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The Criterion Collection
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Criterion Collection, Inc. (parfois seulement Criterion) est une entreprise de distribution de films uniquement sur le marché des supports vidéo. Il s'agit initialement du LaserDisc, puis de DVD et de Blu-Ray. Cette collection, commercialisée aux États-Unis et au Canada, est principalement destinés aux cinéphiles. Son but est de proposer des éditions de référence de grands films du répertoire mondial, avec un accent particulier sur les cinémas américain, français, japonais et italien. La société est une coentreprise de Janus Films (en) et de Voyager Company et a été fondée en 1984. Contributions et influence[modifier | modifier le code] Commercialement, The Criterion Collection en tant que société d'édition vidéo a été la pionnière du format letterbox qui permet de présenter les films dans le rapport d'image d'origine. Filmographie[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code]
Paul Déroulède
Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(décembre 2013). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Son rôle de fondateur de la Ligue des patriotes et son revanchisme en font un acteur important de la droite nationaliste en France[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code] Guerre de 1870[modifier | modifier le code] Carrière littéraire et politique[modifier | modifier le code] Carrière[modifier | modifier le code] Anticolonialiste au nom de la revanche (cela « disperse les énergies françaises »), défendant le catholicisme avec parfois des accents antisémites (repos dominical, refus de la séparation[4]), il attaque vivement Clemenceau lors du scandale de Panama. Fin de vie[modifier | modifier le code] Duels[modifier | modifier le code] Théâtre
7 light art pieces by contemporay artists worthy of the spotlight : DesignWanted
A selection of 7 light art pieces to share the importance of light in every environment. While most product design that involves lighting is redundantly considered “light design” it really isn’t so much about light but about the structure that supports the lighting source. Light is a major influence in human culture, from religion to science and art. While it definitely plays one of the major roles in all visual arts, from painting to film and even architecture and design, lighting has tended to be simply a medium to illuminate the subject in one way or another and not so much the real object of appreciation. Light most certainly deserves recognition and to be itself the “object” of art, since, without it, no other visual art could even exist. That’s why we decided to share the work of 7 contemporary artists that bring light into the spotlight. 1. American artist James Turrel is one of the most extraordinary artists working today. 2. 3. 3. 4. 5. 6.
Ivan Aïvazovski
Ivan Konstantinovitch Aïvazovski Depuis 2018, l’aéroport international de Simferopol porte son nom. Biographie[modifier | modifier le code] Ses origines[modifier | modifier le code] Originaire d'une famille pauvre de marchands arméniens émigrée de Pologne au début du XIXe siècle, Ivan Aïvazovski est né à Théodosie, en Crimée, le 29 juillet 1817. Sa formation[modifier | modifier le code] En 1837, Ivan Aïvazovski est diplômé de l'Académie de Saint-Pétersbourg avec une médaille d'or et reçoit une aide de cette académie pour approfondir ses études. L'Académie l'envoie tout d'abord voyager en Crimée pendant deux ans pour y peindre des marines. Sa carrière[modifier | modifier le code] En 1844, de retour en Russie, il est nommé membre de l'Académie de Saint-Pétersbourg puis, en 1845, peintre de l'état-major de la Marine russe. Tombe d'Ivan Aïvazovski à Théodosie. Ivan Aïvazovski a eu de son vivant une renommée internationale considérable[2]. Analyse de l'œuvre[modifier | modifier le code]
Manière noire
La manière noire (gravure noire, mezzotinte, ou mezzo-tinto) est un procédé de gravure en taille-douce qui permet d'obtenir des valeurs ou niveaux de gris, sans recourir aux hachures ou aux pointillés pour la première fois dans l'histoire de la gravure. Cette technique autorise une grande variété de teintes, d'où le nom de « mezzotinte » ou « mezzoteinte » qu'on lui donne parfois, et donnent l'impression au spectateur que les formes « paraissent sortir de l'ombre. C'est cet esprit autant que le procédé qui permet de distinguer une manière noire d'une simple manière blanche[1] ». Histoire[modifier | modifier le code] Le graveur Marcantonio Raimondi avait, à la Renaissance, utilisé un procédé mixte, associant la gravure au burin et des gris obtenus en dépolissant la plaque de cuivre à la pierre ponce, pour ensuite repolir au brunissoir les parties devant apparaître en clair sur l'épreuve[2] (fig. 1). Ce procédé particulier à un graveur exceptionnel semble s'être ensuite perdu. 8.
Francique
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Linogravure
Réalisation d'une linogravure. La linogravure est une technique de gravure en taille d'épargne (technique consistant à enlever les blancs ou « réserves » du résultat final, l'encre se posant sur les parties non retirées, donc en relief, le papier pressé sur la plaque conservant l'empreinte de l'encre[1]), proche de la gravure sur bois, et se pratique sur un matériau particulier, le linoleum. Historique[modifier | modifier le code] La linogravure est une méthode de gravure relativement jeune : le linoleum apparaît en Angleterre en 1863. À l'origine utilisé pour recouvrir les sols et c'est seulement en 1900 qu'il est utilisé pour la gravure[2]. Elle est dérivée de la xylographie ; on y retrouve donc les mêmes principes techniques[3] : taille en épargne des blancs, estampe obtenue par pression et transfert de l'encre disposée sur les zones non creusées sur le support. Matériel[modifier | modifier le code] Plaque de linoléum[modifier | modifier le code] Outils[modifier | modifier le code]
Les Trois Royaumes (roman)
Les Trois Royaumes (chinois simplifié : 三国志演义 ; chinois traditionnel : 三國志演義 ; pinyin : Sānguózhì yǎnyì) est un roman historique chinois sur la fin de la dynastie Han et la période des Trois Royaumes, (169-280). Écrit par Luo Guanzhong au XIVe siècle d'après l'œuvre de Chen Shou écrite au IIIe siècle. Ce roman fait partie des quatre livres extraordinaires de la littérature chinoise, ce qui le classe parmi les romans les plus longs et les plus anciens de l'histoire chinoise avec plus de 800 000 mots en cent-vingt chapitres[1]. Son titre en chinois (Sanguo Yanyi) indique qu'il fait de la vertu son thème principal. Les trois royaumes en question sont ceux de Wei (魏), Shu (蜀) et Wu (吳). Le déclin des Han À la fin du deuxième siècle la dynastie Han, autrefois inébranlable, est en proie à des luttes internes et à la corruption. La rébellion des Turbans Jaunes Un sentiment anti-impérial se répand dans tout le pays. La contre-offensive Le serment du jardin des pêchers La défaite des Turbans Jaunes