La butte, combine épatante du jardinier bio et paresseux
Elles demandent peu de travail, peu d’arrosage et surtout pas, bien sûr, de produits chimiques. Elles font gagner de la place et favorisent durablement à la fois la vie du sol et la fertilité des plantations. La culture sur buttes – on les appelle parfois buttes autofertiles ou buttes de permaculture – a tout pour plaire. Du coup, celles-ci pullulent depuis quelques mois dans tout ce que la France compte de jardins bio, fermes biodynamiques et autres havres permaculturels. Dessin d’une butte en « hugelkultur », avec du bois. Le principe est très simple. Remplir la butte Il faut respecter un équilibre entre ce qui est azoté (les matières humides comme les épluchures et herbes fraîches) et ce qui est carboné (bois ou carton). Il suffit de creuser une tranchée de quelques dizaines de centimètres dans le sol et de la remplir d’éléments qui vont entrer en décomposition et nourrir la terre : bois pourri, humus forestier, compost mûr, fumier, branches, tontes, feuilles mortes.
Sepp Holzer's Permaculture
While most people think they are mending the world's problems by contemplating light bulbs or buying "organic", there are thousands of people making a more significant difference. And out of those thousands there are a few dozen trail blazers. And out of those few dozen there is one guy that is WAY out ahead of the pack. The mighty, the glorious, the amazing ... Sepp Holzer. Sepp Holzer was doing permaculture before he ever heard the word. And I was fortunate to study under him for twelve days. Update! After watching his videos about 18 times each, and then reshaping about 15 acres of land to be "Sepp Holzer Style" (terraces, ponds, plus lots of trees), it was bizarre to meet him and shake his hand! So, just as the first evening is getting started, we ham it up for the camera a little: buy at green-shopping.co.uk buy at amazon.com The Sepp Holzer 3-in-1 DVD. This is a great 45 minute DVD on general Sepp Holzer technques. buy ebook at green-shopping.co.uk buy paperback at amazon.com So ...
Comment faire un jardin en permaculture ?
Avant de parler de jardin en permaculture, rappelons que la permaculture est bien plus qu’une nouvelle approche du jardinage, c’est une philosophie de vie où animaux, insectes, êtres humains, plantes et micro-organismes vivent en harmonie dans un environnement sain et auto-suffisant. Le mot « permaculture » en lui-même est la contraction de « (agri)culture permanente ». Il fut inventé par Bill Mollison et David Holmgren dans les années 1970. Il regroupe des principes et des techniques d’aménagement et de culture, à la fois ancestraux et novateurs, dans un concept global, le design. Il vise à faire de son lieu de vie un écosystème harmonieux, productif, autonome, naturellement régénéré et respectueux de la nature et de TOUS ses habitants ! Créer un jardin en permaculture permet de répondre à nos besoins humains tout en améliorant notre environnement (développement de la biodiversité, création d’habitats pour la faune et les insectes utiles, enrichissement de la terre…).
En 60 jours, il est passé de quelques graines à un potager bio hyper productif en permaculture
Dans l’agitation de notre vie quotidienne, l’idée de faire pousser ses propres légumes semble impossible. L’histoire et les photos qui suivent vous prouveront le contraire et vous donneront la motivation nécessaire pour réaliser vos rêves. Il y a un an, un scandale éclata au Canada. Le propriétaire d’une maison avec jardin décida de transformer en potager sa parcelle de terre donnant sur la rue. Il souhaitait faire pousser ses propres légumes. Luke Keegan est l’heureux propriétaire d’un petit pavillon dans la banlieue d’Oakland dans la baie de San Francisco. Luke a d’abord essayé de planter des tomates. S’inspirant de l’altercation canadienne, il organisa une opération “F**k the lawn” (j’emmerde la pelouse, ndlr) pour partager sur Imgur la façon dont il a remplaçé sa pelouse sans vie en un luxuriant jardin potager. Tout a commencé avec la mise en place de caisses en bois. L'irrigation (artisanale) a été la partie la plus complexe à mettre en place. Le résultat est bluffant.
Masanobu Fukuoka
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Masanobu Fukuoka, en 2002 Masanobu Fukuoka (福岡 正信, Fukuoka Masanobu?) (né le et mort le ) est un agriculteur japonais, connu pour son engagement en faveur de l'agriculture naturelle. Biographie[modifier | modifier le code] Microbiologiste de formation et spécialiste en phytopathologie, il travaille au Bureau des Douanes de Yokohama, à la Division de l'Inspection des Plantes. Il écrit le livre La Révolution d'un seul brin de paille, publié en 1975 au Japon, qui raconte et théorise son expérience en agriculture naturelle. « ...répandre de la paille... est le fondement de ma méthode pour faire pousser le riz et les céréales d'hiver. « Faire pousser des arbres sans élagage, sans fertilisant ni pulvérisations chimiques n'est possible que dans un environnement naturel. » « Comme la nourriture naturelle peut être produite avec le minimum de coût et d'effort, j'en déduis qu'elle devrait être vendue meilleur marché. » Œuvres[modifier | modifier le code]
Ferme du Bec Hellouin - Eco-cente du Bec Hellouin - Formations en permaculture, jardinage et agriculture naturelle
Le potager de santé Boutique Graine Pascal Poot
« Graines de rebelles » : reportage sur ces semeurs résistants
La bataille des graines a commencé. Les crises climatique et écologique frappant à nos portes, l’agriculture industrielle s’imposant triomphalement, la croissance à tout prix exigeant des rendements au détriment du vivant, de plus en plus de « résistants » s’organisent dans les marges de la société pour assurer, non sans mal, la préservation de la diversité des semences, leur échange libre et leur culture. Leur combat est présenté dans un court reportage du 13.15 sur France 2. Le constat est sans appel : les trois quarts des fruits, légumes et céréales ont disparu en un siècle sans même que l’information fasse la Une des journaux. Au cœur de l’Europe, des irréductibles résistent à l’envahisseur industriel, risquant une amende de 45 000 euros pour braver les règles imposées par un lobbying agro-industriel. Source : francetvinfo.fr