FRANCE. La réalité du binge drinking en chiffres - 1 avril 2015
BEUVERIES. Les ivresses et les beuveries express (binge drinking) sont de plus en plus fréquentes chez les jeunes. Et en la matière, les filles sont en train de rattraper les garçons, selon des données chiffrées rendues publiques mardi 31 mars par l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes). En 10 ans, note-t-il, la part des 18-25 ans qui ont connu au moins une ivresse dans l’année est passée de 33% à 46% tandis que ceux qui en ont connu au moins trois a presque doublé, de 15% à 29%. Les séances d’alcoolisation massive, connues sous le nom anglais de "binge drinking" ou beuveries express, sont elles aussi en plein essor depuis quelques années en France. En forte progression chez les jeunes femmes Mais alors que les ivresses et les beuveries étaient autrefois plus courantes chez les jeunes hommes, les jeunes femmes sont désormais de plus en plus concernées. Selon M. Des mesures envisagées dans la loi santé
Les impacts : sérieux, voire graves
Le jeu prend une telle importance pour les joueurs excessifs qu’il en arrive à dominer leur vie. Pour eux et autour d’eux, le problème peut avoir des impacts très sérieux. Il peut entraîner des conséquences graves sur les plans économique, familial ainsi que sur le plan de la santé. Voici quelles peuvent être les conséquences du jeu excessif : Les conséquences du jeu excessif sur le joueur lui-même Bien que son comportement puisse avoir des répercussions dans la vie de différentes personnes, le joueur excessif se fait avant tout du mal à lui-même. Des problèmes de santé mentale Le joueur excessif peut vivre les états suivants : dépression, anxiété, culpabilité, colère, solitude, isolement, déception, perte d'estime de soi, perte de contrôle et idées suicidaires. > Haut de page Les conséquences du jeu excessif sur le conjoint et la famille Côtoyer ou vivre avec une personne ayant un problème de jeu excessif est une expérience très éprouvante.
Les jeux dangereux chez les enfants: Ça n’arrive pas qu’aux autres
ENFANCE Un enfant sur dix aurait déjà pratiqué un jeu dangereux, et 36% des enfants y sont exposés, selon un sondage YouGov pour l'associatin SOS Benjamin dont «20 Minutes» vous révèle les résultats... Anissa Boumediene Publié le Mis à jour le Jeu de la tomate, du foulard, de la canette ou encore du rêve indien. Leur nom semble innocent, pourtant ces jeux tuent des enfants chaque année. Violence sur soi-même ou sur les autres La violence de ces jeux revêt plusieurs formes, et peut être physique ou psychologique. L’impact du milieu et de l’entourage C’est l’un des facteurs étudiés dans le sondage : la catégorie socioprofessionnelle (CSP) des parents influence la pratique de ces jeux dangereux. Autre point soulevé par l’étude, la pratique d’une activité extrascolaire et un cercle de fréquentation élargi augmenteraient les risques d’être confrontés aux jeux dangereux. Privilégier le dialogue Déroutés, plus d’un quart des parents ne savent pas comment réagir face à ce phénomène. Mots-clés :
Les jeux dangereux à l’école : informer aussi les parents
En tant que parents, que connaissons-nous de ces "jeux" dangereux ? Profitons du rapport parlementaire contre les jeux dangereux, remis en octobre dernier, pour reparler des jeux dangereux à l’école et essayer de comprendre. Les députés UMP Cécile Dumoulin et Patrice Verchère ont remis le 21 octobre 2009 un rapport sur les jeux dangereux dans les établissements scolaires. Le document préconise plusieurs mesures pour mieux connaître, et mieux prévenir, ces pratiques à risque. Interrogés sur Express.fr, ils expliquent les quatre grandes idées : - mieux connaître le phénomène, en recensant les incidents auprès des pompiers ou de la police.- informer les parents, et les professionnels en relation avec les enfants. Nous avons tous parlé à nos enfants des risques de la circulation, des inconnus dans la rue, du tabac, de l’alcool, de la pédophilie, de la drogue, ..., mais nous n’osons pas évoquer ces "jeux " dangereux de peur de susciter la curiosité.Aussi, parfois par ignorance.
Comas éthyliques, accidents, maladies : stop à l'alcool-défonce chez les jeunes - 27/04/2013 - ladepeche.fr
L'alcool a entraîné 400 000 hospitalisations en un an, soit un bon de 30 % en trois ans. Comas éthyliques, cirrhoses, hépatites, troubles psychiques et risque d'addiction aggravé. La progression du binge drinking (c'est-à- dire de «l'alcool défonce») chez les jeunes, alarme les médecins. C'est pourtant le «rite» des fins de semaines. Faire la fête. Jeunes collégiens squattant à quatre ou cinq l'arrêt de bus d'une zone commerciale un mercredi après-midi pour s'alcooliser… ils se sont échangés les «bons plans» sur internet : 7€ le pack de 24 «binouzes» acheté chez le discounter du coin. Certes, en quarante ans, la consommation nationale a été divisée par deux, mais tout Français de plus de 15 ans n'en consomme pas moins en moyenne 12,3 litres d'alcool pur par an, selon l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé. «Pourquoi et comment je consomme de l'alcool ?» zoom «Il faut aussi aider les parents confrontés à ça»
Jeux dangereux à l'école : les nouvelles pratiques de nos enfants
Jeux dangereux à l'école : l'agression sous un nouveau jourLes jeux du foulard et autres dangers des cours de récré ont bien évolué. En juin dernier, Mamady, 14 ans, en 3ème dans un collège de Seine-Saint-Denis, est hospitalisé après avoir été passé à tabac par d’autres collégiens. Il est victime d’un nouveau jeu dangereux à l'école, consistant à dévaler le plus rapidement possible les escaliers de l’établissement scolaire, et à frapper le dernier arrivé. Nouvelle forme de harcèlement à l'école ou violence scolaire consentie ? Peu importe, ces nouvelles formes de jeux explosent, notamment sous l'effet de leur diffusion sur Internet...C’est Internet aussi qui a vu émerger en 2007 un genre tristement nouveau dans ces jeux utilisant la violence physique ou psychologique, en groupe ou à deux. Jeux dangereux à l'école : les nouvelles technologies en cause ?
Les jeux dangereux de la cour de récré
Par La rédaction d'Allodocteurs.fr Mis à jour le , publié le Se pousser dans les escaliers, tirer les cheveux d'une camarade ou encore jouer à s'étrangler. Parler des jeux dangereux en classe Dans cette école primaire près de Mâcon, on délaisse les cahiers et les stylos le temps d'un après-midi pour discuter ensemble de ces jeux dangereux. "J'ai déjà vu quelqu'un qui enlève son foulard pour étrangler l'autre". Un enfant sur quatre serait concerné S'étrangler avec une écharpe ou retenir sa respiration jusqu'à l'étouffement. Les enfants n'ont pas conscience des risques Pour que les enfants comprennent les risques, il faut d'abord qu'ils prennent conscience de comment fonctionne leur corps. Si ces jeux d'asphyxie débutent parfois très jeune, à la maternelle, les collèges et lycées ne sont pas épargnés. Des signes doivent alerter l'entourage En France, depuis 1999, ces jeux d'asphyxie ont causé la mort de plus de 75 enfants.
lutte contre les jeux dangereux et le harcèlement