Analyse du livre Le Horla de Guy de Maupassant Le Horla de Maupassant : analyse de l’oeuvre Romancier de la seconde moitié du XIXe s., Maupassant est connu pour avoir fondé avec Zola et les écrivains du groupe de Médan le mouvement littéraire du Naturalisme, qui pousse à l’excès les exigences du Réalisme. Bel Ami et Boule de Suif sont des œuvres caractéristiques de la veine naturaliste de l’écrivain. Néanmoins, Maupassant a également composé des nouvelles fantastiques dont la plus célèbre est Le Horla. Le fantastique dans Le Horla On parle de fantastique en littérature dès lors qu’il y a irruption de l’irrationnel dans un cadre réaliste. L’autre caractéristique de la tonalité fantastique réside dans la double explication qui laisse place au doute. C’est du choc entre réel et surnaturel que les récits fantastiques du XIXe s. comme Le Horla tirent l’essentiel de leur force. Les choix formels de Guy de Maupassant Le Horla est une nouvelle, c’est-à-dire un récit court qui se présente comme un roman en miniature. Echos biographiques
Mon cours universitaire sur le Faust de Goethe | Blog de Grégoire Perra Cours n° 1 Faust et Prométhée Faust et la culture européenne Le Faust est une pièce centrale dans la culture mondiale et européenne. Vaclav Havel, le Président de l’actuelle République Tchèque, écrit dans ses Lettres à Olga que les trois oeuvres principales de la culture européenne sont Don Juan, le Golem et Faust. La légende de Faust La légende de Faust est née en Europe centrale au XVème siècle. On peut se demander aujourd’hui pourquoi une telle légende a connue un tel retentissement dans cette Europe naissante du XVème siècle. Le mythe de Faust est celui de la découverte de la liberté absolue de l’homme dans le domaine de la connaissance. Cependant, après le Faust de Goethe, on peut dire que ce mythe n’a cessé de s’appauvrir, d’être dénaturé et même récupéré par ce qu’il voulait combattre. L’auteur Goethe est un écrivain très connu de la littérature allemande et européenne. Ouvrage de référence : Goethe, collection Que Sais-Je ? L’écriture de Goethe La thématique originelle de Faust
Eugène Delacroix 1798-1863 Eolienne verticale Eolienne axe vertical: Cette « éolienne à vitesse constante » a été publiée, à l’identique, dans le n° 38, juillet 2002, « les bricothèmes », hors série d’un Système D, sur les énergies renouvelables. Article produit par « un lecteur »( ?). Présentation Cette fiche contient les plans pour vous fabriquer une petite éolienne à vitesse constante. Principe de fonctionnement Quatre pales en forme de godet tournent sous l'action du vent (fig. 10). Liste des matériaux Construction des pales Première méthode: Récupérer deux tonneaux d'huile de 200 litres en acier et les couper en deux. Deuxième méthode: les fabriquer avec de la tôle: les pales sont au nombre de quatre et sont taillées dans de la tôle de 2 mm d'épaisseur. Les supports de pales Support inférieur Support supérieur La croix de liaison Biellette et accessoires Le socle Il se compose de quatre pieds reliés par deux plateformes. Position des pales en fonction du vent Principe: Pour la suite En complément Etude et modification possible: Rappel des bases:
ABC du Rêve éveillé libre. : Archives Prophète né vers 680 Av. J.C. en Perse, dans la région qui englobe l'Iran, l'Irak et la Syrie actuels, Zarathushtra fonde la religion mazdéenne. Il en subsiste aujourd'hui quelques communautés en Iran, ainsi que les Parsis (Persans) en Inde, ils sont la mémoire vivante du prophète qui fût capable de rallier ses contemporains a sa vision de Dieu. Zoroastrisme ou mazdéisme, religion monothéiste, dont Dieu " Le seigneur sage " est nommé Ahura Mazdâ. Quand Zarathushtra a trente ans, il part vers son destin, accompagné d'un petit groupe de femmes et d'hommes convertis par ses paroles de sagesses et sa spiritualité débordante.
Gustave Moreau | commentairesetautres Posté le 1 mars 2013 - par belleslettres Gustave Moreau 1) Quel type de peinture fait Gustave Moreau ? Le situer par rapport à l’Impressionnisme et aux peintres de la réalité (dits réalistes ou naturalistes) : Il semble difficile de définir le type de peinture que fait Gustave Moreau. Dans ses écrits sur l’art, Moreau affirme son mépris pour le naturalisme et le réalisme : « On en est arrivé, avec cette prétendue conscience dans l’imitation de la nature, dans le genre, l’histoire, le paysage, on en est arrivé à cette négation complète des seules qualités qui soient dignes d’être admirés chez l’artiste : l’imagination, le caprice, le sentiment » Moreau compare la peinture réaliste à une prostituée : peindre son époque est pour lui le comble de la vulgarité. Il reconnaît pourtant l’importance de l’étude directe de la nature. Moreau fait lui-même l’éloge d’une nature transformée et sciemment artificielle : Alors comment situer Moreau par rapport aux peintres de son siècle ?
l'art brut et l'art singulier : définitions, caractères vous aimez cette page ?sympa de cliquer ici : 1° partie : l’art brut, un monde artistique à part ? toutes images : clic=zoom Aborder l’art brut est audacieux, tant ses acteurs (artistes, galeristes, curateurs, collectionneurs…) sont sourcilleux sur des détails qui échappent aux non-spécialistes ; nous avons entendu et lu des opinions bien contradictoires ; surprenant aussi le nombre d’articles, études, colloques dont il est l’objet par des chercheurs ou psychiatres, alors que cet art est mal connu du grand public ; bref, on a l’impression d’entrer dans un monde plastique à part ! En témoigne cet entretien-vidéo de Dubuffet, datant de 1976. Alors en art, la folie est-elle une religion ? plutôt que définir, déterminons > que signifie "art brut" ? Le galeriste Christian Berst oppose l’art brut à l’art officiel : "l‘art brut est éternel, intemporel, crée par des personnalités hors-normes : c’est une rupture de la tradition" [interview par Almanart, juillet 2011]. > l’art des fous ?
«La Renaissance et le rêve»: comment rêvait-on avant Freud? Aujourd’hui, quand on parle de l’interprétation des rêves, on pense à la psychanalyse, à l’inconscient, à Keira Knightley Keira Knightley dans «A Dangerous Method» de David Cronenberg Mais bien avant notre conception moderne du rêve, façonnée par Carl Jung et Sigmund Freud à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, la Renaissance a connu une période d’interrogations très riche sur le sujet. Un intérêt que l’on retrouve alors dans toutes les disciplines –littérature, médecine, philosophie, théologie– et notamment dans l’art: Raphaël, Michel-Ange, Léonard de Vinci, tous tentent de représenter le rêve. Ils ne peignent pas leurs propres songes, ils s'inspirent de récits mythologiques ou religieux. Et le constat que fait l'exposition «La Renaissance et le rêve», au musée du Luxembourg à partir du 8 octobre (et dont Slate est partenaire), est sans appel: l’interprétation et la représentation des songes au XVIe siècle n’avaient rien à voir avec celles que nous faisons aujourd’hui. Anaïs Bordages