La Japan Airlines entre des mains peu scrupuleuses. Un spéculateur japonais aux relations obscures a acquis 3% des actions de la compagnie. Tokyo, de notre correspondante. Depuis ce week-end, le patron de Japan Airlines doit avoir la désagréable impression d'être assis sur un siège éjectable. Un richissime individu vient en effet de faire irruption dans le capital de la compagnie japonaise, devenant sans crier gare le premier actionnaire et réclamant en toute simplicité le fauteuil de président. L'individu en question n'est pas un inconnu à la Bourse de Tokyo; Eitaro Itoyama a fait récemment parler de lui lors du scandale qui a éclaboussé l'intermédiaire boursier Nomura, numéro un du courtage japonais. Riche politique. Depuis, Itoyama s'adonne à son passe-temps favori: la spéculation boursière. Que peut-il faire avec une telle participation? Comment spéculer. AMAOUA Frédérique
Création monétaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La création monétaire, souvent appelée familièrement « la planche à billets », est le processus par lequel la masse monétaire d'un pays ou d'une région (comme la zone euro) est augmentée. Sous l'empire de la monnaie métallique (argent ou or), la masse monétaire était directement liée à la quantité de métal disponible, en fonction du destin des mines (découvertes, épuisement, « ruée vers l'or ») et des autres flux de métal (commerce, pillage, tribut et rançon, etc.). Dans le monde contemporain, l'essentiel de la monnaie est scripturale, créée par le crédit (émission de dette échangeable) dans les limites qui sont imposées aux établissements de crédits (réserves obligatoires etc.) et détruite par extinction des dettes sous-jacentes (par remboursement ou autre) ; la masse monétaire évolue constamment. Les monnaies non fiduciaires et fiduciaires[modifier | modifier le code] Monnaie non fiduciaire[modifier | modifier le code] La banque centrale.
L'Argent Dette Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Argent Dette (Money as Debt) est un documentaire sous forme de film d'animation de l'artiste-peintre[1],[2] canadien Paul Grignon, sorti en 2006[3] — diffusé en streaming sur Internet et en DVD — qui traite du crédit et de la création monétaire. En 2008, le succès rencontré par ce documentaire a conduit des universitaires et des journalistes à le commenter. Genèse[modifier | modifier le code] Le documentaire est le fruit d'un long processus de création débuté en 2002, mené par Paul Grignon aidé par une petite équipe de bénévoles. Le documentaire expose les thèses suivantes : le métier de banquier est issu de celui d'orfèvres ayant tiré parti de leur activité de stockage de matières précieuses pour émettre des prêts avec les stocks confiés, en cachette des déposants ; la tricherie aurait perduré jusqu'à nos jours tout en se sophistiquant. Ce documentaire a été réalisé avant la crise économique et financière. Selon Alexandre Delaigue,
Effet multiplicateur du crédit Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans le contexte historique du système dit de Réserves Fractionnaires, l’expansion monétaire était en partie la conséquence de l’effet multiplicateur du crédit. Ce terme désignait le rapport existant entre l’augmentation de monnaie centrale (voir base monétaire) nouvelle émise par la banque centrale et la quantité de monnaie issue du crédit accordé par les établissements de crédit permise par cette augmentation. Principe[modifier | modifier le code] Une banque commerciale crée de la monnaie à l'instant où elle conclut un contrat de prêt avec un emprunteur (voir création monétaire pour plus de détails). ) Ces réserves, bien que continuant à exister réglementairement sont en pratique devenues minimes, voire nulles pour certaines banques centrales. La banque doit par ailleurs satisfaire à la demande d’espèces (noté ) qu’elle va devoir également se procurer auprès de la Banque Centrale. Mesures et limites[modifier | modifier le code] On définit où
L’Edito du Dimanche 30 Septembre 2012 : L’or, statue du commandeur Par Bruno Bertez L’Edito du Dimanche 30 Septembre 2012 : L’or, statue du commandeur Par Bruno Bertez L’or est une assurance. Une assurance contre la démagogie, contre l’incapacité des responsables de la gestion des affaires mondiales, contre la création indisciplinée de signes monétaires. Pas contre les impôts excessifs. Si vous pensez que les risques énumérés n’ont pas besoin d’être assurés, vous ne devez pas acheter de l’or. Si vous avez la conviction que ces risques se concrétiseront un jour ou l’autre, alors vous devez acheter de l’or. L’or n’est ni un placement, ni une spéculation, c’est une garantie pour le cas où des scénarios extrêmes se réaliseraient. La hausse de l’or est contraire aux intérêts des gouvernements, des banquiers centraux, des banques en général et, bien sûr, des socialistes et des fausses droites. Ceci, pour deux raisons : la hausse de l’or La confiscation, soit de l’or, soit de la plus-value apparente monétaire sur l’or, est quasi garantie. Mais il y a des limites à leur action.
Le Devoir de philo - Le capitalisme est en crise, mais lequel? demanderait Fernand Braudel Deux fois par mois, Le Devoir lance à des passionnés de philosophie, d’histoire et d’histoire des idées le défi de décrypter une question d’actualité à partir des thèses d’un penseur marquant. On entend fréquemment, depuis quel ques années, que le capitalisme est en crise. Une crise se compliquant avec la forte récession de 2008 qui n’en finit pas de faire des siennes, non seulement dans l’Europe de l’euro mais aussi aux États-Unis, où elle a débuté, un pays qui possède une des plus importantes dettes per capita au monde. La débandade de nombreu ses banques, dont plusieurs ont été sauvées in extremis, ou encore les nombreuses malversations que l’on découvre chez plusieurs d’entre elles, ne sont que la pointe de l’iceberg dont plusieurs signes étaient apparus au début du siècle avec les scandales d’Elf, en France, d’Enron, de Worldcom et de Tyco aux États-Unis, d’Hollender et de Nortel au Canada. Le marchand Le négociant Des commentaires ?
Qui doit payer l’austérité? Les tensions viennent d’un sentiment de détournement des richesses: les populations paient à la place des spéculateurs Par Myret Zaki, le 3 octobre 2012 Ces dernières semaines, nous avons vu les populations se soulever contre les méfaits de l’austérité, que ce soit en Grèce, en Espagne ou au Portugal, sur fond de montée de l’europhobie. Dans l’esprit de tout-un-chacun, le coupable est «l’austérité». A raison. Les gains individuels que peut générer le short selling dépassent l’entendement. Le Petit Monde Cozillon » Rothschild Bienvenue sur le site de David Icke. Je suis un ancien journaliste et présentateur de télévision d’Angleterre, et j’ai passé ces dix dernières années à découvrir le plus grand secret – qui dirige et contrôle vraiment le monde depuis des milliers d’années. J’ai écrit une dizaine de livres, « Le Plus Grand Secret », « … And the truth shall set you free » (ndt : « … Et la vérité vous rendra libres « , traduction en cours ) et « I Am Me, I Am Free. ». « Bridge of Love Publications », mon éditeur, a produit également plusieurs vidéos dont « Freedom Road », « Turning of the Tide », « Revelations of a Mother Goddess », et « The Reptilian Agenda ». J’y révèle comment une société secrète mondiale appelée les Illuminatis (les « Eclairés », comme ils s’appellent eux-mêmes) a régné sur le monde depuis les temps anciens. Lorsque ces empires se sont ostensiblement retirés de ces régions, les Illuminatis ont laissé derrière eux leurs familles et leur réseau de sociétés secrètes. Love, David Icke
Quand les Danois divorcent de leurs banques Telle était la question affichée sur les distributeurs de billets des grandes banques au Danemark pendant le mois de septembre, en guise de tour de chauffe pour la Journée du changement de banque qui a eu lieu le 1er octobre. La campagne de la journée du changement de banque [en danois] est une initiative citoyenne qui veut faire réfléchir les Danois au lieu où ils mettent leur argent. Le but est d’amener les Danois à laisser tomber les grandes banques pour se tourner vers les établissements plus modestes, caisses d’épargne et banques coopératives locales. « Rompez avec votre banque », crient-ils sur Facebook. La hausse des frais sur les crédits et les découverts a probablement favorisé le lancement de l’initiative. La page Facebook [en danois] de la journée du changement de banque compte plus de 6 000 « j’aime », et les messages répètent les « bon divorce ! Klaus Nørregaard [en danois] écrit : Hatice Ucar [en danois] demande :
Un ministre britannique prêt à mettre des banquiers en prison "Ceux qui faussent des indices de marché doivent aller en prison". Interrogé lundi 9 juillet par le quotidien économique allemand Handesblatt, le secrétaire d'Etat britannique au Trésor Mark Hoban vient de lancer un pavé dans la mare. Depuis plus d'une semaine, le scandale du Libor fait trembler la planète finance au Royaume-Uni et en Europe. Et de plus en plus de personnalités demandent des peines de prison pour les banquiers qui ont manipulé ces taux. Les taux interbancaires Libor (au Royaume-Uni) et Euribor (en zone euro) définissent le prix auquel les banques se prêtent de l'argent entre elles. Indirectement, ils servent également de base aux crédits pour les ménages et les entreprises. Or, le Libor aurait notamment été manipulé (à la hausse comme à la baisse) par la banque d'investissements Barclays Capital entre 2005 et 2008.
16.000 milliards d'euros : c'est le montant du pactole mondial envoyé Le Guardian rapporte que, selon une enquête du groupe Tax Justice Network, les sommes placées dans les paradis fiscaux par l’élite mondiale des super-riches atteindraient un montant de 21.000 milliards de dollars (environ 16.000 milliards d’euros), soit l’équivalent du PIB des Etats Unis et du Japon additionnés. Placés au taux moyen de 3% annuel, et en appliquant une taxation de 30% à ce rendement, les gouvernements pourraient en retirer 140 milliards d’euros de recettes. James Henry, un économiste qui a collaboré pour McKinsey et qui s’est spécialisé sur les paradis fiscaux, a montré que les banques privées avaient aidé les riches à placer ces sommes en Suisse, aux Iles Caïman, et sur d’autres places où elles sont protégées par « une bande de professionnels très bien payés et diligents du secteur de la banque privée, de la comptabilité, du juridique, et de l’investissement qui profitent d’une économie internationale où les frontières reculent de plus en plus ».
L'exode des Français riches a commencé Le Daily Telegraph rapporte que les agences immobilières britanniques constatent une forte hausse des demandes provenant de riches Français qui vendent leurs propriétés en France pour venir s’installer dans des pays avec un système de taxation plus favorable pour eux, comme le Royaume Uni ou la Suisse. Ils redoutent l’augmentation des impôts promise par le gouvernement du nouveau président François Hollande, qui envisage de mettre en place un taux d’imposition marginal de 75% pour les revenus d’au moins 1 million d’euros annuels. De même, le taux d’imposition sur les revenus supérieurs à 72.000 euros, actuellement de 41%, sera porté à 45%. Ainsi, l’agence Sotheby's Realty, la branche immobilière de la maison des enchères britannique, indique qu’elle a vendu plus de 100 propriétés d’une valeur minimale de 1,7 millions d'euros entre avril et juin de cette année, bien plus que l’année dernière. Environ 180.000 Français résident en Belgique.