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Mise en abyme

Mise en abyme
La mise en abyme — plus rarement orthographiée mise en abîme[1], mise en abime ou, de façon archaïque, mise en abysme — est un procédé consistant à représenter une œuvre dans une œuvre similaire, par exemple dans les phénomènes de « film dans un film », ou encore en incrustant dans une image cette image elle-même (en réduction). Ce principe se retrouve dans le phénomène ou le concept d'« autosimilarité », comme dans le principe des figures géométriques fractales ou du principe mathématique de la récursivité. Origine de l'expression[modifier | modifier le code] L'expression utilisée dans le sens sémiologique remonte à André Gide, lequel note dans son Journal en 1893 : « J'aime assez qu'en une œuvre d'art on retrouve ainsi transposé, à l'échelle des personnages, le sujet même de cette œuvre par comparaison avec ce procédé du blason qui consiste, dans le premier, à mettre le second en abyme. » Il existe plusieurs exemples où cet élément reprend le motif de l'écu. Mais aussi : Related:  Littérature

'Heathcliff whr r u': literary classics by text message Almost everyone, I think, has at least one friend who likes to relay enormously significant, life-altering news in a careless, after-the-fact way – “Did I not mention I left him?” It’s somehow maddening and endearing, the proportion of which is dependent on your personal tolerance levels. When we text, I don’t have to see your face or hear your voice when I flake out on plans 30 minutes before I’m supposed to show up; we can be our worst and most thoughtless selves with a minimum of fallout. It was while brooding on this that I began to imagine text exchanges from various characters in literary history. The joke in each of these cases is not: wouldn’t it be funny if people in the past had phones, but, what is it about this format that allows these characters to be their truest, sometimes worst selves? • Texts From Jane Eyre And Other Conversations With Your Favourite Literary Characters by Mallory Ortberg is published on 5 November by Corsair.

Stade du miroir et narcissisme - Institut Français de Psychanalyse Stade du miroir et narcissisme Pour Lacan, ce stade est le formateur de la fonction sujet, le « je », de l’enfant âgé de 6 à 18 mois. Mais cette fonction ne peut se mettre en place que par la présence de l’autre. En effet, pourquoi dire « je », s’il n’y a personne à qui le proposer ? On retrouve alors l’intersubjectivité du sujet. À une période où l’enfant a déjà fait, sur le mode angoissant, l’expérience de l’absence de sa mère (période anaclitique), le stade du miroir manifeste la prise de conscience rassurante de l’unité corporelle et, selon Lacan, la jubilation de l’enfant au plaisir qu’il a de contempler l’image de son unité, à un moment où il ne maîtrise pas encore physiologiquement cette unité. Le rôle de l’Autre Ultérieurement, Lacan a développé un aspect important du stade du miroir, en y introduisant une réflexion sur le rôle de l’Autre. Cette période est également la mise en place de l’objet source de désir de l’enfant. Stade du miroir et Idéal du Moi Selon Winnicott

Fantaisie - Nerval Introduction La première moitié du XIXème siècle est marquée par le Romantisme. En 1831, Gérard De Nerval publie le poème Fantaisiedans le recueil nommé Odelettes. Ces titres se rattachent à la musique, un des éléments caractéristiques du Romantisme. Nous étudierons donc comment la musique est le point de départ de la rêverie du poète. Dans un premier temps, nous dégagerons ainsi tout ce qui relève de la musique puis dans un deuxième temps, nous analyserons les images liées à la nostalgie du passé. Lecture du poème Télécharger Fantaisie - de Gérard de Nerval en version mp3 (clic droit - "enregistrer sous...") Annonce des axes de lecture Commentaire littéraire I. 1. Poème composé de 4 quatrains ce qui montre une libre création car la forme du sonnet (2 quatrains + 2 tercets) n'est pas suivie. 2. Fantaisie : l'imagination a libre court et ne respecte pas une forme définie traditionnelle. 3. 4. 5. II. 1. 2. 3. Chaque strophe a son opposition de couleurs. III. 1. La Dame : image finale. 2.

Après le tremblement de terre - Haruki Murakami - Maboroshi no Rouge « En rentrant du bureau ce soir là, Katagiri trouva chez lui une énorme grenouille qui l'attendait. Dressée sur ses deux pattes arrières, elle faisait bien deux mètres de haut. Et elle était plutôt corpulente aussi. Katagiri, avec son mètre soixante et sa faible carrure, se sentit écrasé par une apparence aussi imposante. - Appelez moi Crapaudin, tout simplement, dit la bestiole d'une voix qui portait loin. Katagiri en perdit la sienne et resta figé sur place dans l'entrée, bouche bée. » « Crapaudin sauve Tokyo » Sur les conseils bien avisés de Rachou-san, j'ai découvert il y a quelques mois le petit recueil de nouvelles de Haruki Murakami intitulé « Après le tremblement de terre ». II est intéressant de noter qu'en japonais, l'ouvrage est titré « Tous les enfants de Dieu savent danser ». La grande force de Murakami est de tracer en quelques lignes des caractères convaincants qui reflètent à merveille la complexité de la psyché humaine. « - Vous êtes une belle personne, docteur.

Nature et société : naissance du mythe du bon sauvage N.B. Edition utilisée : Garnier-Flammarion I. Le regard porté par l’Européen sur le « sauvage » depuis le XVIème siècle Lectures en correspondance Deux représentations iconographique du sauvage au XVIème siècle Représentation positive du sauvage : « Famille Tupinamba à l’ananas » : Jean de Léry, Histoire d’un voyage en terre de Brésil, Livre de poche, bibliothèque classique n°0707, p213. Représentation négative du sauvage cannibale : « Equarrissage de la victime » : André Thevet, Les Singularités de la France Antarctique, Editions Chandeigne, p163. Questions : Comparez ces deux représentations des Brésiliens issues d’un récit de voyage du XVIème siècle. Autres supports iconographiques : Le catalogue de l’exposition Kannibals et Vahinés qui s’est tenue en 2001 au musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie offre également un grand choix de représentations stéréotypées du bon et du mauvais sauvage, jusque dans la culture contemporaine, manifestant la permanence du mythe. II. III. Ah !

Comique En élaborant une poétique nouvelle du genre comique, Molière réussit une remarquable synthèse entre deux courants jusque là divergents, sinon contradictoires, de la vulgate comique : le premier, issu de Plaute et enrichi de l’ancienne farce, se caractérise par le seul désir de faire Rire en présentant une image caricaturale du monde ; le second, dans la lignée de Térence et du théâtre humaniste, nourrit la noble et séculaire ambition de la correction des mœurs, grâce à une peinture fidèle de l’homme. Une telle synthèse lui procure une large palette, riche des effets comiques les plus variés au sein desquels on distingue traditionnellement le comique de gestes ou de mots issu de la farce, le comique de situation, le comique de mœurs permettant une satire sociale, et le comique de caractère qui appartient en propre à notre poète, mais que depuis la IIIe République on a abusivement privilégié. Dans ce sac ridicule où Scapin s’enveloppe, Je ne reconnais plus l’auteur du Misanthrope.

Tolkien Reading Day : 9 choses que vous ne saviez pas à propos de Tolkien Le 25 mars ce n'est pas seulement la journée de la procrastination mais aussi celle du Tolkien Reading Day ! Lancé en 2003 par Tolkien Society, cet évènement a pour but d'encourager la lecture des travaux de J.R.R Tolkien. Pourquoi le 25 mars vous demanderez-vous ? Et bien c'est tout simplement la date de la chute de Sauron dans Le Seigneur Des Anneaux, qui marque la fin de la guerre de l'Anneau. Pour fêter ça, voici 9 faits que vous ignoriez peut-être sur J.R.R Tolkien, 9 comme le nombre des membres de la Communauté de l'Anneau ! 1# Il se considérait lui-même comme un Hobbit Tolkien admettait envier la vie des Hobbits dans la Comté dans laquelle il se serait immédiatement senti chez lui s'il avait eu l'occasion d'y aller. Je suis un Hobbit tout compte fait (en tout, sauf la taille). Désactiver la lecture automatique 2# Il a combattu durant la Première Guerre Mondiale 3# Il éprouvait un grand mépris pour les nazis Merci pour votre lettre. 5# Comme Frodon, il est orphelin à l'âge de 12 ans.

Panoptique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Schéma représentant le principe du panoptique. « La morale réformée, la santé préservée, l'industrie revigorée, l'instruction diffusée, les charges publiques allégées, l'économie fortifiée — le nœud gordien des lois sur les pauvres non pas tranché, mais dénoué — tout cela par une simple idée architecturale. » — Jeremy Bentham, Le Panoptique, 1780. (L'ouvrage, de 56 pages, est traduit de l'anglais et imprimé par ordre de l'Assemblée législative en 1791[1].) Le panoptique selon Bentham[modifier | modifier le code] L'idée de Bentham est inspirée par des plans d'usine mis au point pour une surveillance et une coordination efficace des ouvriers. Bentham lui-même souhaitait une mise en abyme de la surveillance, les surveillants eux-mêmes devant être surveillés par des surveillants venus de l'extérieur, afin de limiter la maltraitance des détenus et les abus de pouvoir : Histoire[modifier | modifier le code] Selon Neil Davie,

2201920190.pdf Michel Houellebecq, Soumission : Enquête sur la servitude humaine « Une idée extrêmement déplaisante me vint. » [1] Romancier de la déréliction et de la proximité, de la mutation et du milieu, de la survie et de l’anéantissement, Michel Houellebecq nous offre aujourd’hui son livre le plus inquiétant, le plus ambigu, le plus accompli. Moins sophistiqué que La possibilité d’une île, plus engagé (et de fait moins « goncourable ») que La carte et le territoire, Soumission renoue avec la veine dévastatrice et drolatique, à notre avis la meilleure, de Plateforme, des Particules et d’Extension. Jamais en effet la fiction n’aura été si visionnaire et de l’ordre du probable. Le mâle de l’islam Dès lors, il faut suivre les pérégrinations de « François », le narrateur, sorte de « dernier des Français » comme Nietzsche parlait de « dernier des hommes », professeur de lettres à la Sorbonne, spécialiste de Huysmans, « aussi peu politisé qu’une serviette de toilette » (ah ! Là-dessus, il ne faut pas se tromper de roman, sinon de territoire littéraire. Pierre Cormary

Les salons au XVIIIe siècle Contexte historique Une sociabilité aristocratique et mondaine Commande de Joséphine Beauharnais, ce tableau du peintre Lemonnier a été exposé au Salon de 1814. Le but de ce portrait de groupe est de fixer pour la postérité tous ceux qui ont compté sur la scène mondaine, philosophique et artistique parisienne au cours du siècle des Lumières, bien au-delà des membres qui ont effectivement formé la société de Mme Geoffrin. Significativement nommés « sociétés » au XVIIIe siècle, les salons sont en effet l’une des principales composantes d’une sociabilité mondaine dont le XIXe siècle cultive la nostalgie. Analyse des images Portrait de groupe des Lumières La scène se situe dans un salon richement décoré de tableaux et de tapis, celui de Madame Geoffrin, épouse du directeur de la manufacture des Glaces (future entreprise Saint-Gobain). Interprétation Histoire des Lumières et fiction artistique Bibliographie Pour citer cet article

Pensées Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le projet apologétique de Pascal démontre que l'homme, dans son orgueil et son amas de concupiscence, ne peut trouver la paix intérieure et le véritable bonheur qu'en Dieu. Selon lui, c'est la relation brisée entre l'Homme et son Créateur qui produit chez l'humain l'insatisfaction constante de la vie qu'il mène, et le désir d'oublier, par le divertissement, qu'il est mortel et a besoin de la grâce de Dieu. Pascal, qui fut également l'un des plus grands génies scientifiques de l'Histoire, soutient que l'Homme est à la fois misère et grandeur, rien et tout, limité bien qu'il aspire à l'infini. Sa capacité de penser, son désir de l'illimité et sa quête insatiable de bonheur sont la trace de Dieu dans son esprit qu'il a été créé pour le connaître et l'aimer. Blaise Pascal, auteur des Pensées Genèse du texte[modifier | modifier le code] Présentation de l’œuvre[modifier | modifier le code] L'homme[modifier | modifier le code] La raison et le cœur

La terrible origine des contes de fées Si vous pensez encore que Disney a tout inventé, vous vous trompez. En réalité, ni Charles Perrault ni même les frères Grimm ne sont à l’origine des contes de fées. Prenez Cendrillon par exemple, la toute première version remonte au IXème siècle Av. J.C, en Chine, mais ce n'est qu'en 1634 qu'elle arrive en Europe, retranscrite par l'auteur italien Giambattista Basile. Les contes de fées et leur morale participent à l’éducation des enfants, ils leur inculquent des valeurs, leur apprend à distinguer le bien du mal et les gentils des méchants. Connaissez-vous le petit secret de Cendrillon ? Cendrillon Ilustration de Edmond Dulac Cendrillon est loin d’être la petite fille innocente que nous connaissons chez Disney. "... Ce que Zezolla n'avait pas prévu est que sa gouvernante et ses six filles sont plus pestes encore que sa défunte belle-mère. Zezolla s’en va donc au bal, où elle rencontre le roi qui tombe fou amoureux d’elle. La Belle au bois dormant La petite sirène Mais ce n’est pas tout.

Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux Marivaux en 1743. Marivaux (né Pierre Carlet) est un écrivain français, baptisé à Paris le 4 février 1688 et mort à Paris le 12 février 1763. Il est élu à l'Académie française en 1742. Il est le 5e auteur le plus joué par la Comédie-Française[2]. Il existe peu de documents et d'informations concrètes, précises et référencées sur la vie de Marivaux ; nombre de celles qui circulent à son sujet sont donc erronées ou infondées[3]. Le nom « Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux » n’apparaît jamais comme tel et n'a aucun fondement administratif ou généalogique. Marivaux est issu d'une famille de nobles originaires de Normandie qui avait fourni un sénateur au Parlement de Rouen. En 1698, la famille part s'installer à Riom, en Auvergne. Sa première pièce, Le Père prudent et équitable, est jouée à Limoges en 1708[9]. Logé à Paris chez son oncle Pierre Bullet (mort en 1716), Marivaux entreprend[Quand ?] Son père meurt le 14 avril 1719. Il perd son épouse en 1723[15]. NB. — Voltaire, lettre à M.

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