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National Security Agency

National Security Agency
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La National Security Agency (NSA, « Agence nationale de la sécurité ») est un organisme gouvernemental du département de la Défense des États-Unis, responsable du renseignement d'origine électromagnétique et de la sécurité des systèmes d'information et de traitement des données du gouvernement américain. Le Central Security Service (CSS) est une agence qui loge dans les mêmes bureaux que la NSA et qui a été créée dans le but de coordonner les efforts des sections de cryptographie de la NSA et de l'armée américaine. §Missions[modifier | modifier le code] La NSA/CSS est chargée de diriger les activités de cryptologie du gouvernement américain. Signals Intelligence (SIGINT), c'est-à-dire le renseignement d'origine électromagnétique ;Information Assurance (IA), la sécurité des systèmes de communications et de traitement des données. §Histoire[modifier | modifier le code] §Origine[modifier | modifier le code] §Création[modifier | modifier le code]

Direction centrale du Renseignement intérieur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La DGSI s'est substituée à la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI)[3], née en 2008 de la fusion de la direction de la Surveillance du territoire (DST) et de la direction centrale des Renseignements généraux (RG)[4],[5]. Histoire[modifier | modifier le code] Un projet initié par Nicolas Sarkozy[modifier | modifier le code] La fusion des RG et de la DST est une volonté affichée par Nicolas Sarkozy lorsqu'il est ministre de l'Intérieur puis candidat à l'Élysée. Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI)[modifier | modifier le code] Ancien logo de la DCRI, devenue depuis la DGSI. Une des premières apparitions dans les médias de la nouvelle DCRI fut l'arrestation de Julien Coupat dans le cadre de l'« affaire de Tarnac » . En décembre 2008, le siège de la DCRI fait l'objet d'un projet d'attentat orchestré par un islamiste de la région parisienne[12]. Organisation[modifier | modifier le code] Missions[modifier | modifier le code]

Presidio-modelo2 - Panoptique Direction de la Surveillance du territoire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Immeuble de Levallois-Perret qui fut le siège de la DST entre 2007 et 2008 (depuis lors, siège de la DCRI). Cette dernière compétence n'était plus la seule qui était confiée à la DST ; depuis la disparition du bloc soviétique, s'y ajoutaient la lutte anti-terroriste, la lutte contre la prolifération (matériels sensibles ou militaires) et la protection du patrimoine économique et scientifique français. Le 1er juillet 2008, la DST a fusionné avec la Direction centrale des Renseignements généraux au sein d'une nouvelle direction qui a pris le nom de Direction centrale du Renseignement intérieur (DCRI)[1]. Histoire[modifier | modifier le code] La DST succède à la ST par une ordonnance du , signée du général de Gaulle et relative à l'organisation du ministère de l'Intérieur, que vint compléter un arrêté du . Le général de Gaulle établit la DST cette même année, fixant ses attributions et ses structures internes. Les succès majeurs de la DST furent :

Google, nouvel avatar du capitalisme, celui de la surveillance Nous avons la chance d’être autorisés à traduire et publier un long article qui nous tient à cœur : les idées et analyses qu’il développe justifient largement les actions que nous menons avec vous et pour le plus grand nombre. Avant propos Par Framatophe. Dans ses plus récents travaux, Shoshana Zuboff procède à une analyse systématique de ce qu’elle appelle le capitalisme de surveillance. La démarche intellectuelle de Shoshana Zuboff est très intéressante. Ainsi, prenant l’exemple de Google, Shoshana Zuboff analyse les pratiques sauvages de l’extraction de données par ces grands acteurs économiques, à partir des individus, des sociétés, et surtout du quotidien, de nos intimités. « (Big Other) est un régime institutionnel, omniprésent, qui enregistre, modifie, commercialise l’expérience quotidienne, du grille-pain au corps biologique, de la communication à la pensée, de manière à établir de nouveaux chemins vers les bénéfices et les profits. Les secrets du capitalisme de surveillance I. 1.

Affaire SAFARI : l'origine de la loi Informatique et Libertés - 360 Objets L’acronyme S.A.F.A.R.I signifie Système Automatisé pour les Fichiers Administratifs et le Répertoire des Individus. L’idée était toute simple, mais liberticide, croiser les fichiers de l’administration française, pour en faire un méga-fichier, et ainsi tout savoir, de tout le monde. Ce projet a été initié par le gouvernement français en 1973 par le ministère de l’Intérieur. Le monde révèle ce projet le 21 mars 1974, avec son article « Safari : ou la chasse aux français ». En découle une prise de conscience de la population française, et le gouvernement est obligé de prendre les décisions suivantes : le SAFARI est renommé en RNIPP, c’est à dire le Répertoire National d’Identification des Personnes Physiques.toute décision d’interconnexion de fichiers administratifs devra obligatoirement recevoir l’aval du premier ministre.La commission « Informatique et Liberté » est créée. L’article 8 précise les données interdites à la collecte tant par l’autorité publique, que par une entreprise privée.

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