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10 (mauvaises) raisons de ne pas croire au revenu de vie

10 (mauvaises) raisons de ne pas croire au revenu de vie
Marc Vasseur a tristement raison : le « revenu citoyen de Villepin fait pour l’instant quasi lettre morte. Pourquoi ? Parce que le revenu de vie n’est pas une idée de loi de plus pour législateur ennuyé. Bref, afin de mieux expliquer tout cela, je me suis lancé dans une petit « FAQ » visant à répondre aux 10 objections que j’entends le plus souvent. 1. Pour certains, le revenu universel est une idée libérale qui vise uniquement à se débarrasser de l’état providence. Face à l’échec de l’état providence dans sa forme actuelle, le revenu universel s’impose donc comme une évidence aux yeux de certains libéraux. De plus, contrairement à ce que certains sont tentés de penser, le revenu universel n’est pas seulement une opportunité pour les libéraux de redorer leur blason face aux dégâts présumé du libéralisme au XXème siècle… Cette idée, aussi paradoxal que cela puisse paraitre, s’inscrit au contraire parfaitement dans la philosophie libérale. 2. 3. 4. 5. 6. Oui, et alors ? 7. 8. 9. 10.

Et si on parlait du revenu de base ? | Blog perso de Raphaël Hertzog Ces derniers temps ont été très agités socialement… tout cela pour 2 années supplémentaires avant l’âge officiel de la retraite. Franchement je ne vois pas là dedans un motif de descendre dans la rue. Je serai plus disposé à le faire pour une vraie avancée sociale : le dividende universel ou le revenu de base. Quel est l’intérêt de ce revenu de base ? Un film suisse (« Grundeinkommen ») présente la proposition et répond aux critiques les plus communes. J’aime particulièrement l’introduction : nos ancêtres ont travaillé dur pour augmenter la productivité afin que l’on puisse travailler moins aujourd’hui. Pour conclure, j’aimerai faire remarquer que pas un seul parti politique français n’a entamé de réflexion à ce sujet. PS: Certains proposent d’utiliser l’accroissement de la masse monétaire pour financer ce revenu de base et faire ainsi d’une pierre deux coups.

Revenu garanti: « la première vision positive du XXIe siècle » » Article » OWNI, Digital Journalism Selon Mona Chollet, plus qu'une utopie de plus, le revenu universel est un véritable projet de société qui répond à de nombreuses problématiques du XXIème siècle. Après avoir vécu douze ans dans une roulotte de cirque, pour être libre et pour économiser un loyer, Susanne Wiest s’est installée à Greifswald, dans le nord de l’Allemagne. Elle travaille comme maman de jour, sans gagner suffisamment pour joindre les deux bouts : elle doit accepter l’aide de ses parents. Une réforme fiscale, qui l’appauvrit en intégrant les allocations de ses enfants à son revenu imposable, augmente encore son exaspération et son sentiment d’absurdité. Et puis, un jour, elle tombe sur une carte postale. Quel travail feriez-vous si votre revenu était assuré ? En décembre 2008, usant d’un droit accordé depuis 2005 à tout citoyen allemand, elle lance une pétition en ligne demandant au Bundestag de se pencher sur la question du revenu de base. Susanne Wiest, Enno Schmidt et Daniel Häni Une utopie élitiste ?

L'allocation universelle, outil de lutte contre la pauvreté ? Par « allocation universelle », on entend le versement d’un revenu monétaire à chaque individu sans aucune contrepartie ni condition de ressource. Le montant de l’allocation universelle doit être suffisant pour permettre à ses bénéficiaires de sortir de la pauvreté. Derrière cette définition trompeusement simple se cachent plusieurs « projets d’allocation universelle » qui spécifient les dispositifs existants auxquels elle doit se substituer, et le nouveau cadre moral qu’elle est censée instituer. L’« impôt négatif » défendu par Milton Friedman est souvent cité comme un concept précurseur de l’allocation universelle. De fait, cela explique que d’autres défenseurs de l’allocation universelle aient une conception totalement opposée du travail. Une autre difficulté provient du caractère assez radical de la proposition d’allocation universelle. En tant que dispositif de lutte contre la pauvreté, l’allocation universelle a aussi une caractéristique singulière.

Pour un salaire de citoyen dès la naissance - L'annuel des idées mardi 29 juin 2010, par Emmanuel Lemieux Une allocation de base, sans aucune contrepartie, pour chaque citoyen tout le long de sa vie... C’est l’idée que vient de relancer le think tank Utopia. Est-ce décent ? Est-ce bien raisonnable ? Des économistes aussi contrastés que John Kenneth Galbraith, James Tobin ou encore Milton Friedmann ont réfléchi à cette idée. 750 euros minimum L’ADN du "revenu inconditionnel" imaginé par Utopia a un tout autre séquençage que celui des libéraux. A combien se monterait ce fameux revenu ? B. Pour Utopia, il est justement temps de déconnecter travail et revenus. Supprimer le mot « pauvreté » Repères : Un revenu pour tous, de Baptiste Mylondo, les Editions Utopia, 5 euros (2010).Contact : Les Editions Utopia, 30, rue Amelot, 75011 ParisA lire sur notre site :Le plan secret pour faire disparaître la pauvreté Par olivier.montulet@skynet.be, le 19 septembre 2010 : Pour un salaire de citoyen dès la naissance Répondre a ce message Répondre a ce message Si jeune Mabuse ?

De Boutin à Villepin, tous les avatars du "revenu citoyen" Dans le programme de Dominique de Villepin pour 2012, c’est la proposition qui fait parler : un « revenu citoyen » versé de telle sorte que tout citoyen français de plus de 18 ans puisse compter sur un minimum de 850 euros par mois pour vivre « dans la dignité ». A entendre les réactions de certains de ses anciens amis de l’UMP, l’ex-Premier ministre serait devenu un dangereux gauchiste. C’est évidemment plus compliqué. Quelles sont les racines de cette idée ? « Si l’on remonte l’arbre généalogique de cette idée, on trouve deux branches : une marxiste et une libérale », schématise l’économiste (et député européen socialiste) Liêm Hoang-Ngoc. La branche libérale considère qu’il convient d’accorder une certaine somme d’argent aux citoyens (qui sont d’abord, dans cette optique, des « agents économiques »), mi-filet de sécurité, mi-capital de départ pour qu’ils puissent consommer et participer à la vie de la société. A chacun, ensuite, d’organiser ses dépenses comme il l’entend.

LA CROISSANCE AUTREMENT: Revenu d’existence - 18.4.12 | Revenu de Base Inconditionnel - Contributions francophones Revenu d'existence Le site a rencontré l'erreur ci dessous. Relancer l'application (revenudexistence) Le champ 'ZR_REQ_INFOS_DERNIERE' n'a pas pu s'initialiser, car il a rencontré l'erreur HyperFileSQL suivante : ============================= L'accès au serveur vous est refusé. Vérifiez que le nom d'utilisateur <alternatives> et le mot de passe sont corrects. ============================= L'accès au serveur vous est refusé. Vérifiez que le nom d'utilisateur <alternatives> et le mot de passe sont corrects. Dump de l'erreur du module <WD140PAGE.DLL><14.00Dgd>. - Niveau : erreur fatale (EL_FATAL) - Code erreur : 310085 - Code erreur WD55 : 4001 - Pas de code d'erreur système - Pas de message d'erreur système - Que s'est-il passé ?

Utopie, la quête d'une societé idéale L'empire des modèles bibliques "Iahvé Elohim planta un jardin en Eden, en Orient." Genèse, II, 8 Si l'utopie se sépare radicalement de la tradition chrétienne, elle ne cesse pourtant d'y puiser, au cours de son évolution historique, d'innombrables modèles et de lui emprunter ses premières figures dans l'espace, le temps et l'histoire. Le paradis terrestre, dans sa représentation médiévale, fournit à l'utopie le modèle d'un jardin de délices, d'un suave verger où ruissellent les eaux vives. Il demeure pourtant dans la tradition médiévale, et même bien au-delà, localisé quelque part sur la terre, très loin de notre orbe; pour certains, il est séparé des régions habitées; pour la plupart des commentateurs occidentaux, il est situé au Levant, image du Christ. Au XVIe siècle, on croira le trouver dans les Indes occidentales nouvellement découvertes. Seuls des êtres saints ont pu brièvement apercevoir ce lieu mystérieux, car il faut, pour y accéder, mourir d'abord. La fin des temps

BIG Coalition Namibia La mort de l’économie et du travail En fait, j’aurais dû voir venir le truc. Dans les années 1980, les prolos ont été violemment déclassés. Nos parents nous ont recommandé de bien faire des études pour ne pas finir comme eux. « Il faut bien travailler à l’école pour avoir un bon métier plus tard. » Ensuite, à partir des années 1990, ce sont les petits fonctionnaires et les salariés pas très éduqués qui ont été basculés dans des structures privées, où ils étaient corvéables à merci, désormais au service des actionnaires et relevant des managers, très vaguement protégés par le droit du travail. Le début du 21e siècle a vu ma génération, même les plus éduqués, basculer à leur tour dans la précarité. Anne et Marine Rambach ont très bien décrit ces « Banlieues de l’intelligentsia » dans Les intellos précaires, il y a déjà plus de dix ans. Education bubble J’avais parlé il y a quelques temps de la bulle spéculative liée à l’enseignement dans les pays anglo-saxons. Mais nous ne sommes pas les derniers. Lights out factories

Genieten van het leven is ons uitgangspunt • Vivant Entre l'Homme et la planète, "quelque chose s'est détraqué" Sciences - Santé Fidèle à son habitude, elle accueille l'auditoire par le cri du chimpanzé. Avant d'entamer une heure de récit ininterrompu sur son lien avec les animaux et la façon dont, de l'étude des grands singes, elle est passée militante, pour protéger ces espèces menacées, et la planète. A 78 ans, Jane Goodall, 53 années d'études des chimpanzés derrière elle, continue d'arpenter la planète pour sensibiliser populations et dirigeants à leur sort, mais aussi à celui des peuples qui parfois ne les chassent que pour assurer leur propre survie, et à la nécessité de protéger l'environnement. La célèbre primatologue sera à Paris le 12 février pour rencontrer le public au cinéma Le Grand Rex en avant-première du film "Chimpanzés" de Disneynature, et le lendemain participera à un débat à Sciences Po. Tout est parti d'une conférence sur les chimpanzés aux Etats-Unis dans les années 80. "Nous avons volé, volé, volé (la planète) à nos enfants," poursuit-elle.

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