La Une @LeNouvelEco La crise de la dette en Europe, Dossiers Actualité à la Une @LesEchos Dette et déficits publics : l'analyse du rapport Pébereau : Une dette publique multipliée par 5 en 25 ans Quelques chiffres marquants ont été mis en avant par le rapport Pébereau sur la dette publique (2006) : elle s'élève à 1 100 milliards d'euros en 2005, soit plus de 17 000 euros par Français, et représente les 2/3 de la production nationale (66 % du PIB). Il faut préciser qu'à cette dette financière s'ajoutent d'autres engagements de l'État comme le paiement des retraites de ses fonctionnaires, évaluées à au moins 400 milliards d'euros. La dette financière a été multipliée par cinq en euros constants depuis 1980 La dette financière des administrations publiques a atteint, fin 2004, 1 067 milliards d'euros. L'État supporte 79 % de cette dette, les administrations publiques locales 10,5 %, les administrations de Sécurité sociale (y compris la Caisse d'amortissement de la dette sociale CADES) 8 % et les Organismes divers d'administration centrale (ODAC) 2,5 %. Le montant de la dette financière est difficile à interpréter. © La Documentation française, 2006 Agrandir l'image
LaTribune.fr Capital.fr Ce ne sont pas encore les grandes chaleurs, mais quand même, il souffle un air de printemps sur le marché de l’emploi des cadres. Après des années de gel, les embauches pourraient repartir en 2015, selon plusieurs organismes de prévision. Du coup, les candidats vont retrouver la main dans les négociations et se montrer plus exigeants. Les DRH, eux, vont devoir lâcher du lest et réapprendre à séduire. A tous, nous conseillons la lecture de notre palmarès des meilleurs employeurs, piloté par Bruno Declairieux et réalisé en collaboration avec l’institut Statista. Il est le fruit d’une enquête exceptionnelle, sans équivalent jusqu’ici en France. Le résultat va bousculer beaucoup d’idées reçues, mais il confirme ce dont nous, à Capital, avons la conviction depuis longtemps : les groupes les plus appréciés des cadres ne sont pas forcément ceux où l’on bulle, mais ceux où l’on bosse, avec, en retour, des salaires motivants, des perspectives de carrière, une grande mobilité interne.