Cosmologie 1 : le Big-Bang Cela fait maintenant quelques semaines que mon temps et mon énergie vont plutôt dans la réalisation de vidéos que dans l’écriture de billets de blog. Pour ceux qui préfèrent la forme écrite à Youtube, j’ai décidé de me rattraper en vous proposant en alternance avec les vidéos une petite série de 3 billets consacrés aux éléments de base de la cosmologie théorique, une discipline pas si imbitable qu’on le croit ! Comme d’habitude, l’idée est que ces billets soient lisibles avec des connaissances de lycée. Le billet de cette semaine commence avec le Big-Bang, et les deux suivants seront consacrés respectivement au destin de l’Univers, et au mystère de l’énergie noire. L’équation d’Einstein Toute la cosmologie moderne est fondée sur la théorie de la relativité générale d’Einstein. Pour pouvoir concrétiser cette idée, Einstein avait besoin d’une équation qui permette de quantifier ce lien, c’est-à-dire qui relie la courbure de l’espace-temps à la masse. la vitesse de la lumière, et à un instant
GetInfo Site de l'?dition des ?uvres Compl?tes de D'Alembert (1717-1783) Théorie des supercordes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue d'artiste de la théorie des supercordes Actuellement, le problème le plus fondamental en physique théorique est la grande unification, ou, autrement dit, l'harmonisation de la théorie de la relativité générale, qui décrit la gravité, et s'applique bien aux grandes structures (étoiles, planètes, galaxies), et de la mécanique quantique qui décrit les trois autres forces fondamentales connues : électromagnétique (EM), l'interaction faible (W) et forte (S). La physique des particules élémentaires modélise celles-ci comme des points dans l'espace et les fait interagir à distance nulle, ce qui amène à des résultats de valeurs infinies. Les physiciens ont développé des techniques mathématiques, dites de renormalisation, pour éliminer ces infinis, qui fonctionnent pour les forces électromagnétiques, nucléaire forte et nucléaire faible, mais pas pour la gravité : à distance nulle la théorie de la gravité d'Einstein ne fonctionne pas.
OAIster Access to OAIster A freely-accessible site for searching only OAIster records is available at Additionally, OAIster records are fully accessible through WorldCat.org, and will be included in WorldCat.org search results along with records from thousands of libraries worldwide. Contributing to OAIster OAIster continues to grow and expand. You can do self-service harvesting, which means you set your own harvest schedule and customize your metadata map for collections, Your library's holdings can be set in WorldCat, Your organization's unique collections receive maximum visibility via WorldCat and the WorldCat Gateway, which is available at no charge, and Your metadata will be syndicated wherever WorldCat data is syndicated. Additionally, building on the foundation of its success, OCLC is beginning to integrate OAIster with other open access digital resources. A worldwide repository providing integrated access and increased visibility
Colisciences Ondes scalaires (1) Ondes scalaires (1) Nota Bene: la science officielle ne reconnaît pas l'existence des ondes scalaires. Je me permet un petit résumé des diverses informations que j'ai pu avoir à propos des ondes scalaires. Il me semble qu'un excellent compilation sous un oeil éclairé est disponible ici sous la forme d'un livre électronique(en anglais malheureusement): C'est un livre écrit par Bearden (inventeur du MEG) sur lequel je suis tombé et que j'ai dévoré, car il fait une très bonne synthèse de ce que sont les ondes scalaires. Quel intérêt ont-elles? Que sont-elles? Comment se les présenter? La résultante est nulle et produit une onde se propageant dans la même direction, mais ne vibrant plus: une onde scalaire. Mais elles vibrent d'une manière différente: par le changement de leur magnitude dans le temps. C'est une pression qui ne se "voit" pas, qui s'exerce sur le vide dans lequel elles se déplacent. Qui les produit? Lien avec la gravité
Espacenet :patent search
Le serveur NUMDAM (Numérisation de documents anciens mathématiques) propose un accès libre aux métadonnées et aux articles de revues de mathématiques.
Pour chaque revue concernée, la totalité des volumes publiés jusqu’en l’an 2000 (voire au-delà) a été convertie au format numérique, ce qui représente actuellement plus de 760 000 pages numérisées et 43 000 articles mis en ligne. Les articles eux-mêmes sont disponibles pour consultation en ligne à l’issue d’un délai appelé créneau mobile. Pendant ce laps de temps (généralement 5 ans), ils sont réservés aux seuls abonnés. by feillet Oct 12