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Management de l'entreprise

Management de l'entreprise
Les principes Définition du management Le management de l'entreprise englobe toutes les notions nécessaires (connaissances, méthodes, techniques) pour gérer une organisation, selon une direction donnée, tout en assurant le niveau de performance prévu. Etymologie : de l'anglais to manage, "manier", "diriger", un terme probablement lui-même d'origine italienne : "maneggiare" dans le sens de contrôler un cheval. Qu'est-ce que le management ? Le management de l'entreprise couvre de multiples aspects. Gouvernance d'entreprise Les principes de Gouvernance d'entreprise, les principes, la mise en oeuvre, le dossier complet, les ressources Développement durable et Responsabilité sociale des entreprises Développement durable et Responsabilité Sociale de l'Entreprise, le dossier complet. La stratégie d'entreprise La stratégie d'entreprise en pratique , La démarche stratégique, Analyse stratégique, Théoriciens de la stratégie, Les ressources Le contrôle de gestion Les méthodes de management Entreprendre Related:  MANAGEMENT

L’éthique devient un facteur clé du management des entreprises Dans certaines entreprises, le code de déontologie est remis à chacun des arrivants sous la forme d’un livret, consultable également sur internet. Ne pas se contenter d’énoncer quelques règles génériques, les valeurs doivent être expliquées clairement. Scandales financiers, affaires de corruption, délits de conflit d’intérêts…, régulièrement des scandales secouent le monde des affaires. Face à ces risques de dérapages, les entreprises ont pris conscience d’adopter un comportement éthique socialement et écologiquement sous peine de boycott, de pression de l’opinion publique ou tout simplement de mauvaise image. Mettre en exergue les comportements qui sont en phase avec les valeurs En règle générale, chaque manager ou dirigeant porte une responsabilité notable, tant par son comportement que par l’influence qu’il exerce sur celle de son entourage. Brahim Habriche. Authentifiez-vous pour ajouter un commentaire

Management: les cinq tendances de 2014 Connaissant mieux le fonctionnement de son cerveau, soucieux de développer le travail collaboratif, inventif pour venir à bout des problèmes et bienveillant, le management ne devra toutefois pas perdre de vue le sens de sa mission en 2014 : fixer des objectifs à atteindre sans brûler les étapes. 1. Le neuro-management La question de l'apport des neurosciences au management commence à se frayer un chemin dans l'Hexagone. 2. Remis au goût du jour, ce mode d'organisation du travail fait toujours des émules. 3. Faire mieux avec moins... " Le concept d'innovation Jugaad développé par Navi Radjou, consultant en innovation d'origine indienne qui consiste à trouver de nouvelles opportunités de croissance dans un monde aux ressources limitées en utilisant les bouts de ficelle, s'applique aussi parfaitement au management ", remarque Loïck Roche, directeur de Grenoble école de management. 4. Et si les collaborateurs étaient le bien le plus précieux des managers? 5.

Les émotions, alliées du bien-être au travail Nous avons beau les prendre pour des ennemies incapacitantes, des perturbateurs de la pensée rationnelle, des marques d’une faiblesse déraisonnable et indigne d’un professionnel, les émotions sont excellentes conseillères à ceux qui savent leur prêter une oreille accueillante et attentive. Partons à la rencontre les émotions, pour mieux comprendre leur rôle et leur utilité au travail. Ces émotions qui nous submergent et nous empêchent parfois de réfléchir sereinement ou d’agir, nous aimerions souvent les voir disparaître et nous retrouver d’une sérénité ataraxique face aux aléas de nos vies professionnelles. Seulement dans la vraie vie, les choses sont bien différentes et en réalité, nous devrions être heureux de tous ces débordements émotionnels pour trois raisons: L’insensibilité émotionnelle a un nom: la psychopathie. Ce billet est une ré-édition d’un article que j’avais publié en 2011. L’intelligence émotionnelle existe-t-elle? Les besoins à combler derrière l’émotion Aller plus loin

Motivation des organisations post modernes Management Postmoderne ou « Comment s’adapter aux nouveaux leviers de motivation de ses collaborateurs ? » Le monde économique et l´entreprise changent. Une atmosphère postmoderne semble irréversiblement et irrésistiblement émerger sous nos yeux et bouscule le paradigme managériale. Que c´est dur de manager ou d´être managé en 2014 ! Les 3 convictions du manager : Conviction 1: Le besoin de management subsiste. Un management performant n´obéit pas au contexte ou à la conjoncture. Conviction 2 : l’engagement de ses collaborateurs: une question d’intuition L´engagement des collaborateurs est une affaire d´époque et de circonstance. Conviction 3 : le manager postmoderne, un réenchanteur du quotidien Le manager post moderne doit devenir une force d´interposition entre des contextes d´entreprise toujours plus complexes et des équipes toujours plus déroutées et ébranlées par ces contextes. Ces 3 convictions plantent le décor de l´hypothèse du management postmoderne. De l’enjeu à la notion de jeu

Les 7 pratiques managériales les plus innovantes du Monde Se remettre en cause n'est pas naturel... Innover peut s'avérer extrêmement difficile lorsque les habitudes de travail sont bien ancrées. La crise et toute la remise en cause qu'elle engendre ne serait-elle pas l'occasion de repenser ses pratiques managériales ? Si la direction par objectifs et les procédures sont efficaces dans un monde linéaire et prévisible, elles freinent les entreprises dans un contexte plus qu'incertain. Si les salariés recherchaient la réussite professionnelle pour pouvoir se payer une Rolex avant 50 ans, ils considèrent à présent le travail comme une source d'épanouissement personnel. Comment concilier performance et épanouissement ? Chacun à sa manière, certaines entreprises ont su s'adapter aux nouvelles règles du jeu et faire preuve d'une impressionnante capacité d'innovation managériale. Nous vous les présentons sous forme de réponses à des questions que bon nombre de dirigeants se posent. Comment évoquer un échec sans que cela tourne au drame ?

Syndrome de l'imposteur Histoire[modifier | modifier le code] La psychologue Pauline Rose Clance a été la première à étudier ce sentiment d'insécurité injustifié. Dans son travail de thérapeute, elle a remarqué que beaucoup de ses patients non diplômés partageaient une même préoccupation : bien qu'ils aient de bonnes notes, ils ne croyaient pas qu'ils méritaient leur place à l'université[1]. Avec sa collègue et psychologue Suzanne A. Imes, elles étudieront ce qu’elles appelleront « le syndrome de l’imposteur »[2] en 1978, chez 150 femmes. Toutes les participantes avaient été officiellement reconnues pour leur excellence professionnelle par leurs collègues et avaient affiché des résultats scolaires grâce à des diplômes obtenus et à des scores aux tests standardisés. D’après Clance et Imes, il existe 4 comportements qui font « effet boule de neige » : - le premier comportement implique rapidité et travail acharné. - le quatrième comportement est celui de l'imposteur évitant de faire preuve de confiance en soi.

Les 24 styles de management dans le monde Les styles de leadership et de management varient selon les pays. On ne dirige pas une entreprise de la même manière en Allemagne, au Japon, aux Etats-Unis, en Suède ou en France. Tout est une question de culture. Dans son livre "When culture Collide", publié en 1996, le linguiste britannique Richard D. Lewis a classé les différences de culture du leadership selon les pays. Cette méthode, (résumée dans les 24 schémas ci-dessous) il la dispense désormais lors de séminaires pour de grandes entreprises. On y apprend notamment, comme le résume Business Insider, que les Britanniques sont plutôt "diplomates", ils aspirent à trouver un compromis juste, tout en étant parfois rudes en affaires. De leur côté, les managers américains sont plutôt agressifs et orientés vers les résultats avant tout. Selon Lewis, ces comportements n'évoluent pas trop avec le temps et restent une bonne grille de lecture, "même dans les pays où la croissance économique est rapide".

Équipe Commerciale : 6 idées créatives pour la motiver Votre équipe commerciale est démotivée ? Votre entreprise n’est pas condamnée pour autant. Avoir des commerciaux motivés est vital pour toute entreprise, et heureusement il est possible de remobiliser ses troupes ! Pour motiver votre équipe commerciale sur le terrain, la première étape est de créer une culture commerciale fun et orientée résultats, qui encourage à la fois la compétition interne et les aspirations individuelles de vos commerciaux. Et si vous pensez que des incentives monétaires vont suffire, vous risquez d’être déçu ! 1) Offrez de la reconnaissance publique à votre équipe commerciale Etre reconnu comme compétent et bon par ses pairs est devenu l’un des principaux leviers de motivation. Certaines entreprises optent pour des badges ou récompenses physiques, tel un trophée, pour reconnaître les efforts des meilleurs performers. 2) Lancez des challenges au sein de votre équipe commerciale Les commerciaux sont une population très compétitive. 4) Récompensez les « non » !

La bienveillance au travail, un vecteur de bien-êtreJ'aime le lundi ! Mieux vivre le travail… La bienveillance au travail, un vecteur de bien-être Pour se sentir bien dans son travail, heureux et épanoui dans l’accomplissement de ses tâches, il est important de sentir la confiance et le soutien de ses collaborateurs mais surtout celle de son manager. Celui-ci a, en quelque sorte, la responsabilité et l’initiative de mettre en place toutes les conditions nécessaires au confort physique et mental de ses collaborateurs pour qu’ils puissent s’épanouir et travailler dans les meilleures conditions possibles. Le maintien de liens relationnels forts dans l’entreprise Les bonnes relations dans l’entreprise sont en effet l’un des tout premiers facteurs de bien-être dans l’entreprise. Enfin un bon manager doit aussi savoir gérer les conflits entre ses collaborateurs et gérer des situations de crise qui peuvent influer sur les relations entre les collaborateurs pour éviter un éclatement du sentiment d’équipe, véritable ciment de la productivité dans l’entreprise.

Compétences relationnelles : savoir dire non Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles / Mieux communiquer Qui n’a jamais accédé à une demande, une requête, accepté une invitation, un projet tout en mourant secrètement d’envie d’envoyer son interlocuteur balader ou se faire cuire un œuf, selon la nature de la demande? Savoir dire non s’apprend, comme à faire du vélo, malgré le risque de s’écorcher un genou de temps en temps… voici comment. Nous avons tout un tas d’excellentes raisons pour céder aux demandes des autres malgré nous: besoin de faire plaisir, d’être aimé, peur d’être jugé, peur de blesser, de décevoir, peur du conflit etc.Toutes ces raisons sont liées à notre besoin d’appartenance ou d’intégration sociale et à son corollaire, la peur d’être rejeté. C’est vrai que potentiellement, agir en accord avec ce que nous voulons, ce qui est bon pour nous, ce serait méchant, égoïste, ça ferait de la peine à Maman. Pourtant, combien de fois est-ce qu’on nous dit “non”, à nous? Voir aussi:

Casino prescrit le management bienveillant, Gérer et Motiver son équipe La bienveillance est à la mode. Les blogs et les livres se multiplient sur le sujet, et, au lendemain des attentats, les managers sont appelés à entourer avec « bon sens et bienveillance » les salariés. Faut-il en déduire que le management était jusqu'ici malveillant ? « Plus la crise s'aggrave, plus forte est la tendance à un management désincarné et mécaniste prétendument imposé par la nécessité de tenir la bride », constate Yves Desjacques, DRH de Casino. « Alors que la recherche de sens n'a jamais été forte compte tenu de l'effondrement des convictions politiques, morales ou religieuses, il ne faut pas que l'entreprise considère que les questions d'épanouissement et de bonheur au travail ne sont pas de son ressort, réduisant le lien social au contrat de travail », s'insurge le DRH qui sonne le tocsin dans la préface du « Bonheur dans ordonnance », signé par l'ex-urgentiste Philippe Rodet. Objectif : encadrer sans stresser Le stress du timing À noter

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