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Musée du Louvre

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Jean Fouquet - Le sacre : un rite de passage L'exploration de l'enluminure consacrée au sacre de Lothaire est l'occasion de découvrir le déroulement de la cérémonie du sacre et l'importance de ce rituel, même si Fouquet s’éloigne de la cérémonie du sacre telle qu'elle se déroulait en réalité. Il rend compte en effet d'un événement qui s'est passé au Xe siècle comme s'il avait lieu à son époque (XVe siècle). Il prend par ailleurs de nombreuses libertés avec l'ordonnance de la liturgie, qui s'est établie au fil des siècles, avant d'être consignée dans un livret appelé l'Ordo du sacre. Couronnement de Lothaire à Reims Grandes Chroniques de France, enluminées par Jean Fouquet Tours, vers 1455-1460 BnF, département des Manuscrits, Français 6465, fol. 163 "Comment Lothaire, le fils aîné du roi Louis fut couronné à Reims. En cette même année [954] où ces choses [de violentes pluies] arrivèrent, le roi Louis [IV] mourut.

Rembrandt Signature Rembrandt Harmenszoon van Rijn (en néerlandais Écouter[1]), habituellement désigné sous son seul prénom Rembrandt, est un peintre et graveur néerlandais, né à Leyde le 15 juillet 1606 ou 1607[b] et mort à Amsterdam le 4 octobre 1669. Vieux maître innovant et prolifique, il est généralement considéré comme l'un des plus grands artistes visuels de l'histoire de la peinture et l'un des plus importants peintres de l'École hollandaise du XVIIe siècle[2], le siècle d'or néerlandais. Dans ses œuvres, il a exposé sa connaissance de l'iconographie et de la composition classiques, la représentation de ses scènes bibliques étant basée sur son érudition des textes spécifiques. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Rembrandt[a] Harmenszoon van Rijn naît le 15 juillet 1606 ou 1607[b] rue Weddesteeg[c] à Leyde, ville universitaire et industrielle des Provinces-Unies (actuels Pays-Bas). Le 27 avril 1630, son père meurt. Œuvre[modifier | modifier le code]

Le rituel du concert et la question du sacré 1Cette intervention dans le cadre du séminaire portant sur la thématique « Concerts publics et formes de la sensibilité musicale » n’est pas, nous tenons en premier lieu à le préciser, celle d’un spécialiste d’une quelconque manière de la sociologie de la musique ou de l’art. Notre apport, s’il existe, sera celui d’un apprenti anthropologue du sacré et consistera à tenter de proposer une « boîte à outils » conceptuelle afin d’appréhender le rituel du concert symphonique, voire, plus largement, le rituel du concert de façon plus générale. Le regard empirique employé ici sera tout à fait superficiel, tendant à dégager des généralités que les spécialistes pourront approfondir. 2Il s’agit pour nous de replacer ce rituel dans le cadre de son contexte social, comme un élément contenant, de manière inconsciente, les structures de la société dans laquelle il se produit. 4Il est à présent temps d’évoquer brièvement les enjeux épistémologiques dont le regard que nous proposons ici est porteur.

Après l'exposition Léonard de Vinci L’année 2019, cinquième centenaire de la mort de Léonard de Vinci en France, revêt une signification particulière pour le Louvre qui possède la plus importante collection au monde de peintures de Léonard ainsi que 22 dessins. Le musée trouve en cette année de commémoration l’occasion de rassembler autour des cinq tableaux essentiels qu’il conserve, à savoir la Vierge aux rochers, la Belle Ferronnière, la Joconde — qui reste dans la salle où elle est habituellement exposée —, le Saint Jean Baptiste et la Sainte Anne, la plus grande part possible des peintures de l’artiste, afin de les confronter à un large choix de dessins ainsi qu’à un ensemble, restreint mais significatif, de tableaux et de sculptures de l’environnement du maître. L'exposition Léonard de Vinci était placée sous le haut patronage de Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République Commissaires : Remerciements : Bank of America est le mécène principal de l'exposition « Léonard de Vinci ».

La Chaire du Louvre 2018. Les Egyptiens et leurs mythes, par Dimitri Meeks. Les Egyptiens face au discours du monde par Dimitri Meeks, Égyptologue, directeur de recherche honoraire du CNRS (Auditorium du Louvre, le 27/09/2018) Pour les Égyptiens, le mythe n’est pas une fable, mais un outil d’explication du monde. De plus, la notion même de religion n’existant pas pour eux, comment définissaient-ils ce qui est pour nous un dieu, le sacré, la foi ? Une anastylose des mythes par Dimitri Meeks, Égyptologue, directeur de recherche honoraire du CNRS (Auditorium du Louvre, le 01/10/2018) « Anastylose » est un terme qui, en archéologie, désigne une technique permettant de reconstituer un monument ruiné en utilisant les fragments qui lui appartiennent et trouvés habituellement sur le site même où ce monument a été érigé. Une histoire mythifiée Une si mythique écriture Les égyptologues face à l'autre

Chagall - Musées nationaux des Alpes maritimes Images d’Art Accueil · OMCI - INHA L’Homme étant par définition composé d’une âme et d’un corps, ce dernier peut se définir comme sa part matérielle et périssable. Créé par Dieu à partir de la terre, le corps est ainsi du côté du sensible, du tangible, et en relation avec l’ensemble du cosmos dont l’Homme est la créature dominante. Par ce modelage primordial à partir de la glaise, le corps se caractérise aussi par sa malléabilité. Son caractère passif et influençable fait du corps le réceptacle du péché. Le terme de chair (sarx) désigne originellement la condition de créature mais prend une dimension morale chez Paul de Tarse pour qui la chair est intimement liée au péché et aux qualités négatives du corps (Ro 7,16-25 et 8, 4-1). Ainsi, s’impose la nécessité d’un contrôle et d’une domination de l’esprit sur le corps qui se doit de demeurer dans une passivité qui garantit le fonctionnement harmonieux de l’être. On peut envisager les manifestations du corps dans la pensée visuelle médiévale sous deux aspects. Constitution

L’art contemporain et le sacré – Académie des Sciences Morales et Politiques Séance du lundi 9 novembre 2015 par Mme. Aude de Kerros « Une réification de l’esprit se produit grâce au fétichisme de la marchandise » Jacques Yves Rossignol« On positive tout, sauf l’art qui enferme symboliquement le mal et en fait un enfer afin de rédimer les riches et de souder toutes les bonnes consciences » Philippe Murray« Le vrai génie du christianisme, c’est la séparation du spirituel et du temporel » Fustel de Coulanges Résumé Le système de l’Art contemporain, son fonctionnement, sa manière d’instrumentaliser le sacré, nous apprend beaucoup, par analogie, sur la postmodernité qu’elle soit politique, financière ou intellectuelle. Deux définitions de l’Art – Deux faces du sacré Au tournant des années soixante, le mot Art, connaît un changement sémantique dans les milieux intellectuels et artistiques dominants. Désormais deux sens se côtoient sous le même vocable et sèment la confusion : l’art, qui naît d’une transformation positive de la matière par l’artiste. Que faire ?

Traces du sacré A travers une large sélection de peintures, de sculptures, d'installations et de vidéos, Traces du Sacré rassemble quelque 350 oeuvres majeures dont de nombreuses pièces inédites en France, de près de 200 artistes de renommée internationale. Le jeu affirmé de la pluridisciplinarité, autour de Traces du Sacré, met en oeuvre toutes les composantes du Centre Pompidou - Vidéodanse, les Cinémas, les Revues parlées, les Forums de société, les Spectacles vivants, l'Ircam et la Bibliothèque publique d'information - pour offrir en regard de l'exposition des films, des vidéos, un spectacle, des concerts, un cycle de conférences et un colloque littéraire. Au terme de ce qu'on a coutume d'appeler le « désenchantement du monde », une partie de l'art moderne s'est inventée dans un paysage de croyances bouleversées qui continue de participer à l'invention des formes contemporaines. C'est dans ce paysage de croyances bouleversées que naît l'art moderne.

Wagner, une question européenne - Parsifal : religion de pacotille ou de substitution ? 1Le mythe wagnérien qui est le plus souvent repris, d’un bout à l’autre de l’Europe, et tout au long du vingtième siècle, est celui de Parsifal. Faut-il s’en étonner ? Parsifal, avec sa philosophie de la régénération, est par excellence le mythe du refus de l’histoire. 1 Julien Gracq, Lettrine, op. cit., p. 223-225. 2La longue Lettrine que Gracq consacre à Wagner montre très précisément en quoi Wagner manierait le charlatanisme avec génie, transformant son art en une religion de pacotille à laquelle il est difficile de ne pas croire1. 3Tout commence à Bayreuth, où « le dieu Richard Wagner irradi[e] un sacre » propre à se répandre à travers toute l’Europe. 2 Pierre Louÿs à Paul Valéry, in Correspondances à trois voix, op. cit., p. 278. 4Bayreuth, en effet, constitue tout d’abord le point de départ de cet orbe wagnéro-occultiste qui va se répandre à travers l’Europe. 3 W. 5On trouve aux quatre coins de l’Europe l’image d’un spiritualisme qui prend Parsifal comme point d’appui. 20 Cf.

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