Web 2.0 : panorama des outils, des services et des applications pour les bibliothèques Aller au contenu principal Menu secondaire Formulaire de recherche Ressources Mobile menu Unité Régionale de Formation à l'Information Scientifique et Technique de l'URFIST de Bretagne et des Pays de la Loire Menu principal Vous êtes ici Accueil » Web 2.0 : panorama des outils, des services et des applications pour les bibliothèques Revenir aux ressources Web 2.0 : panorama des outils, des services et des applications pour les bibliothèques Plan du stage : Introduction : Définitions, repère historiques et techniques sur les évolutions du web 2.0 Bibiliothèques 2.0 ? Panorama des outils et des services Indexation et catalogage Veille et curation Communication Valorisation des ressources documentaires Travail collaboratif Ressources Documents : - Support de formation "Web 2.0 : panorama des outils, des services et des applications pour les bibliothèques" (link is external), stage URFIST / CFCB Bretagne / Pays de la Loire, PPT, 147 diapos. - Glossaire du web 2.0 - TP et exercices : utiliser Twitter
Alain Giffard L’avenir est-il aux réseaux sociaux éphémères Selon le sondage annuel de l'Institut Piper Jaffray auprès de 5000 adolescents américains, que rapporte Zdnet.fr, les réseaux sociaux s'avèrent pratiquement tous en perte d'attention auprès des plus jeunes (seuls Twitter et Instagram semblent encore avoir leurs faveurs, mais la cote d'amour s'est grandement ralentie). La raison de la désertion des réseaux sociaux ? "Las du partage exacerbé, las des traces laissées ici ou là, las de la surveillance potentielle de leurs parents, ils semblent préférer désormais les applications de messagerie instantanée comme Kik (30 millions d'utilisateurs), WhatsApp (17 milliards de messages échangés par jour), SnapChat (100 millions de messages et 50 millions de photos échangés par jour), ou encore Line, qui vient de passer les 100 millions d'utilisateurs en janvier dernier. Image : la page d'accueil de SnapChat... Rachel Metz pour la Technology Review pointait récemment ce même phénomène : le développement des applications éphémères. Qu'importe.
Comment supprimer votre profil Facebook (temporairement ou à jamais) A l'heure où presque tout le monde possède un compte sur le réseau social Facebook, de nombreuses voix se font entendre: comment effacer son profil? La suppression est-elle définitive ou existe-t-il une solution temporaire? Facebook offre deux possibilités: la désactivation du profil (opération réversible) et la suppression définitive (sans possibilité de retour en arrière). Voici un petit tutoriel afin de faire le bon choix: Désactiver le profil Facebook Pour faire disparaître votre profil de manière temporaire, vous devez accéder au menu "Compte" --> "Paramètres du compte" puis cliquer sur "Désactiver le compte". Facebook fait bien sûr tout son possible pour vous retenir. Si même les sentiments ne vous font pas changer d'avis, il est temps de passer à l'étape suivante en cliquant sur "Confirmer". Pas d'inquiétude, la désactivation du compte est temporaire. Supprimer définitivement votre compte Facebook Cliquez ici pour accéder à la demande de suppression. Via Softonic IT
Information literacy, documentation, CDI, Internet, Pédagogie, culture de l'information, sciences de l'information et de la communication.Olivier Le Deuff 1999-2011 Snapchat, l'eldorado des ados Après le rachat d'Instagram pour un milliard de dollars, celui de Tumblr pour 1,1 milliard et celui, très récent, de Waze pour 1,3 milliard de dollars, on a fini par cesser d'écarquiller les yeux devant cette nouvelle mode de surévaluation des start-ups numériques. Aujourd'hui, le destin de Snapchat ne paraît donc même plus si étonnant. Publiée pour la première fois en septembre 2011, l'application est déjà si populaire qu'elle approche, elle aussi, les neuf zéros de la cour des grands : elle vient de monter sa valeur à 800 millions de dollars (611 millions d'euros) après une levée de fonds ayant apporté 60 millions supplémentaires (46 millions d'euros) à son capital. Bien sûr, elle n'a pas de pub, pas d'abonnements payants, et donc aucun modèle économique viable. En plus, elle n'a même pas de base de données : le principe de Snapchat est de fournir un service de messagerie éphémère. Snapchat commence à attirer un certain nombre de regards. Lire les réactions à cet article.
Introduire les réseaux sociaux à l’école : prenons des risques! (réfléchis) « From Pennylane to… La table ronde à laquelle j’ai assisté à Ludovia « Les politiques e-éducatives à mettre en place face aux enjeux de la mobilité et de l’ouverture » à Ludovia, a tourné en fin de session sur le vieux débat « pour ou contre Facebook à l’école ». Thème abordé à cause de cette question sondage: Question mal posée puisqu’il y avait deux sous-questions et que de fait, cela ne se prêtait pas à une seule réponse. Le 1er rang de la salle réservé aux bloggueurs/twetteurs/facebookeurs a vivement réagi aux propos tenus sur l’estrade par le rang d’officiels politiques qui s’y tenait. Au réseau social « grand public » (délibérément nommé Facebook) semblait s’opposer l’Environnement Numérique de Travail (ENT). Comprenez : danger contre sécurité, réseau ouvert contre réseau fermé, pédagogie raisonnée contre « grand n’importe quoi ». Le projet (ou juste une tendance?) Sécurisé/restreint/bloquerait/interférences = tout le vocabulaire négatif est réuni. Imaginer un autre réseau me semble inutile. J'aime :
Les réseaux sociaux de demain Pour la majorité des internautes, les réseaux sociaux se résument à Facebook et Twitter. La réalité ne pourrait être plus fausse en ces temps de sociabilité et de partage exacerbés. Le développement des technologies mobiles entraine, dans une belle grappe d’innovation, celui de réseaux sociaux plus spécialisés. Le succès explosif du réseau Instagram en témoigne largement et d’autres semblent lui emboiter le pas. Comme à son habitude, l’excellent site Mashable, spécialiste américain entre autres du social media, a sélectionné quelques réseaux sociaux à surveiller. Path Path est un agenda online sur lequel vous pouvez poster vos photos, votre actualité quotidienne comme vos check-in, ou la musique que vous écoutez. Highlight De nombreux réseaux sociaux axent leur développement sur la fonction de géolocalisation des smartphones. Sonar L’application Sonar pousse la sociabilité à la limite de la surveillance. Banjo Fancy Forecast Gogobot
Comprendre les réseaux sociaux numériques - Prestations DSI-SEM Facebook et l’école peuvent-ils faire bon ménage ? De plus en plus de jeunes utilisent les réseaux sociaux numériques tels que Facebook ou Twitter. Face à cette nouvelle manière de communiquer et de tisser des liens, les adultes – parents et enseignants – sont parfois dépourvus. Pour contribuer à la réflexion, la DSI-SEM propose Un enjeu pour l’enseignement. Conseils pratiques, explications contextuelles, exemples divers : s’il n’a pas pour ambition de tout dire sur les réseaux sociaux, le document proposé par la DSI-SEM souhaite favoriser une réflexion sur un phénomène qui n’a pas fini de faire parler de lui. Au même titre que son précédent guide Comprendre l’identité numérique, ce nouvelle publication s’insère dans une volonté de la DSI-SEM d’apporter des éclairages sur les enjeux du numérique dans l’enseignement. En savoir plus : Télécharger le document Un enjeu pour l’enseignement. Le document synthétique A lire également : Comprendre l’identité numérique
Facebook n'a plus la cote auprès des ados À défaut de perdre des utilisateurs, dans la mesure où les départs constatés dans les pays occidentaux sont largement compensés par les inscriptions des internautes issus des pays émergents, Facebook perd en attractivité auprès des adolescents. C'est ce que suggère un rapport conduit par la banque d'investissement américaine Piper Jaffray et relayé par le Huffington Post. Entre mai 2012 et mai 2013, le nombre de jeunes considérant Facebook comme le réseau social le plus important est passé de 42 à 23 %. À l'inverse, la popularité Instagram - qui a été acheté en 2012 par Facebook - a progressé au cours de cette période (12 à 23 %). Idem pour la catégorie "autre", qui passe de 2 à 17 %. Cette catégorie regroupe vraisemblablement des plateformes comme Vine ou Snapchat même s'ils ne sont pas mentionnés spécifiquement Ces deux services ont enregistré une forte progression de leur popularité ces derniers mois, ce qui n'a pas dû échapper à Piper Jaffray.
Quelques conseils pour les professeurs-documentalistes Bonjour Sophie, quels conseils pourrions nous donner aux professeurs documentalistes qui souhaiteraient se lancer dans l’aventure Twitter ? Pour ma part, je leur conseillerais en premier lieu de se renseigner un peu sur ce qu’est Twitter, ensuite, de se lancer dans l’aventure en choisissant un pseudo et un avatar pertinent (voir notre billet), de consulter l’annuaire de Twittezvous pour trouver des comptes à suivre non seulement des comptes de profs doc mais aussi d’autres profs : que ce soit du premier ou du second degré, des institutions des médias d’informations… Attention, il faut aussi prendre en main l’outil sans être noyé sous un flot de comptes qui engendre des torrents d’informations… Donc pourquoi ne pas commencer par quelques comptes incontournables comme @docspourdocs, @twittendoc (Jacqueline Valladon), @griset (Christine Griset), Le ministère de l’Éducation nationale, des profs-docs de sa région… Les choisir selon ses centres d’intérêt, ses besoins d’information.
En France aussi, les ados délaissent Facebook pour Snapchat Les vaines tentatives de Facebook pour s'emparer de Snapchat (dont une dernière offre à 3 milliards de dollars !) s'expliquent aisément. Facebook perd de son aura chez les ados, son coeur de cible. Un désengagement illustré par différents sondages aux Etats-Unis et confirmé par le réseau social lui même. Très versatiles, les 15-25 ans préfèrent se tourner vers d'autres outils comme Twitter, Tumblr et Snapchat donc, une application permettant d'échanger des contenus éphémères sur mobile. Ce glissement des habitudes semble se confirmer également en France si on en croît une "enquête ethnographique" menée par la Fédération française des télécoms. "Facebook, c'est mort !" Des résultats à prendre avec des pincettes donc mais qui valident la "grande peur" de Facebook actuellement. Traduction : Facebook est lieu des images officielles, presque corporates, où il faut absolument se mettre en valeur et ce sur de longues périodes. La liberté de l'un contre la paranoïa de l'autre en somme...