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Cdi ou learning center : pourquoi le travail documentaire reste identique

Cdi ou learning center : pourquoi le travail documentaire reste identique
Traditionnellement, les objets gérés dans un Cdi étaient le livre et le périodique au format papier, cette gestion s’étend aujourd’hui à l’ensemble des médias disponibles sur supports physiques et virtuels. L’activité principale du centre est la mise à disposition des ressources pour emprunt ou consultation. Mais pour offrir un service attrayant, il est nécessaire de diversifier l’offre et de savoir la présenter d’où la mise en place de nombreux portails. Pour gérer au mieux ces ressources, le Cdi doit être doté d’un système de gestion ou logiciel documentaire et posséder un plan de classement (CDU ou Dewey). L’ensemble des notices forment le catalogue consultable par les usagers grâce à un OPAC (Online public access catalog : outil de consultation du catalogue). L’édition et l’utilisation des métadonnées pour accéder à des ressources physiques est la fonctionnalité majeure que l’on peut retenir de la gestion des centres de documentation. 1- Un lieu 2- Des ressources 3- Des services Related:  learning centerStatut

Créer un learning centre : pourquoi ? comment ? Quelques notes prises au cours d'une JE organisée par Mediadix à Paris 10 le 26 mai dernier. Une 2e journée sur la même thématique aura lieu le 9 décembre 2011 à Saint-Cloud : La bibliothèque 3e lieu. Photo : schoeband. CC : BY-NC-SA. La problématique et les enjeux des learning centres aujourd'hui, Pierre Carbone Variété des réalisations dans les learning centres. Les premiers learning centres apparaissent dans les années 1990 aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas. Définition : il s’agit d’un lieu architectural intégrant un ensemble de ressources et de services également accessibles à distance, dont la bibliothèque. Histoire : en Amérique du Nord, dès les années 1980, on parle d'Information commons, c’est-à-dire d’un environnement partagé où la communauté universitaire peut se rassembler pour accéder à une grande variété d'information. Contexte français : dès les années 2000, une réflexion sur l’avenir des BU est menée et il ressort un fort intérêt pour des modèles étrangers.

[APDEN] L’A.P.D.E.N. a été invitée par le Conseil Supérieur des Programmes à apporter sa contribution, à l’instar des autres associations et syndicats d’enseignants du second degré, dans le cadre de la consultation sur l’élaboration des nouveaux programmes de lycée. La modalité initialement retenue par le CSP consistait en une audience ; l’association a fait le choix de la décliner, en raison de l’absence de communication préalable des projets de programmes. Elle a en revanche produit et communiqué au CSP une première contribution écrite, nécessairement insatisfaisante à ce stade car contrainte à prendre appui sur les programmes et dispositifs existants. Ce travail sera donc suivi d’autres contributions, élaborées sur la base des projets officiels de programme, à mesure qu’ils seront connus. Madame la Présidente, Mesdames, Messieurs les membres du Conseil Supérieur des Programmes, Domaine 1- Environnements informationnels et numériques Domaine 2 - Processus d’information et de documentation G.

Learning Centre Par Frédérique Yvetot et Justine Margherin Les bibliothèques universitaires évoluent et sont repensées parce qu'elles doivent s'adapter aux besoins des usagers. Elles tendent à devenir des Learning Centres, « centres d'apprentissage » axés sur la méthodologie de travail et l'autonomie des usagers. Bibliothèques d'aujourd'hui : à la conquête de nouveaux espaces Un livre des éditions du Cercle de la Librairie, reprend l'histoire des bibliothèques sous l'angle architectural, ergonomique... l'espace évolue et s'adapte aux nouveaux usages. Construit en quatre parties, richement illustré et étayé de nombreuses études précises (très très précises), le livre est accompagné d'un CdROm présentant 23 bâtiments de bibliothèques françaises, 6 allemandes, et des diaporamas de présentation de bibliothèques du Royaume Uni. Bisbrouck, Marie-Françoise (sous la dir. de). Comprend un CdRomISBN : 978-2-7654-0982-3prix : 69 € Le concept se développe Le lieu Des ressources Des services « Du CDI au Learning Centre »

Transformer les CDI en learnings centers ? C’est possible ! Depuis quelques années, les CDI sont ainsi encouragés à se transformer en centres de connaissance et de culture, dits 3C. Ainsi, Eduscol propose un dossier permettant d’appréhender ce nouveau concept destiné à « décloisonner les espaces » en permettant la liaison entre le fonds documentaire physique, c’est-à-dire les fictions et documentaires du CDI et le fonds numérique récemment acquis. Penser les CDI comme des tiers-lieux Il semble important de rappeler que le modèle des 3C nous vient des Etats-Unis où, depuis de nombreuses années déjà, des spécialistes ont évoqué l’idée de « tiers-lieu » pour désigner les bibliothèques et leur place dans la société. En juillet 2012, le site Net-public définit le tiers-lieu comme étant « un espace de travail réunissant des ressources matérielles et immatérielles propres à générer des synergies collectives, créatives, solidaires et économiques ». La question se pose alors : pourquoi ne pas faire de même avec les CDI des lycées et collèges ?

Le Learning Centre n'est plus, vive le 3C ? Par Frédérique Yvetot La circulaire de rentrée est enfin parue et, cette année, un paragraphe va particulièrement intéresser les professeurs documentalistes : l'annexe 7. Et que dit cette annexe intitulée "Encourager la dynamique pédagogique et l'innovation" ? Évolutions, omissions, imprécisions Une évolution sans en être une... Ainsi on ne parle plus de Learning centre mais de Centre de Connaissances et de Culture (3C, CCC, C3) : « des espaces de ressources à la fois au centre des établissements scolaires et intégrés à leur environnement local », « des projets éducatifs et pédagogiq ues à part entière », des lieux qui « font cohabiter le livre et le numérique», des lieux qui permettent de « décloisonner espaces et temps scolaires pour donner aux élèves plus d'autonomie » et leur permettre de collaborer entre eux ou encore des espaces « pour personnaliser l'accompagnement des élèves et développer de nouvelles pratiques pédagogiques adaptées à leur besoins ». Rapport J.M.

[APDEN] Intitulé du métier La circulaire n°2017-051 du 28 mars 2017 relative aux missions des professeurs documentalistes abroge la circulaire n° 86-123 du 13 mars 1986 définissant les missions des “personnels exerçant dans les CDI” (B.O. n°12 du 27 mars 1986) et instaure l’intitulé officiel du métier de “professeur documentaliste”, en lieu et place de tout autre, conformément aux dispositions statutaires du décret n°2014-940 du 20 août 2014 et de sa circulaire d’application, qui définissent désormais le statut des professeurs documentalistes au sein de dispositions communes à celles de leurs homologues des autres disciplines. Ainsi, nous vous conseillons de : Statut Le professeur documentaliste est, sans ambiguïté, un enseignant, en termes de droit professionnel. Obligations de service Le chef d’établissement n’a pas légitimité à demander de justification sur l’usage fait de ces six heures, pas plus qu’il n’est habilité à exiger qu’elles soient effectuées dans l’établissement ou au CDI.

FADBEN dans les programmes d’enseignement et dans les cursus et, bien sûr, disposer d’un personnel flexible aux compétences multiples ! Du CDI au learning centre : Voyons maintenant quels changements se profilent pour les CDI au travers des textes et des discours institutionnels. Dans le rapport de 2009 L’accès et la formation à la documentation du lycée à l’université : un enjeu pour la réussite des études supérieures [3], Jean-Louis Durpaire et Daniel Renoult insistent sur l’importance pour les élèves du secondaire d’acquérir, dans une perspective de réussite universitaire, des méthodes de travail parmi lesquelles la recherche d’information. Relativement aux questions du lieu et de la politique de site, nous pouvons en extraire les quelques points suivants : A la fin du rapport, il est recommandé de « proposer une circulaire ministérielle sur l’accès des élèves aux ressources documentaires sous toutes ses formes, et en particulier sur le rôle des CDI en lycée ».

La marche forcée des 3C A l’heure actuelle, les professeurs documentalistes n’ont pas peur de l’innovation, mais ils ont parfois des doutes au sujet de leur hiérarchie, à plusieurs niveaux, sur plusieurs sens, de ce qu’elle leur réserve pour l’avenir, de ce qu’elle leur reconnaît comme compétences professionnelles. Et l’actuelle marche forcée ressentie dans certaines académies [1], et dans certains textes dits de réflexion, pour imposer l’expérimentation des 3C, n’est pas là pour améliorer la situation. Le passage aux 3C ne représente pas qu’un changement de nom pour le lieu CDI, il semble qu’il soit nécessaire de le rappeler. Ceux qui s’y opposent, posent un argument essentiel, d’affirmer que les textes qui soutiennent les 3C occultent les missions pédagogiques du professeur documentaliste, les verrouillent même en développant des missions gestionnaires toujours plus nombreuses, avec un « retour aux sources » que M. Contre des apprentissages info-documentaires : Conclusion : Tweeter

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