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Théorie des organisations

Théorie des organisations
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie des organisations est une discipline située à la limite entre l'Économie des organisations, la Sociologie des organisations, la gestion et la science politique. Elle s'intéresse aux organisations, aussi bien marchandes que non-marchandes, dans toutes leurs diversités (entreprise, hôpital, syndicat, association, administration, conventions, ...). Elle analyse leur fonctionnement, leur structure et leur développement à des fins de meilleure compréhension, en vue le cas échéant d'être en mesure de proposer leur correction ou amélioration. Les grands thèmes de cette discipline sont le pouvoir, les relations et rapports sociaux, l'analyse des configurations et la communication dans les groupes. Les voies d'approche et d'analyse des Organisations[modifier | modifier le code] Les sept images de l'organisation ( d'après Gareth Morgan ) Paradigmes de la théorie des organisations[modifier | modifier le code] Approche classique :

Crowdsourcing Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le crowdsourcing, ou externalisation ouverte[1] ou production participative[2], est l'utilisation de la créativité, de l'intelligence et du savoir-faire d'un grand nombre de personnes, en sous-traitance, pour réaliser certaines tâches traditionnellement effectuées par un employé ou un entrepreneur. Ceci se fait par un appel ciblé (quand un niveau minimal d'expertise est nécessaire) ou par un appel ouvert à d'autres acteurs. Le travail est éventuellement rémunéré. Il peut s'agir de simplement externaliser des tâches ne relevant pas du métier fondamental de l'entreprise, ou de démarches plus innovantes. C'est un des domaines émergents de la gestion des connaissances, Il existe de nombreuses formes, outils, buts et stratégies du crowdsourcing[3]. Origine du terme[modifier | modifier le code] Le terme crowdsourcing est un néologisme sémantiquement calqué sur l'outsourcing (externalisation). Historique[modifier | modifier le code]

Crowdsourcing Crowdsourcing is a sourcing model in which individuals or organizations obtain goods and services. These services include ideas and finances, from a large, relatively open and often rapidly-evolving group of internet users; it divides work between participants to achieve a cumulative result. The word crowdsourcing itself is a portmanteau of crowd and outsourcing, and was coined in 2005.[1][2][3][4] As a mode of sourcing, crowdsourcing existed prior to the digital age (i.e. "offline").[5] There are major differences between crowdsourcing and outsourcing. Some forms of crowdsourcing, such as in "idea competitions" or "innovation contests" provide ways for organizations to learn beyond the "base of minds" provided by their employees (e.g. Definitions[edit] The term "crowdsourcing" was coined in 2005 by Jeff Howe and Mark Robinson, editors at Wired, to describe how businesses were using the Internet to "outsource work to the crowd",[1] which quickly led to the portmanteau "crowdsourcing."

CrowdFunding Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La production communautaire, ou « production participative », est une méthode de production de contenu par un très grand nombre de personnes[1]. La mise en commun des apports individuels est facilitée par le développement des réseaux sociaux et des communautés sur internet. L’internaute contributeur peut en échange trouver une contrepartie ou un service ou d’une forme particulière d'investissement, le projet fonctionnant alors comme le ferait une coopérative ou une société de coproduction, qui reverse une participation aux bénéfices futurs. Le financement de la production communautaire peut être assuré par un financement collaboratif. Le principe de la production communautaire[modifier | modifier le code] Une production communautaire fait appel aux internautes pour trouver les fonds nécessaires à l’aboutissement d'un projet de création. L'appel peut être largement ouvert, ou réduit à un cercle de réseaux de contact et d'amis.

Gestion des connaissances Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La gestion des connaissances (en anglais knowledge management) est une démarche managériale pluridisciplinaire qui regroupe l'ensemble des initiatives, des méthodes et des techniques permettant de percevoir, identifier, analyser, organiser, mémoriser, partager les connaissances des membres d'une organisation – les savoirs créés par l'entreprise elle-même (marketing, recherche et développement) ou acquis de l'extérieur (intelligence économique) – en vue d'atteindre un objectif fixé. Définition[modifier | modifier le code] Actuellement, nous sommes submergés d'informations. La Gestion des Connaissances est une démarche stratégique pluridisciplinaire visant à atteindre l'objectif fixé grâce à une exploitation optimale des connaissances.[1] D'après des praticiens et des académiciens tels que R. Historique[modifier | modifier le code] Enjeux et objectifs[modifier | modifier le code] Les formes des connaissances[modifier | modifier le code] SI MARIÉ(?

Organisation apprenante Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une organisation apprenante est une organisation humaine (entreprise, administration, etc.) qui met en œuvre un ensemble de pratiques et de dispositions pour rester en phase avec son écosystème. Chaque entreprise peut être considérée comme un système vivant opérant au sein d'un écosystème. À l'intérieur de l'entreprise, comme dans un organisme multicellulaire, chaque membre est lui-même attentif à cet écosystème. Historique et origines[modifier | modifier le code] Né des travaux de Chris Argyris[1] et de Peter Senge[2], le concept et la pratique de l'organisation apprenante se sont développés tout au long des années 90 et 2000, la réflexion sur le « comment apprendre » faisant la suite des recherches de Jean Piaget[3] sur l'émergence de l'intelligence chez l'enfant, l'apprentissage par accommodation, par assimilation... Transposition pratique en termes de management[modifier | modifier le code] Elle s’appuie sur : ↑ Chris Argyris et Donald A.

Knowledge intensive business services Knowledge Intensive Business Services (commonly known as KIBS) are services and business operations heavily reliant on professional knowledge. They are mainly concerned with providing knowledge-intensive support for the business processes of other organizations. As a result, their employment structures are heavily weighted towards scientists, engineers, and other experts. The first discussion of KIBS to use the term seems to have been in a 1995 report to the European Commission "Knowledge-Intensive Business Services: Users, Carriers and Sources of Innovation" [1] In the decade since this appeared these sectors of the economy have continued to outperform most other sectors, and have accordingly attracted a good deal of research and policy attention. The European Monitoring Centre on Change (EMCC) has published online a number of reports and studies of KIBS. From NACE Division 72: Computer and related activities From NACE Division 73: Research and experimental development

Créativité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marina Bay Sands à Singapour. Sur les autres projets Wikimedia : créativité, sur le Wiktionnaire créatif, sur le Wiktionnaire originalité, sur le Wiktionnaire La créativité décrit — de façon générale — la capacité d'un individu ou d'un groupe à imaginer ou construire et mettre en œuvre un concept neuf, un objet nouveau ou à découvrir une solution originale à un problème. Opérationnellement, la créativité d'un individu ou d'un groupe est sa capacité à imaginer et produire (généralement sur commande en un court laps de temps ou dans des délais donnés), une grande quantité de solutions, d'idées ou de concepts permettant de réaliser de façon efficace puis efficiente et plus ou moins inattendue un effet ou une action donnée. Origine du mot[modifier | modifier le code] Le mot est un calque de l'américain « creativity », néologisme des années quarante, sans aucune connotation artistique. Adoption du mot en français[modifier | modifier le code]

Intelligence Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme est dérivé du latin intellegentia, « faculté de comprendre », dont le préfixe inter- (« entre »), et le radical legere (« choisir, cueillir ») ou ligare (« lier ») suggèrent essentiellement l'aptitude à lier des éléments entre eux. L'intelligence pratique est la capacité d'agir de manière adaptée aux situations. Définitions historiques[modifier | modifier le code] Intelligence et cultures[modifier | modifier le code] Cultures africaines[modifier | modifier le code] Les deux opérations sont complémentaires et conduisent à l’action. Culture musulmane[modifier | modifier le code] Pour Ibn Khaldoun[2], l'intelligence comporte plusieurs branches incluant l’intelligence discernante ou tactique ; l’intelligence expérimentale ou stratégique ; et l’intelligence spéculative, scientifique ou politique. Cultures occidentales[modifier | modifier le code] L'intelligence en philosophie[modifier | modifier le code] Caractères[modifier | modifier le code]

Savoir-faire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : savoir-faire, sur le Wiktionnaire Le savoir-faire est la connaissance des moyens qui permettent l'accomplissement d'une tâche. Le terme équivalent anglais know-how est assez régulièrement utilisé, sans utilité particulière, dans la littérature technique et économique. Le savoir-faire est différent des autres savoirs comme la connaissance scientifique car il peut être directement appliqué à une tâche. Une des limitations du savoir-faire est sa dépendance à un travail ; ainsi il tend à être moins général que la connaissance. Un des avantages du savoir-faire est qu'il peut impliquer plus de dimensions, comme l'expérience manuelle, l'entrainement à résoudre des problèmes, la compréhension des limites d'une solution spécifique, etc. Les savoir-faire, les techniques et les matériaux traditionnels[modifier | modifier le code] Recherches et inventaires[modifier | modifier le code]

Sous-traitance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sous-traitance est un contrat par lequel une entreprise demande à une autre entreprise de réaliser une partie de sa production ou des entreprises auxquelles sont agréées certaines parties de travail. Le sous-traitant est différent du simple fournisseur car il fabrique un produit conçu par le commanditaire ou, souvent, en commun avec lui. Typologie de la sous-traitance[modifier | modifier le code] Il existe plusieurs types de sous-traitance :[1] Considérations juridiques[modifier | modifier le code] En France, la sous-traitance est régie par la loi no 75-1334 du 31 décembre 1975[2] qui définit la sous-traitance comme « l'opération par laquelle un entrepreneur confie par un sous-traité, et sous sa responsabilité, à une autre personne appelée sous-traitant l'exécution de tout ou partie du contrat d'entreprise ou d'une partie du marché public conclu avec le maître de l'ouvrage » : Considérations économiques[modifier | modifier le code]

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