Accueil | Collectif Confluence Le site de Geoffroy de Lagasnerie | On trouvera sur ce site des informations sur mes publications, activités, etc., ainsi que certains textes (articles, communications, interventions…). Quel droit pour les articles scientifiques? (ADBS) Mise à jour de Michèle Battisti de cet article qui revient sur les différents modèles envisageables pour la communication scientifique, avec quelques suggestions proposées par les chercheurs eux-mêmes: " (L’) article scientifique, fondamental pour la carrière des chercheurs et la renommée de leurs établissements, évoqué ici, est celui qui paraît dans des revues spécialisées, à distinguer des magazines de vulgarisation. (…) Dans ce cadre, effectivement, ni les auteurs ni le comité éditorial et les experts qui évaluent les articles ne sont rémunérés. Par ailleurs, les éditeurs se faisant bien souvent céder des droits exclusifs sur les articles, les institutions sont amenées à payer – cher – l’accès aux articles de leurs propres chercheurs. Publier ailleurs ? Dans le modèle de libre accès, préconisé aujourd’hui par les éditeurs eux-mêmes, ce sont les établissements des chercheurs dont les articles ont été retenus qui paient les droits. Lire l’article sous: Battisti, Michèle. Like this:
econoclaste - Le blog d'econoclaste Le 9 janvier dernier, James Buchanan est décédé à l'âge de 93 ans. Il était le leader de l'école du Public choice. Récemment, Dani Rodrik a publié un article (version anglaise ici ) sur le site Project Syndicate, qui s'interroge sur ce que les économistes ont finalement fait des années de recherche en économie politique. Le 23 juin prochain, un concert de David Guetta, subventionné par la Mairie, est programmé à Marseille, dans le cadre des festivités de Marseille, capitale de la culture européenne 2013 . Ce billet est l'occasion de rendre hommage à Buchanan et, par la médiation de l'article de Rodrik, de faire du Public choice appliqué. Rédiger en une seule fois ce que je veux écrire sur le sujet serait indigeste. La corrélation Catwoman Stéphane Ménia jeudi 21 février 2013 Lies, damn lies and statistics Je suis tombé sur cet article paru l'été dernier. On reprend nos vieux réflexes et on cherche la causalité possible dans la population des femmes : 1. Deux remarques : 1. EcoBlabla Hum.
Une heure de peine... ACREOR | Actions, régulations, organisations. Le blog d'un séminaire de l'UMR 5600 La Criée : périodiques en ligne Michel Lussault : “Finalement, la géographie ne sert à rien… « Le Creuset [v. Bêta] … parce qu’il faut plutôt prendre le verbe ‘servir’ de manière transitive et se demander ‘qui elle sert’". C’est par cette conclusion que Michel Lussault, professeur de géographie à l’Ecole normale supérieure Lettres et sciences humaines (ENS-LSH) de Lyon[1], débutait le 4 février 2010 une conférence de plus d’une heure intitulée "A quoi sert la géographie", laquelle clôturait une journée d’études insérée dans un long cycle de réflexion autour de la problématique "A quoi servent les sciences humaines", organisé par la revue Tracés[2] au sein de l’établissement lyonnais[3]. Michel Lussault explique que la géographie est actuellement traversée par deux "tendances" aux méthodes, aux projets et aux réflexions différentes même si une convergence certaine peut parfois être notée. Michel Lussault conclut sa démonstration en précisant que la géographie sert les "spatialités des opérateurs" et permet de construire les modes d’action et les sociétés dans lesquelles nous vivons. ♣ Notes : [6] Cf.
ethnographiques.org - Revue en ligne de sciences humaines et sociales Pour une sociologie du #troll Hello folks ! Si vous êtes arrivés ici après avoir écouté l’émission Place de la Toile « Psycho-politique du troll » du 24 mars 2011, vous trouverez dans ce billet un utile complément d’information. Si vous êtes des lecteurs habituels de ce blog ou de celui consacré à la réception de mon livre Les liaisons numériques (Ed. du Seuil), vous y trouverez une bonne synthèse des contenus que vous connaissez sans doute déjà. Typologie du troll Quatre catégories principales de trolls sont identifiables : 1) le troll « pur » : le modèle de base, utilisateur bête et méchant des listes de diffusion ou des médias sociaux qu’il pourrit de commentaires désobligeants et mal adaptés au contexte d’interaction (ex. reconduire tout au sexe dans un forum de discussion sur la religion ou reconduire tout à la religion dans un forum de discussion sur la psychanalyse…). 2) le troll « hybride » : un utilisateur qui combine son activité de troll avec des habiletés d’autre type. Le trolling : un processus social