerman, à Saumur. Ils y installent une impressionnante structure en bois sur pilotis de plus de 5 mètres de haut, qui sera ouverte au public à partir du vendredi 5 avril 2019. Un véritable « capharnaüm de planches » à découvrir en photos et en vidéo... Gregory Chapuisat escalade sa structure en bois de 5 mètres Les « Frères Chapuisat » vivent dans certaines de leurs structures, dans les plus imposantes principalement. « Tout notre travail tourne autour de ces thématiques : la cabane, l'habitation... », indique Gregory, le meneur de la fratrie, nomade depuis 10 ans. À partir du vendredi 5 avril 2019, ils ouvriront au public leur œuvre : une structure en bois de plus de 5 mètres de haut dans les caves de la Maison Ackerman, à Saint-Hilaire-Saint-Florent.10 m3 de bois, des milliers de vis... Un lieu de travail pourtant inhospitalier Les visiteurs pourront monter dans la structure

Oeuvres dans la collection du FRAC Limousin

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