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Everything We Think We Know About Addiction Is Wrong

Everything We Think We Know About Addiction Is Wrong

La santé mentale des jeunes menacée par les réseaux sociaux Les jeunes âgés de 14 à 24 ans sont de plus en plus touchés par les méfaits des réseaux sociaux. Une étude britannique publiée récemment dresse un bilan inquiétant. L’étude britannique de la Royal Society for Public Health (RSPH) a révèlé le 19 mai plusieurs conséquences de l’utilisation des réseaux sociaux par les jeunes. Après avoir sondé 1.479 jeunes âgés de 14 à 24 ans, les résultats placent Snapchat et Instagram en tête de la liste des cinq pires réseaux sociaux en terme d’impact sur la santé mentale. « Il est intéressant de voir que Snapchat et Instagram sont bons derniers […] — ces deux plateformes sont focalisées sur l’image« , explique Shirley Cramer, directrice du RSPH. Facebook et Twitter se placent juste après. Comparaison, solitude et dépression Le problème n’est pas simplement de naviguer sur ces applis. Les photos postées – souvent retouchées – représentent également un danger pour les jeunes et particulièrement pour les jeunes filles. consoGlobe vous recommande aussi...

Peur de toujours rater quelque chose? Vous êtes peut-être atteint de Fomo Scène vécue dans un de ces restaurants parisiens ultracotés dont le carnet de réservations est plein des semaines à l'avance. Le plat arrive. Illico, votre codîneur dégaine l'iPhone qui était déjà à portée de fourchette pour immortaliser le dîner tant attendu, organise la scénographie de la table, prend sa photo et, bam!, la poste presto sur Instagram. En profite pour "checker" au passage les "like" de son post précédent. Pendant ce temps, l'assiette refroidit tranquillement. Fomo: entre trouble compulsif et conséquence d'une addiction à Internet Cas typique de Fomo, cette hantise de louper ce qui pourrait se jouer là où l'on n'est pas -et son corollaire: l'obligation compulsive d'être le documentariste de sa propre existence, pour convaincre la communauté (et se rassurer soi-même) qu'on vit des choses formidables. Du surbooking à l'impolitesse, une frontière ténue? "Plus on se soucie de ce qui se passe ailleurs, plus on culpabilise de ne pas 'en' être" Ridicule, voire hypocrite?

Les réseaux sociaux, utiles pour combattre la phobie sociale Stresser à l’idée de parler en public est une expérience à laquelle chacun de nous a pu être confronté un jour. Mais pour certaines personnes, être confrontée à l’autre est source d’une peur bleue. Mains moites, accélération du rythme cardiaque, rougissement, tremblements, perte de mémoire ou encore crise de panique… Voici les signes d’une phobie sociale, qui toucherait 4 à 5% de la population. De quoi ces personnes ont-elles peur ? Un moyen de connecter les gens Eva Buechel, professeur de marketing à l’Université South Carolina à Columbia, aux Etats-Unis a réalisé des travaux sur les réseaux sociaux. La nature de ce message est presque personnelle. Eviter les conversations directes Le microblogging est une méthode de communication inhérente aux réseaux sociaux. Premier constat : les personnes anxieuses socialement ont plus tendance à poster sur les réseaux sociaux. Le microblogging, clé pour se sentir mieux Ainsi, la solution résiderait dans le microblogging. Ce sujet vous intéresse ?

Plus on utilise les réseaux sociaux, plus on a de risques d'être atteint de dépression RÉSEAUX SOCIAUX - Les personnes qui passent le plus de temps sur les réseaux sociaux sont aussi celles qui ont le plus de chance d'être dépressives. C'est le résultat d'une étude réalisée par des chercheurs de l'Université de Pittsburgh, publiée en avril et qui a été très commentée sur le réseau social Reddit le 18 mai. Comme le note Forbes, les scientifiques ont relevés que sur les 1787 personnes entre 19 et 32 ans interrogées, ceux consultant le plus souvent des réseaux sociaux avaient 2,7 fois plus de chances d'être atteints de dépression que ceux s'y baladant moins souvent. De même, les personnes passant le plus de temps dessus par jour avaient 1,7 fois plus de chances d'être sujettes à une dépression. L'étude s'intéressait à Facebook, évidemment, mais aussi à Youtube, Twitter, Google Plus, Instagram, Snapchat, Reddit, Tumblr, Pinterest, Vine et LinkedIn, précise le site. Dépression => Facebook, ou Facebook => Dépression ? De plus en plus d'études sur le sujet

Instagram : un réseau social mauvais pour votre santé mentale Harcèlement, body shaming, manque de sommeil... Une étude publiée par la Royal Society for Public Health a permis d'établir un classement des 5 principaux réseaux sociaux en fonction de leur impact sur la santé mentale. Si pour certains, les réseaux sociaux ont révolutionné les habitudes et concouru à mieux échanger avec leurs amis, familles ou même des étrangers... les plus jeunes, eux, sont nés avec le social media. Certains n'ont donc jamais connu le monde sans l'instantanéité d'aujourd'hui. Ces nouveaux outils apparaissent comme des opportunités à saisir pour toujours plus d'innovation, de créativité ou d'apprentissage... mais qu'en est-il de leur impact sur la santé des millennials ? L'étude #StatusofMind de la Royal Society for Public Health répertorie les 5 réseaux sociaux impactant le plus la santé mentale des jeunes. YouTube, un effet positif sur la santé mentale des ados Peu de critères viennent égratigner l'image de la filiale de Google.

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