Bryan Lewis Saunders - DRUGS
"Near Death Experience" 25I-NBOMe Abilify / Xanax / Ativan (dosage unknown in hospital) 90mg Abilify (after 3 months usage 3x maximum dose) 1 sm Glass of Absinth 10mg Adderall Alcohol 10mg Ambien Ativan / Haloperidol (doseage unknown in hospital) Bath Salts 15mg Buspar (snorted) 4 Butalbitals (doseage unknown) Butane Honey Oil 250mg Cephalexin (painted w/ watercolor pencil, water and cephalexin) 1/2 gram Cocaine Computer Duster (2 squirts) 2 bottles of Cough Syrup 1 "Bump" of Crystalmeth 20mg Cyclobenzaprine 4mg Dilaudid 1 shot of Dilaudid / 3 shots of Morphine (In the ER with kidney stones) DMT (during and after) 60mg Geodon Hash Heroin (Snorted) Huffing Gas (during and after) Huffing Lighter Fluid 7.5mg Hydrocodone / 7.5mg Oxycodone / 3mg Xanax Khat (chew and tea) 3mg Klonopin 300mg Lithium 10mg Lortab (Shitty) LSD Marijuana (Kine Bud) Marijuana (G13) Marijuana Resin Morphine IV (doseage unknown) Psilocybin Mushrooms (2 caps onset) 2mg Nicotine Gum (after quitting smoking for 2 months) Nitrous Oxide Opium 7.5mg Percocet
Paul Déroulède
Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(décembre 2013). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Son rôle de fondateur de la Ligue des patriotes et son revanchisme en font un acteur important de la droite nationaliste en France[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code] Guerre de 1870[modifier | modifier le code] Carrière littéraire et politique[modifier | modifier le code] Carrière[modifier | modifier le code] Anticolonialiste au nom de la revanche (cela « disperse les énergies françaises »), défendant le catholicisme avec parfois des accents antisémites (repos dominical, refus de la séparation[4]), il attaque vivement Clemenceau lors du scandale de Panama. Fin de vie[modifier | modifier le code] Duels[modifier | modifier le code] Théâtre
Qu’est-ce que l’art brut ? On a posé la question à 3 spécialistes
Qu’est-ce que l’art brut ? Antoine de Galbert, président de la Maison Rouge à Paris, Sarah Lombardi, directrice de la Collection de l’art brut de Lausanne et Christian Berst, directeur de la galerie du même nom ont répondu à nos interrogations. Jean Dubuffet, Autoportrait II, 1966, © Collection Fondation Dubuffet. L’art brut, ce mouvement artistique défini par Jean Dubuffet en 1945, s’est vu récemment prendre du galon et s’institutionnaliser. Les grands musées lui font de l’œil et ses artistes ont la cote. « Du point de vue de notre collection à Lausanne, ce terme se fonde – tel que l’a conceptualisé Jean Dubuffet – sur deux dimensions. La deuxième dimension serait d’ordre artistique. Kahmann Anna, Sans titre, 1994 © Collection de l’Art Brut. De notre point de vue, ce qui aurait changé depuis Dubuffet ne seraient donc pas les critères de l’art, car notre choix fonctionne selon ces derniers, mais le contexte dans lequel s’inscrit l’art brut aujourd’hui. L’art brut est universel.
And these are self portraits by Bryan Lewis Saunders, who - Comment #26 added by lunchablespizza at Girl Tripped on LSD And Drews Herself
Back to the content 'Girl Tripped on LSD And Drews Herself' Refresh Comments Anonymous comments allowed. 6 comments displayed. #25 - lunchablespizza (08/25/2014) [-] Here's another series of self portraits by some artist who took LSD over a period of 8 hours #26 to #25 - lunchablespizza (08/25/2014) [-] And these are self portraits by Bryan Lewis Saunders, who drew a self portrait under the effects of several different drugs. #36 to #26 - bunssugar (08/25/2014) [-] Computer duster? #43 to #36 - mechanichore (08/25/2014) [-] People huff air duster cans to get high. #27 to #26 - unyunpeel (08/25/2014) [-] I was diagnosed with adhd as a kid, and I took upwards of 36 mg of adderall a day until I was switched to concerta about a year ago (20 years old now). #40 to #27 - auryn (08/25/2014) [-] It's like speed (amphetamine) only milder. Friends (0)
Ivan Aïvazovski
Ivan Konstantinovitch Aïvazovski Depuis 2018, l’aéroport international de Simferopol porte son nom. Biographie[modifier | modifier le code] Ses origines[modifier | modifier le code] Originaire d'une famille pauvre de marchands arméniens émigrée de Pologne au début du XIXe siècle, Ivan Aïvazovski est né à Théodosie, en Crimée, le 29 juillet 1817. Sa formation[modifier | modifier le code] En 1837, Ivan Aïvazovski est diplômé de l'Académie de Saint-Pétersbourg avec une médaille d'or et reçoit une aide de cette académie pour approfondir ses études. L'Académie l'envoie tout d'abord voyager en Crimée pendant deux ans pour y peindre des marines. Sa carrière[modifier | modifier le code] En 1844, de retour en Russie, il est nommé membre de l'Académie de Saint-Pétersbourg puis, en 1845, peintre de l'état-major de la Marine russe. Tombe d'Ivan Aïvazovski à Théodosie. Ivan Aïvazovski a eu de son vivant une renommée internationale considérable[2]. Analyse de l'œuvre[modifier | modifier le code]
Outsider art
Anna Zemánková, No title, 1960s Outsider art is art by self-taught or naïve art makers. Typically, those labeled as outsider artists have little or no contact with the mainstream art world or art institutions. In many cases, their work is discovered only after their deaths. Often, outsider art illustrates extreme mental states, unconventional ideas, or elaborate fantasy worlds. The term outsider art was coined by art critic Roger Cardinal in 1972 as an English synonym for art brut (French: [aʁ bʁyt], "raw art" or "rough art"), a label created by French artist Jean Dubuffet to describe art created outside the boundaries of official culture; Dubuffet focused particularly on art by those on the outside of the established art scene, using as examples psychiatric hospital patients and children.[1][2] Art of the mentally ill[edit] Interest in the art of insane asylum inmates continued to grow in the 1920s. Jean Dubuffet and art brut[edit] Dubuffet characterized art brut as: Cultural context[edit]
l'œil au front...
D'abord j'ai eu l'œil au front qui « voyait » dans la nuit. La seule chose que j'ai faite volontairement pour que les images naissent c'est de tenir debout devant ma table et d'agir, conduite par mes voix qui voulaient des couleurs, et les formes sont nées de ma volonté et de la bonne volonté du ciel. Un soir, j'ai reçu sur la tête un tel coup que certaines images de ma peinture sont sorties de ma tête et j'avais très mal. Séparation, acceptation difficile de la souffrance pour ne pouvoir rien faire que de crier. Accepter de souffrir pour peindre. Après tant d'années où j'ai forcé ma vie à donner des images, pourquoi ??? J'étais calme, disiez-vous, saviez-vous quelle angoisse m'habitait pour que je puisse, ne serait-ce que voir à travers vous, toutes ces couleurs, ces formes qui étaient ma seule joie et ma seule fierté. Marie-Jo Chappatte. 1995.
Francique
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Edmund Monsiel : Henry Boxer Gallery - Outsider Artist
In the last two decades of his life the Polish outsider Edmund Monsiel, an untreated schizophrenic, produced a body of exquisitely detailed drawings, often with messianic and religious inscriptions. Though he held down a job as a weighbridge operator after he became ill he avoided social contact and was obsessively religious. His artistic outpourings began with transcriptions of visual hallucinations of Christ and the Devil in 1943, before giving way to chaotic agglomerations of figures and faces that seem suggest the artist's struggle with forces that threaten to consume him entirely. Subsequently Monsiel developed a more rigidly defined and controlled image of a world dominated by the human face. Characteristically, Monsiel's drawings reflected the deific world of his visions in which he was God's emissary, rather than the dingy reality of the small room in which he lived, and thereby quieted the powerful forces of his fears.