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En images. Des dessins du monde entier pour soutenir Paris

En images. Des dessins du monde entier pour soutenir Paris
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Les rumeurs prolifèrent sur les réseaux sociaux après les attentats de Paris C'est malheureusement presque devenu une habitude lors des événements de cette ampleur, des rumeurs et autres détournements sont largement diffusés sur les réseaux sociaux. La même femme aurait donc échappé à plusieurs si l'on en croit le message qui accompagne un photomontage largement partagé ces dernières heures sur Twitter : la bombe du marathon de Boston, "shooting at school" et les attentats de Paris. Sauf que... Le collage des trois femmes en bas de l'image vient des Etats-Unis. Il a été utilisé par des adeptes de la théorie du complot pour tenter de montrer que les massacres de Sandy Hook, d'Aurora et l'attentat de Boston étaient des inventions du gouvernement et des médias. Sauf qu'il s'agit de femmes différentes : A lire aussi : Non, la même femme n'apparaît pas à chaque tuerie aux Etats-Unis La photo du haut a donc été ajouté au photomontage américain. Sauf que.. C'est un petit texte d'hommage à la France qui a été partagé à de très nombreuses reprises sur les réseaux sociaux.

Attentats à Paris: Joann Sfar réagit au drame en BD TERRORISME Révolté, l'auteur du «Chat du rabbin» a exprimé son désarroi en postant une série de dessins sur Instagram... Olivier Mimran « Qu’elle est belle la devise de Paris. Fluctuat nec mergitur ! S'il y fustige le terrorisme (« Nos ennemis sont ceux qui aiment la mort. Mais Joann Sfar conclut sur une note d'espoir (« Depuis des siècles, des amoureux de la mort ont tenté de nous faire perde le goût de vivre. Joann Sfar sur les attentats: "On a passé un an à ne rien faire, à se détester"

#JeSuisParis, en dessins Le hashtag #JeSuisParis, en résonnance avec celui des attentats de janvier, #JeSuisCharlie, est né cette nuit sur les réseaux sociaux après la série d'attaques dont la capitale et sa banlieue ont été la cible. La mort des dessinateurs de Charlie avait donné lieu à de nombreux hommages en dessin. Là encore, dessinateurs et internautes ont partagé leurs croquis. Le dessin le plus partagé est celui-ci, il est l’œuvre de l’artiste Jean Jullien : Parmi les dessinateurs connus, Johann Sfar a très vite publié une émouvante suite de dessins sur son compte Instagram. Le petit Elyx, personnage connu des réseaux sociaux, a lui aussi exprimé son soutien :❤️Paris #WeAreOne #Peace #Paris #jesuisparis #prayforparis pic.twitter.com/7ndGqRU77Y De nombreux autres dessins ont été publiés dans la nuit et ce matin. Certains font référence à Cabu, dessinateur de Charlie Hebdo tué le 7 janvier. Le dessinateur de presse américain David Fitzsimmons met en scène la statue de la Liberté.

Rassurer, consoler puis réfléchir : comment parler des attentats aux enfants? • Dans la tête des enfants Comment en parler aux enfants? Comment leur transmettre les valeurs de tolérance, de respect, comment développer l'esprit critique, ouvrir à la culture, à la pensée, à l'humour, à l'empathie... Comment par l'éducation éviter ces horreurs?.. Pas de solution miracle mais gardons au cœur la foi laïque qui doit animer chaque parent, chaque enseignant, chaque éducateur : Donnons la parole aux enfants, trouvons les mots justes, apprenons leur à réfléchir, à s'écouter, à débattre, aiguisons leur esprit critique, transmettons sans relâche les Humanités, les Arts, les Cultures... Bien sûr le lendemain des attentats, il faut consoler, rassurer les enfants avec des mots simples et justes : leur dire que le mal existe malheureusement, mais que nous pouvons le combattre, que les adultes sont là pour les protéger, qu'à la maison ou à l'école ils ne risquent rien, que ces événements sont très rares. Tomi UNGERER, Jean de la lune, L’école des Loisirs. RASCAL, Coté cœur, L’école des loisirs. D.

60 illustrations pour évoquer les attentats Ma sélection des images et illustrations trouvées sur le web et les réseaux sociaux ces dernières 48 heures. Célèbres ou inconnus les auteur(e)s ont voulu par un dessin dire ce que les mots ne peuvent plus dire. Des illustrations qui vous serviront peut-être à évoquer les attentats aveugles de ce week-end avec vos élèves ou étudiants. Pour finir deux images qui font partie de mes préférées par ce qu’elles disent et revendiquent haut et fort. Le dessinateur Zep dans Le Monde : Vous trouverez sur cet autre article une compilation de ressources pour parler et faire parler vos enfants et vos élèves des événements du 13 novembre 2015.

Comment les journaux ont choisi leurs photos de unes sur les attentats Libération En début de soirée, Libération publie une première version de leur une. Elle montre des corps recouverts de draps blancs devant le bar Le Carillon, rue Bichat. «Nous avions une couverture photo assurée par certains de nos photographes mais aucune image n’était assez forte alors nous avons utilisé une photo du «fil» [là où les différentes agences de presse diffusent des photos pour les rédactions, ndlr]», raconte Isabelle Grattard, chef de service au service photo du journal. «Nous avions une manchette forte qui mettait en avant le carnage alors nous avons pris le parti de montrer le travail des secours. Wall Street Journal Au Wall Street Journal, le choix de l'image de leur édition du week-end a fait l'unanimité dans la rédaction. La rédaction du WSJ a préparé trois unes à différents moments de la nuit. Le Parisien De façon exceptionnelle, Le Parisien a publié deux éditions ce 14 novembre. «Nous assumons la violence de cette image.

Attentats à Paris : comment en parler aux enfants ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Mattea Battaglia Une fin chaotique de match de football, des scènes d’émotion, des institutions fermées… Autant de manières par lesquelles les enfants ont été touchés par les attentats de vendredi soir. Jean-Luc Aubert, psychologue, spécialiste de l’enfant et de l’adolescent, donne des pistes aux parents sur la manière d’aborder la question en famille. » Suivez la situation en direct Tous les foyers se sont réveillés, ce matin, partagés entre sidération et angoisse. Plus qu’à l’événement en lui-même, les enfants sont réceptifs à l’angoisse de leurs proches. En parler simplement, d’accord, mais avec quels mots ? Il est préférable, auprès des plus jeunes, de rester simple, de résumer les principaux faits : « Il y a eu des attentats à Paris, avec des morts. » Avant l’âge de l’école primaire, il est inutile d’en dire plus. Les enfants posent des questions auxquelles, souvent, les parents n’ont pas de réponse.

Comment un dessin et une devise sont devenus des symboles de résistance On ne peut s’empêcher de penser au fameux slogan “Je suis Charlie” qui était devenu viral au lendemain des attentats de janvier. Depuis le 13 novembre, c’est la devise de Paris, “fluctuat nec mergitur“, qui est reprise par tous. Elle signifie “Il est battu par les flots, mais ne sombre pas”, le “il” renvoyant à un navire, “les flots” à la Seine; et figure sur le blason de la capitale depuis 1358: Si l’on ne sait pas qui a eu l’idée de l’utiliser comme symbole de résistance, le dessinateur Joann Sfar est l’un des premiers à l’avoir intégrée dans des dessins : Le même jour, un groupe de graffeurs parisiens baptisé “la Grim Team” a peint le slogan en lettres blanches sur fond noir sur une structure placée près de la statue de bronze, place de la République, où des passants viennent déposer des bougies et des fleurs depuis les attentats de vendredi. Une tour Eiffel dans le signe de la paix La devise n’est pas le seul symbole de résistance brandi dans la rue comme sur les réseaux sociaux.

Actualités - Liberté de conscience, liberté d'expression : outils pédagogiques pour réfléchir et débattre avec les élèves Comment parler d'un drame de l'actualité aux élèves ? Quelques principes Moduler son attitude pédagogique selon l'âge des élèves : à l'école maternelle, du début à la fin de l'école élémentaire, au collège...Accueillir l'expression de l'émotion des élèves, sans sous-estimer, y compris chez les très jeunes enfants, leur capacité à saisir la gravité des situations ;Rassurer les élèves : l'école est un espace protégé ; l'évènement s'est déroulé dans un lieu et un temps circonscrit, même si les média en parlent et diffusent plusieurs fois les images ;Etre attentif au « niveau de connaissance » que les élèves ont de l'évènement : certains élèves peuvent n'en avoir aucune connaissance ; d'autres ne disposer que d'éléments partiels, voire erronés, provenant de sources variées. Pour aller plus loin : Aborder un événement collectif violent Quelques repères pour agir à l'école primaire Aujourd'hui, le périmètre touché est beaucoup plus important. Distinguer les situations S'appuyer sur le collectif

Attaques terroristes : quatre idées pour en parler aux enfants Par Tatiana Lissitzky Mis à jour le , publié le En parler, ou se taire ? Depuis les attentats qui ont touché la France la semaine dernière, certains parents se sentent démunis. Comment faire comprendre l'atrocité aux plus jeunes ? Mais surtout, comment aborder le sujet ? Francetv info vous conseille quatre ressources pour entamer le dialogue et amener les plus jeunes à mieux comprendre les événements. 1Les revues pour enfants et adolescents Si vous ne savez pas comment aborder le sujet, plusieurs revues destinées aux enfants et aux adolescents peuvent être utiles pour poser les bases d'une discussion. Les autres titres des éditions PlayBac Presse, Mon Quotidien, L'Actu et L'Eco destinés à un public plus âgé (de 10 à 18 ans), sont aussi diffusés gratuitement sous forme d'éditions spéciales. De la même façon, Le Journal des Enfants, qui explique chaque semaine l'actualité aux 8-14 ans, a choisi de consacrer cette semaine six pages de son numéro aux attaques terroristes. 3Une vidéo explicative

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