Etre locavore ? Pourquoi, ça sert à quoi ? - Le Blog de Fleurance Nature Aujourd’hui, la tendance est plus que jamais à l’inspection de nos assiettes. Nous sommes de plus en plus sensibilisés à l’importance de consommer durable. Et consommer durable signifie consommer de saison, mais aussi consommer local. C’est ça être locavore ! Alors, comment ça se passe ? Est-ce compatible avec nos modes de vie ? Le locavorisme, un mouvement prônant la proximité… De vocation écologique et économique, le mouvement locavore préconise la consommation de nourriture produite dans un rayon d’environ 200 km maximum autour de son domicile. Le locavorisme, quels intérêts ? Défendu par de plus en plus de convaincus, le locavorisme est présenté comme une alternative aux conséquences négatives de la mondialisation. Etre locavore, c’est faisable ? Oui et non ! Alors, être locavore est un art de vivre qu’il ne faut pas prendre au pied de la lettre comme un mode de consommation unique et non altérable.
MyVillages.org Le "porc durable" des Meslay - Le Blog de Voisins de Paniers Porc durable des Meslay à la Poterie Lamballe Isabelle et Jacques Meslay sont installés depuis 1987 à la Ferme de la Mare à la Poterie, commune de Lamballe. Ils sont passés d'éleveurs industriels naisseurs engraisseurs de porcs à éleveurs engraisseurs de porcs sur litière avec transformation à la ferme. En effet, les porcs des Meslay sont élevés sur paille (litière accumulée) depuis 1999. Les porcs arrivent à l'âge de 2 mois et demi et font 25 kg. Porcelets à leur arrivée Ils sont engraissés pendant 4 mois pour atteindre 100 kg. Porcs sur paille à l'engraissement Porcs au dernier stade d'engraissement Ainsi, chaque mois, ce sont quarante porcs issus d'une ferme de Plessala (GAEC Sagory de la Bosse es renard) qui rejoignent la ferme de la Mare. Jacques Meslay dans son champ de féverole Gros plan sur la féverole Toutes ces caractéristiques de l'élevage font que l'exploitation des Meslay a obtenu l'identifiant Cohérence depuis 2005. Jacques et Isabelle dans leur boutique à la ferme
mikel uribetxeberria. – shape+colour shape+colour mikel uribetxeberria. January.7.09 by Jeremy 6 Comments I love it when my expectations (and my notions of what belongs where) are shattered. And when it’s done by a beautifully-honed image, then that’s even more kick ass. Related fever ray + mikel cee karlsson: triangle walks. contemporary arts muesum of castilla y león.In "art" michal levy: "one" + "giant steps".In "motion" Filed Under: art Tagged With: Animals, art, Mikel Uribetxeberria, Modern Art, photography, shape+colour « surfrider foundation: catch of the day. superbrothers. » Comments bunny bunny says: January.8.09 at 8:30pm this is exactly like doug aitken’s migrations… Teapod says: January.8.09 at 9:59am Look great when not only humans and dogs, but other animals is in public places. Trackbacks Whatcha Thinkin? Popular Stuff Enter your email here. This work is licensed under aCreative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike 3.0 Unported License. © shape+colour 2007-2013 Return to top of page Follow
Sur les toits de Hong Kong pour le COspace et le COcreate. Hello Allez on commence la journée avec le sourire et cette vidéo assez intéressante qui illustre bien ce mouvement de fond du « CO » (co-working, co-create, co-cookening, co-tout ce qu’on veut…) qui s’installe petit à petit. On y découvre comment un groupe de personnes créatives réinstaurent certains principes oubliés notamment autour de la nourriture. Ces gens sont filmés ici à Hong Kong et sont à l’origine de la création d’un potager sur le toit d’un immeuble. Ces agriculteurs d’un nouveau genre sont Michael Leung, Glenn Eugen Ellingsen, et Matthew Edmondson. Pour la petite histoire, Thomas Lee est né à Taipei a grandi à Chicago et a étudié à New York. Ces articles peuvent aussi vous intéresser:
New York’s Alternative Public Library “There are 13,659 payphones on NYC sidewalks, even though there are over 17 million cell phones. Is the pay phone an anachronism or an opportunity…” reads a poster graphic designed by New York architect John Locke. Locke is the architect behind the ‘Department of Urban Betterment,’ a New York-based interventionist project that is repurposing phone booths into communal libraries or book drops through the installation of hanging bookshelves milled from single sheets of plywood. According to Designboom, Locke’s easily replicable shelf hangs securely to the interior of the payphone without the aid of additional fasteners, and, importantly, it leaves the pay phone completely unobstructed and operable. Now miniature public libraries are popping up in Manhattan Valley and Morningside Heights. . Add To Collection Save this image to a collection Locke was intrigued by the phenomenon of the pay phone, which he described as “dead technology perched on the edge of obsolescence.”
Quest-ce qu'un AMAP Le fonctionnement Une AMAP naît en général de la rencontre d'un groupe de consommateurs et de paysans (ou artisans transformateurs) prêts à entrer dans la démarche. Ils établissent entre eux un contrat pour une (on distingue en général 2 saisons de production : printemps / été et automne / hiver), selon les modalités suivantes : Ensemble, ils définissent la diversité et la quantité de denrées à produire pour la saison. Ces denrées peuvent être aussi bien des fruits, des légumes, des oeufs, du fromage, de la viande... La diversité est très importante car elle permet aux partenaires de l'AMAP de consommer une grande variété d'aliments, d'étendre la durée de la saison, et de limiter les risques dus aux aléas climatiques et aux éventuels problèmes sanitaires. Le groupe de consommateurs et le paysan se mettent également d'accord sur les méthodes agronomiques à employer. L'horaire, enfin, est fixé de manière à convenir au plus grand nombre. Les engagements des consommateurs Les garanties
Red Bike Planter by wearableplanter Circuit court Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On évoque assez souvent les circuits courts pour les produits agricoles, domaine pour lequel la France dispose d'une définition officielle : Selon le Ministère de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche, est considéré comme « un circuit court un mode de commercialisation des produits agricoles qui s’exerce soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte, à condition qu'il n'y ait qu'un seul intermédiaire» . En France et en 2010, les achats faits en circuit court représentent 6 à 7 % des achats alimentaires d'après l'Ademe qui estime que ces circuits courts sont « aujourd'hui une opportunité économique non négligeable que ce soit pour le producteur (sécurisation de son modèle économique), le consommateur (prix ajusté au coût réel) ou un territoire (création d'emplois locaux) »[2]. Émergence de la notion moderne de circuit court[modifier | modifier le code] Terminologie[modifier | modifier le code]