Ecole Supérieure d'Études Cinématographiques - Métiers du cinéma et de l'audiovisuel - Paris Les meilleures écoles pour travailler dans le cinéma Ce banc d’essai des écoles de cinéma, réalisé par Street Press, présente les formations d’audiovisuel et de cinéma qui proposent un cursus en deux ans minimum (hors cursus universitaires, BTS, formations en alternance et formations spécialisées ou tournées vers la communication ou le journalisme). Il est bien loin le temps où les écoles de cinéma promettaient à leurs étudiants qu’ils deviendraient tous réalisateurs. Désormais, elles forment à des métiers précis: chef-opérateur, monteur, truquiste, documentariste, scénariste, assistant-réalisateur, script, cadreur ou encore producteur. En fonction de vos affinités, choisissez les écoles que vous souhaitez intégrer. Publiques ou privées «je n’ai tenté que le concours de la Femis», s’amuse Benjamin, qui est sorti diplômé de la prestigieuse formation publique. Les écoles publiques, subventionnées, ont des atouts forts comme le niveau des étudiants, de petits effectifs ou des frais d’inscription limités. Ecole publique créée en 1986 Matériel:
Deep focus: The essay film | Sight & Sound from our August 2013 issue Le camera stylo? Dziga Vertov’s Man with a Movie Camera (1929) I recently had a heated argument with a cinephile filmmaking friend about Chris Marker’s Sans soleil (1983). To take this film-lovers’ tiff to a more elevated plane, what it suggests is that the essentialist conception of cinema is still present in cinephilic and critical culture, as are the difficulties of containing within it works that disrupt its very fabric. Mechanically created, cinema defies mechanism: it is poetic, transportive and, if not irrational, then a-rational. It isn’t going too far to claim that this tradition has constituted the foundation of cinephilic culture and helped to shape the cinematic canon itself. In his review of Letter from Siberia (1957), Bazin placed Marker at right angles to cinema proper, describing the film’s “primary material” as intelligence – specifically a “verbal intelligence” – rather than image. The montage tradition Dziga Vertov’s Enthusiasm (1931)
Leçon de cinéma par Abbas Kiarostami / STRASBOURG L'Université de Strasbourg, c'est près de cinq siècles d'histoire, des noms illustres, un patrimoine riche, une situation européenne. C’est aussi 44 000 étudiants accueillis dont 20% d'étudiants étrangers, 4600 enseignants chercheurs et personnels, 38 unités de formations et recherches, 76 unités de recherche. Des chiffres imposants qui font d’elle un espace riche et multiple que ce soit dans l'offre de formation initiale et continue (interdisciplinaire et pluridisciplinaire) et la recherche comme dans l'offre culturelle et patrimoniale. Une recherche d'envergure internationale et une politique scientifique innovante Membre de la LERU, elle est reconnue pour sa recherche au niveau international. La diffusion de la culture et l'information scientifique La coopération internationale La réussite et l'insertion professionnelle des étudiants Elle a mis en place des mesures d'accompagnement pour les étudiants en licence et en DUT. voir le site
Le cinéma sur le divan | Psychanalyse | Monde Est-ce un hasard si le cinéma et la psychanalyse, dont les chemins se sont souvent croisés, sont nés à la même époque ? 1895. Alors que Sigmund Freud et Joseph Breuer publient leurs révolutionnaires Etudes sur l'hystérie, les frères Lumière mettent au point le "cinématographe". Dès lors, la naissance de cette toute nouvelle forme d'expression donne un sens collectif à ce que Freud appelle "l'étrange familier" : les images à l'écran sont à la fois familières et un rien étranges, vivantes et inanimées, réelles et illusoires…Pour autant, le grand homme se méfie du cinéma. Il n'aime pas être filmé et estime qu'il est impossible de restituer le travail psychanalytique par le biais du médium cinématographique. Lorsque Samuel Goldwyn, l'un des pères fondateurs d'Hollywood, lui propose la somme de 100 000 dollars pour rédiger un scénario, Freud refuse catégoriquement. Franck Garbarz
5000 films tombés dans le domaine public à télécharger gratuitement Dès qu’une œuvre tombe dans le domaine public, elle peut être « uploadée » sur le site archive.org. La liste ne peut donc que s’agrandir. Pour les cinéphiles, c’est une véritable caverne d’Ali Baba. On peut déjà y trouver près de 5000 long-métrages, regardables en streaming, mais également disponibles en téléchargement (très souvent de haute qualité). Films noirs, films d’horreur, cinéma Bis, screwball comedy, le choix est vaste. Voici ma petite liste maison de 13 films : Freaks : La Monstrueuse Parade (Titre original : Freaks) est un film culte américain réalisé par Tod Browning, sorti en 1932. Metropolis : film expressionniste de science-fiction allemand produit pendant la courte période de la République de Weimar. The 39 Steps : A 1935 film directed by Alfred Hitchcock. The Phantom of the Opera : A 1925 film adaptation of the novel by Gaston Leroux, this silent film version stars the infamous Lon Chaney as the Phantom.
Internet Archive: plus de 5000 films dont plusieurs chefs d'oeuvre en téléchargement gratuit et légal Sur le web, on tombe parfois sur de véritables pépites, comme c'est aujourd'hui le cas pour le site Archive.org , qui permet de télécharger de manière gratuite et parfaitement légale un catalogue de plus de 5000 films tombés dans le domaine public, parmi lesquels on retrouve certains chefs-d'œuvre que nous vous recommandons de voir et de revoir sans modération. Ces archives, qui ne contiennent d'ailleurs pas que des films, mais aussi des images, de la musique et des enregistrements audio, et des livres est proposé par l'Internet Archive. Car avant même d'avoir une fonction de partage et de mise à disposition de ce qui représente notre patrimoine culturel mondial, l'IA possède avant tout un rôle de préservation. Pour avoir un ordre d'idée, l'IA possède actuellement près de 8 Pétabytes de données stockées, et qui représentent aujourd'hui 500.000 vidéos, 1.000.000 d'enregistrements audio, 3.000.000 de livres et 36.000 logiciels. Impressionnant, c'est le mot.
Histoire du cinéma 1 Rouleaux narratifs Le principe du « rouleau narratif », grand dessin panoramique déroulant sur papier ou sur soie, fut largement utilisé en Chine et au Japon à partir du Xe siècle par des conteurs comme support narratif. Ces grands dessins cinétiques, servaient à planter le décor, à suivre la progression de l'intrigue et permettait aux spectateurs de voir les déplacements du héros dans les dédales des palais ou des villes… Il pouvait bien sûr y avoir un rouleau pour chaque « plan séquence » du récit, et être accompagné ou non par des musiciens. Théâtre d'ombres Le théâtre d’ombres, quant à lui, est un art très ancien représenté dans tous les pays du monde. celles qui jouent directement à la vue du public celles dont l’ombre, projetée par une source lumineuse, se découpe sur un écran (silhouettes découpées ou personnages formés par l’ombre de la main). Les ombres peuvent présenter des profils nets mais aussi des flous et des bougés qui apportent dynamisme et action à la narration. Suite >
Histoire du cinéma 2 Le cinéma n'est pas capable, en lui même, de reproduire un mouvement continu Une des observation qui participa à la création du cinéma, est cette particularité physiologique de l'œil humain connue sous le terme de « persistance rétinienne ». Lorsque nous regardons un objet, son image se forme sur la rétine, « surface sensible » à la lumière qui tapisse le fond de l'œil. L'image ainsi captée par la rétine met une fraction de seconde à disparaître. De nombreux instruments furent construit sur ce principe, du simple thaumatrope (2 images tournant autour d'un axe) au praxinoscope à miroirs d'Émile Reynaud. En 1831, le Belge Joseph Plateau, commercialisera avec un certain succès, un « jouet optique » le phénakistoscope : Le principe du phénakistoscope est assez simple, une douzaine d'images comme celles ci-dessus, sur un disque en rotation face à un miroir. Observées à travers les fentes du disque et grâce à la persistance rétinienne, le spectateur a l'illusion d'un mouvement,