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Marxists Internet Archive

Related:  histoireHypothèse communisteSocial Sciences

Les femmes au Moyen-Âge, loin des idées reçues (1/5) : Le statut de la femme / Deuxième partie : Hélène Guénin Cette semaine, en compagnie de Julie Pilorget, nous repoussons les idées éculées sur les femmes au Moyen-Âge. En 2ème partie d'émission : art et tremblements du monde avec la commissaire Hélène Guénin. Première partie / Série : Les femmes au Moyen-Âge, loin des idées reçues Episode 1 : Le statut de la femme Avec notre tête chercheuse : Julie Pilorget Agrégée d'histoire, Julie Pilorget est actuellement allocataire de recherche (ATER) à l'université Paris-Sorbonne au sein de laquelle elle réalise également une thèse sous la direction d'Elisabeth Crouzet-Pavan. La 4ème édition du festival Bobines et Parchemins se tiendra du 16 au 26 mars à Paris. Publications: « Comment meraleresse se doit contenir en ladite science. Deuxième partie / L'invitée culturelle : Hélène Guénin, commissaire d'exposition et directrice du MAMAC à Nice pour l'exposition Sublimes : les tremblements du monde, au Centre Pompidou Metz jusqu'au 5 septembre 2016. Bibliographie

Encyclopedia of World Problems and Human Potential The Encyclopedia of World Problems and Human Potential is published by the Union of International Associations (UIA) under the direction of Anthony Judge. It is available as a three-volume book,[1] as a CD-ROM,[2] and online.[3][4] Databases, entries, and interlinks[edit] The Encyclopedia of World Problems and Human Potential is made up from data gathered from many sources. Those data are grouped into various databases which constitute the backbone of the Encyclopedia. List of databases[edit] World Problems – Issues is a database with 56,000+ entries and 276,000+ links. Basic universal problems include danger, lack of information, social injustice, war, environmental degradation. Global Strategies – Solutions is a database with 32,000+ entries and 284,000 links. Abstract fundamental strategies include compromising, transcending, providing. Constructive values include peace, harmony, beauty. Human Development is a database with 4,800+ entries and 19,000+ links. Entries and links[edit]

Le communisme Nous sommes communistes. Le communisme est, au fond, une idée simple : mettre en commun toutes les richesses et les moyens de les produire, maîtriser le fonctionnement de l’économie de façon collective et consciente. Aujourd’hui, l’économie est aux mains d’une petite minorité de possédants. Pour la mettre au service de la population, il faut arracher à cette minorité le pouvoir étatique, mettre fin à la propriété privée des entreprises et des banques. A la différence de la répartition à laquelle procède le capitalisme, de façon profondément inégale, anarchique, aveugle, une société communiste planifiera tant la distribution des biens de consommation que la production et l’exploitation des ressources. Cette planification permettra d’en finir avec les crises qui secouent périodiquement l’économie capitaliste d’un bout à l’autre de la planète.

Florida’s flawed “voter-cleansing” program If Vice President Al Gore is wondering where his Florida votes went, rather than sift through a pile of chad, he might want to look at a “scrub list” of 173,000 names targeted to be knocked off the Florida voter registry by a division of the office of Florida Secretary of State Katherine Harris. A close examination suggests thousands of voters may have lost their right to vote based on a flaw-ridden list that included purported “felons” provided by a private firm with tight Republican ties. Early in the year, the company, ChoicePoint, gave Florida officials a list with the names of 8,000 ex-felons to “scrub” from their list of voters. Florida officials moved to put those falsely accused by Texas back on voter rolls before the election. Florida is the only state that pays a private company that promises to “cleanse” voter rolls.The state signed in 1998 a $4 million contract with DBT Online, since merged into ChoicePoint, of Atlanta. “I was very upset,” Howell said.

Dissent Magazine LA DEFAITE DE COURTRAI C'est près de Courtrai, petite ville de Flandre occidentale située sur les bords de la Lys, que se cristallise le contentieux entre Français et Flamands. Au matin du 11 juillet 1302, la puissante armée envoyée par Philippe le Bel est taillée en pièces par les milices communales des villes de Flandre. La défaite de l'élite de la chevalerie française annonce par ailleurs la fin de la lourde cavalerie féodale qui devra bientôt (on le verra à Azincourt, en 1415) céder la place à la piétaille. A l'issue d'un combat tragique, les éperons d'or jonchent par milliers le champ de bataille. Une image d'une telle intensité dramatique que la bataille de Courtrai est devenue la bataille des Eperons d'or... La bataille de Courtrai et le massacre de la chevalerie française qui s'ensuit illustrent, de la façon sans doute la plus dramatique, les relations conflictuelles qu'entretiennent le royaume de France et le comté de Flandre depuis plus de cinquante ans. Le plus de la fiche

Anthony Judge Anthony Judge Anthony Judge, (Port Said, 21 January 1940) is mainly known for his career at the Union of International Associations (UIA), where he has been Director of Communications and Research, as well as Assistant Secretary-General.[1] He was responsible at the UIA for the development of interlinked databases and for publications based on those databases, mainly the Encyclopedia of World Problems and Human Potential, the Yearbook of International Organizations, and the International Congress Calendar. Judge has also personally authored a collection of over 1,600 documents of relevance to governance and strategy-making. All these papers are freely available on his personal website Laetus in Praesens.[2] Now retired from the UIA, he is continuing his research within the context of an initiative called Union of Imaginable Associations.[3] Early life[edit] Anthony John Nesbitt (Tony) Judge, an Australian national, was born in Port Said, Egypt, in 1940. Career[edit] Writings[edit]

Annexion de la RDA - Mélenchon « Enfin le mot juste pour nommer ce qui s’est passé il y a 30 ans. » C’est une petite phrase tweetée par Jean-Luc Mélenchon jeudi dernier qui fait polémique en cette semaine de commémoration de la chute du mur de Berlin. Réagissant à la une du « Monde diplomatique », « Allemagne de l’Est, histoire d’une annexion », le leader de la France insoumise a donc lancé : « Enfin le mot juste pour nommer ce qui s’est passé il y a 30 ans. Une violence qui n’en finit plus de se payer. » Enfin le mot juste pour nommer ce qui s'est passé il y a 30 ans. Une analyse détonante, parfaitement assumée sur France-Inter dimanche (à partir de 50 mins 55 secs) : « Je vous renvoie à mon livre, “Le Hareng de Bismarck”, où je montre comment l’Allemagne de l’Est a été annexée. « Un autre pays voisin a annexé toutes les usines du pays, changé toutes les institutions et modifié le régime de la propriété. Et de conclure en paraphrasant la citation attribuée à l’écrivain François Mauriac : « Qu’on arrête ces bêtises »

open source sociology Robespierre : intransigeance républicaine ou terrorisme étatique ? Pourquoi Robespierre et son héritage politique sont encore, plus de 200 ans après sa mort, un marqueur idéologique fort. C'est à cette question que l'historien Marcel Gauchet répond dans Robespierre, l'homme qui nous divise le plus (Gallimard, 2018). Marcel Gauchet : "Vous donneriez aujourd’hui à un communicant les discours de Robespierre en lui demandant ce que ça va produire, il vous dirait mettez ça à la poubelle, personne ne va vous écouter." Le petit avocat provincial Marcel Gauchet : "C’est au départ un petit notable provincial, un avocat, à Arras qui représente typiquement les Lumières moyennes. La naissance du phénomène politique Marcel Gauchet : "C’est tout sauf un tribun, tout sauf un meneur d’hommes. « À mort le Roi ! Marcel Gauchet : "Il est non seulement l’un des plus fervents partisans de la mort du Roi mais il développe à cette occasion une argumentation extrêmement radicale : « ou la République ou le Roi reste en vie ». « Vive la République ! L’héritage du Robespierrisme

Banque de connaissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une banque de connaissance est un outil de documentation en ligne - sur support numérique hypertexte et extrêmetexte - et regroupe des connaissances générales (ex: Wikipédia) ou spécifiques à un domaine spécialisé donné (ex: Dictionnaire médical). Outil logiciel de gestion des connaissances, une banque de connaissance sert aux consultations de nombreux lecteurs et chercheurs et permet des mises à jour centralisées immédiatement disponibles. À ne pas confondre avec : une base de connaissance (comme le système expert SACHEM),une banque de données (comme la banque des marques commerciales de l'INPI, le Registre du Commerce et des Société),une banque d'images, de vidéos (ex: DailyMotion, YouTube), de sons. Exemples[modifier | modifier le code] la banque de connaissance About,la banque de connaissance spécialisée sur l'Europe,la banque de connaissance académique de Sripatum University. Conventions orthographiques[modifier | modifier le code]

Trotsky et l’analyse de l’URSS L’analyse de l’URSS produite par Trotsky dans La Révolution trahie (De la révolution, Minuit, 1963) a donné lieu à tellement de commentaires que mieux vaut indiquer d’emblée, même sous forme lapidaire, la double appréciation guidant l’article qui suit. La force de l’approche de Trotsky est de saisir l’évolution de l’État soviétique comme réalité sui generis, à partir des contradictions qui lui sont propres. Et des distorsions pouvant exister entre différents niveaux de la réalité sociale dans une formation sociale ne s’appuyant pas sur un mode de production stabilisé. Il n’est pas mauvais de rappeler que la seule caractérisation générale de l’URSS qu’il donne est celle “d’une société intermédiaire entre le capitalisme et le socialisme. (…) Qualifier de transitoire ou d’intermédiaire le régime soviétique, c’est écarter les catégories achevées comme le capitalisme (y compris le “capitalisme d’État”) et le socialisme” (p. 606). Remarques sur le capitalisme d’État Les innovations de Trotsky

Golden Rule Book with "Dieu, la Loi, et le Roi" ("God, the law and the king") on one page and the golden rule on the other, by Bernard d'Agesci. One should treat others as one would like others to treat oneself (directive form).[1]One should not treat others in ways that one would not like to be treated (cautionary form, also known as the Silver Rule).[1] This concept describes a "reciprocal", or "two-way", relationship between one's self and others that involves both sides equally, and in a mutual fashion.[3][4] This concept can be explained from the perspective of psychology, philosophy, sociology and religion. Rushworth Kidder notes that the Golden Rule can be found in the early contributions of Confucianism. Antiquity[edit] Ancient Babylon[edit] Ancient China[edit] "Zi Gong asked, saying, "Is there one word that may serve as a rule of practice for all one's life?" Ancient Egypt[edit] Ancient Greece[edit] The Golden Rule in its prohibitive form was a common principle in ancient Greek philosophy.

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