Réseaux sociaux : quels sont les risques pour les entreprises? Phénomène de mode ou tendance lourde, les réseaux sociaux deviennent incontournables pour les entreprises, mais ils inquiètent leurs responsables de la sécurité informatique. C’est ce qui ressort d’une étude que vient de publier Forrester Research. Le cabinet d’études américain Forrester Research vient de publier une étude portant sur les meilleures pratiques permettant de limiter les risques liés à l’utilisation croissante des réseaux sociaux en entreprise, notamment Facebook, Twitter et LinkedIn. Cette étude baptisée “To Facebook Or Not To Facebook - Effective Management Of Social Media Can Alleviate Security Risks” est issue d’une enquête réalisée auprès de plus de 900 directeurs des systèmes d’information (DSI) basés en Amérique du Nord et en Europe. Parmi les principales conclusions de cette étude, on notera que : Quels sont les risques ? Quelques précautions de base Jean-François Prevéraud Pour en savoir plus :
Réseaux sociaux : de nouveaux dangers pour nos enfants ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Olivier Dumons L'intégralité du débat avec Jacques Henno, auteur du livre Les 90 Questions que tous les parents se posent. Ganon : Pourquoi considérez-vous que ces réseaux puissent être un danger ? Bonjour. lebaro : Pourriez-vous lister les dangers que représentent les réseaux sociaux pour les enfants ? Premier danger : être victime d'un prédateur sexuel.Deuxième danger : le harcèlement de la part d'autres enfants. Le premier danger est réel, mais ne doit pas être exagéré. Le harcèlement : les réseaux sociaux permettent d'échanger des messages. Le vol d'identité : ce phénomène comporte plusieurs degrés. Y passer trop de temps : comme tout outil interactif (le surf, les jeux vidéo...), les réseaux sociaux sont extrêmement chronophages. Comment se protéger ? La pédophilie : les réseaux sociaux du type Facebook permettent de préciser les règles de confidentialité de son profil. Oui, pourquoi pas ? Oui, mais on ne sait pas dans quelle proportion.
Pourquoi certaines équipes sont-elles plus intelligentes que d’autres Anita Wooley, spécialiste de l’étude des comportements de groupes, Thomas Malone, directeur du Centre pour l’intelligence collective du MIT et le psychologue Christopher Chabris, nous expliquent dans une tribune pour le New York Times ce qui fait la qualité d’un groupe sur un autre. Pour cela, ils convoquent une étude de 2010 menée par Alex Pentland du MIT (cf. « Big Data : vers l’ingénierie sociale ? ») qui montrait que certaines équipes réussissaient mieux que d’autres, même si elles n’étaient pas spécialistes des sujets qu’elles devaient traiter. La qualité d’une équipe ne repose donc pas tant sur l’intelligence de chacun de ses membres que sur sa capacité à faire équipe (enfin, pour autant que la tâche à réaliser nécessite une collaboration profonde pas seulement de résoudre un problème précis : si vous demandez à un groupe de résoudre un calcul différentiel, il vaudrait mieux qu’il y a ait des mathématiciens autour de la table !). Hubert Guillaud Signaler ce contenu comme inapproprié
Les réseaux sociaux, un vrai danger pour les plus jeunes Des espaces de convivialité qui ne sont pourtant pas sans danger. Une étude parue lundi et réalisée pour l'Union nationale des associations familiales (Unaf), la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) et l'association Action innocence, pointe les risques des réseaux sociaux pour les ados. Selon celle-ci, 48% des 8-17 ans indiquent avoir un compte sur Facebook. Le manque de vigilance souligné Autre sujet de préoccupation: les comportements addictifs des jeunes à l'égard de Facebook. Difficile aussi pour les adolescents de ne pas trop exposer leur vie privée sur les réseaux. Et plus leur réseau est étendu, plus les risques d'incivilité sont importants. «D'où l'importance pour les parents de ne pas attendre ce genre de mésaventure pour s'intéresser aux usages de leurs enfants, car seulement la moitié d'entre eux les surveillent», souligne Elisabeth Sahel, présidente d'Action innocence. Conseils aux parents Le manque de vigilance souligné Conseils aux parents
Le groupthinking ou les dangers du travail en groupe Vous le savez, nous croyons dans le potentiel du collectif, nous pensons qu’ensemble nous sommes plus créatifs et meilleurs. Ok, ceci étant dit ne soyons pas angéliques, un groupe ce n’est pas un vaccin contre l’échec. Il est possible d’être très mauvais ensemble, et parfois c’est pire que d’être seul. Finalement, comme tout ce qui est puissant, un groupe ça peut être dangereux, il faut savoir le conduire au risque d’aller droit dans le mur. Voici donc quelques effets pervers que l’on peut retrouver lorsque l’on mène des travaux de groupe ou des ateliers. C’est l’exemple extrême du phénomène de groupthinking…Mais c’est quoi le groupthinking me direz-vous ? Nous avions évoqué ce phénomène lorsque nous vous avions parlé du livre « L’intelligence créative au delà du brainstorming« . C’est ce phénomène qui amène les membres d’un groupe à rechercher à tout prix un consensus au détriment de la qualité de la décision. Ca fait froid dans le dos, non ? Un consentement plutôt qu’un consensus
Réseaux sociaux : une réputation d'entreprise plus volatile - Communication RH Pas moins de 2,5 millions de salariés, uniquement pour le secteur privé, parlent de leur entreprise sur les réseaux sociaux. Un chiffre qui représente 15 % de l'ensemble des salariés interrogés par Viavoice. Que les employeurs se rassurent, pour l'heure, les salariés sont plutôt bienveillants, puisque les 2/3 parlent positivement de leur entreprise. Mais, même dans une démarche positive, les entreprises ne sont pas à l'abri d'un salarié trop bavard ou distrait sur ces réseaux sociaux. Plus problématique cette fois, un salarié sur cinq est plutôt critique à l'égard de son entreprise sur ces mêmes réseaux. « La tendance est à penser qu'Internet se présente comme un confessionnal laïque, commente Jérôme Lascombe, président de Hopscotch. Il permet de se lâcher, et pourquoi pas contre l'entreprise ? Un contexte juridique flou « Dans l'entreprise du 20e siècle, les choses étaient très claires, poursuit Jérôme Lascombe. Et en cas de dérapage ? Prendre les devants Brice Ancelin
Recherche d'informations sur internet (perfectionnement) | Urfist de Paris Parce que l’on peut toujours rendre sa recherche d’informations sur internet plus rapide et efficace, on reviendra d’abord sur la méthodologie d’une bonne recherche d’information (questionnement du sujet, choix des termes et formulation de sa requête) avant de passer en revue les grandes catégories d’outils (moteurs de recherche comme Google, moteurs de recherche scientifique comme Google Scholar, réservoirs de publications en archives ouvertes et open access comme HAL, outils de repérage de thèses, outils sociaux comme Academia ou Twitter...). ►Support (PDF)►Carte des outils►Corrigé des exercices ► Support disponible sur Slideshare (téléchargeable avec un compte Slideshare) - ! version 2017 ► Deux listes d'exercices (exercices 1 et exercices 2) et leurs corrigés ►L'essentiel des outils sur une carte heuristique Pour aller plus loin Auteur(s): Aline Bouchard Date de création:
Qu'est-ce qu'un «wiki» ? Le mot wiki vient de l'expression hawaiienne «wiki wiki», communément traduite par «vite». Dans l'univers Internet, il désigne un site rédigé à plusieurs mains dont les pages peuvent être modifiées rapidement et librement. N'importe quel visiteur qui en apprécie les articles peut rejoindre la communauté qui l'édite. Le wiki le plus connu, l'encyclopédie Wikipédia (www.wikipedia.fr), est le plus visité au monde. Mais au monde des «wiki», on trouve aussi des contenus pédagogiques (un prof, par exemple, qui enrichit ses cours avec ses collègues), des sites d'informations et de documentation technique (très appréciés par les passionnés d'informatique)... Selon le cas, les visiteurs peuvent contribuer directement, ou seulement après inscription, de manière à être identifiés quand ils procèdent à un ajout ou à une modification. Pour créer ou modifier un article, le visiteur se connecte à l'espace d'édition du «wiki» avec son navigateur Web.
Système d'Information Mars 2017 Notion de Système d'Information Une entreprise crée de la valeur en traitant de l'information, en particulier dans le cas des sociétés de service. Ainsi, l'information possède une valeur d'autant plus grande qu'elle contribue à l'atteinte des objectifs de l'organisation. Un système d'Information (noté SI) représente l'ensemble des éléments participant à la gestion, au traitement, au transport et à la diffusion de l'information au sein de l'organisation. Très concrètement le périmètre du terme Système d'Information peut être très différent d'une organisation à une autre et peut recouvrir selon les cas tout ou partie des éléments suivants : Pour approfondir Formation informatique et système d'information Sistema de información Sistema d'informazione Sistema de Informação
Définition du Big Data - Profitez des opportunités du Big Data - France Définition du Big Data Chaque jour, nous générons 2,5 trillions d’octets de données. A tel point que 90% des données dans le monde ont été créées au cours des deux dernières années seulement. Ces données proviennent de partout : de capteurs utilisés pour collecter les informations climatiques, de messages sur les sites de médias sociaux, d'images numériques et de vidéos publiées en ligne, d'enregistrements transactionnels d'achats en ligne et de signaux GPS de téléphones mobiles, pour ne citer que quelques sources. Ces données sont appelées Big Data ou volumes massifs de données. Ecoutez les experts Le Big Data couvre quatre dimensions : volume, vélocité, variété et véracité. Volume : les entreprises sont submergées de volumes de données croissants de tous types, qui se comptent en téraoctets, voire en pétaoctets. Vélocité : parfois, 2 minutes c'est trop. Véracité : 1 décideur sur 3 ne fait pas confiance aux données sur lesquelles il se base pour prendre ses décisions.
Pourquoi le dogme de la gratuité des données publiques freine la diffusion de l’open data Toutes les entreprises qui exploitent de l’information publique à des fins commerciales, qui savent « faire parler » et valoriser les données publiques parviennent au même constat : pour développer un modèle économique viable à partir de l’open data, il faut que les données respectent un triptyque indissociable : fraîcheur, qualité documentaire et exhaustivité. Il suffirait d’ailleurs, pour s’en convaincre, de suivre le débat naissant sur la qualité des données issues de l’open data (1). Toutefois, seules les administrations dont la diffusion des données fait partie intégrante de la mission (IGN, INSEE, INPI, DILA, Météo-France,…) disposent actuellement des compétences et des budgets pour satisfaire ledit triptyque. Préparation des données obligatoire mais coûteuse - Dans le même temps, on commence à le vérifier aussi, «c’est surtout le travail de préparation des données qui coûte cher » (2). En voici un aperçu non exhaustif : Cet article fait partie du Dossier Sommaire du dossier