La procrastination : pistes, outils et méthodes. - Mieux-Etre.org. Vandenbosch David Au départ, souvent dans les jeunes années, vous arriviez à gérer beaucoup de tâches dans les dernières minutes. Cela était une source de stress mais également à la base d’une certaine fierté. Les conséquences étaient relativement circonscrites et, excepté quelques interros ratées ou de temps en temps une arrivée en retard dans votre club de sport, vous ne vous en tiriez pas souvent avec les honneurs. Les parents et les proches faisaient peut-être souvent des réflexions, des remarques, ils prodiguaient des conseils que vous n’avez jamais appliqués, cela restait lettre morte et vous perduriez dans votre fonctionnement. Dès que vous avez postposé une première fois , vous êtes aspiré dans l’engrenage où bien souvent vous avez l’impression de perdre un certain contrôle. Première étape : Quel procrastinateur êtes-vous ? Vous pouvez vous comporter en procrastinateur massif et laisser la remise à plus tard se greffer dans tous les domaines de votre vie. Comment s’effectue un tel choix ? Conclusion
Pratītyasamutpāda Pratītyasamutpāda (Sanskrit: प्रतीत्यसमुत्पाद; Pali: पटिच्चसमुप्पाद paṭiccasamuppāda) is commonly translated as dependent origination or dependent arising. The term is used in the Buddhist teachings in two senses: On a general level, it refers to one of the central concepts in the Buddhist tradition—that all things arise in dependence upon multiple causes and conditions.On a specific level, the term is also used to refer to a specific application of this general principle—namely the twelve links of dependent origination. Etymology[edit] Pratityasamutpada (Sanskrit: प्रतीत्यसमुत्पाद) consists of two terms: pratitya: "having depended"samutpada: "arising", "rise, production, origin"[web 1] The term has been translated into English variously as dependent origination, dependent arising,[citation needed] interdependent co-arising,[citation needed] conditioned arising,[citation needed] and conditioned genesis. The Dalai Lama explains: In Sanskrit the word for dependent-arising is pratityasamutpada.
Méditation: comment la pratiquer au travail Les sources de stress sont en forte progression dans les entreprises. Parmi les méthodes et techniques pour aider les salariés à y faire face, la méditation est de plus en plus reconnue, avec le but de reprendre sa liberté face à des évènements et faire face à des émotions qui nous submergent. La méditation "de pleine conscience", traduction de mindfulness et développée aux Etats-Unis, est la plus adaptée dans ce contexte. Le principe est simple: "il s'agit de porter notre attention sur ce qui est, ici et maintenant, instant après instant", décrit Emmanuel Faure, consultant et instructeur de méditation en entreprise. Aisé à décrire, mais moins à pratiquer. Mais elle s'apprend. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Stopper les ruminations mentales Emilie, journaliste dans l'audiovisuel et grande stressée par son métier, mesure les bénéfices de cette pratique. Méditer ne change pas la réalité mais transforme la manière de l'appréhender. Des pauses conscientes pour se recentrer
Nirvana Nirvāṇa (Sanskrit: निर्वाण; Pali: निब्बान nibbāna ; Prakrit: णिव्वाण) literally means "blown out", as in a candle.[1] It is most commonly associated with Buddhism.[web 1] In Indian religions, the attainment of nirvana is moksha,[note 1] liberation from the cycle of rebirth.[3][note 2] In the Buddhist context nirvana refers to the imperturbable stillness of mind after the fires of desire, aversion, and delusion have been finally extinguished.[1] In Hindu philosophy, it is the union with the divine ground of existence Brahman (Supreme Being) and the experience of blissful egolessness. Etymology[edit] Phonetics[edit] ni (nir, nis, nih): out, away from, without, a term that is used to negateva: blowing as in blowing of the wind and also as smelling[6]na: nor, never, do not, did not, should not[7] Vana is forest in/of the forest/forests; composed of flowers and other items of the forest.,[7] but vana has both phones van and va. Abhidharma[edit] Origins[edit] Jainism[edit] Buddhism[edit] Moksha[edit]
Comment méditer chez soi - Comment pratiquer la méditation © Jupiter Postures, respiration, fréquence… Utiliser sa force mentale pour trouver la paix est plus simple qu’on ne le croit. Petit précis en sept étapes à l’usage de ceux qui veulent apprendre comment pratiquer la méditation au quotidien. Laurence Lemoine Quand le stress nous asphyxie, nous sommes comme la montagne encerclée de nuages. Méditer, c’est laisser le vent dégager le ciel et révéler l’azur. Du zen au tantra, du yoga au tai-chi, les techniques sont variées mais reposent toutes sur les mêmes bases : une posture ou un mouvement juste, un travail de respiration, une présence attentive à l’instant. Le mot d’ordre de cette séance sera donc : « Essayez. » Ne cherchez pas à vous conformer strictement à ce qui vous est proposé ici. 1 - Trouvez le bon moment Tout dépend de ce que vous en attendez. L’idéal est de choisir un moment et une durée déterminés (par exemple juste avant le petit déjeuner, pendant dix minutes) et d’essayer de s’y tenir. 2 - Créez l’environnement adéquat
Karma and Anatta or Non-self and Kamma - Buddha's world (from"Buddhaloka", the Newsletter of the Buddhist Society of Victoria, July/August 1997 by Ajahn Jagaro The teaching on Anatta or non-self is one of the most fundamental aspects of Buddhism, and may be the most important feature which makes the Buddha's teaching quite unique. The other aspect of the teaching which is sometimes seen to be difficult to reconcile or explain, interms of anatta, is the teaching of kamma or the law of kamma, which is the law of cause and results. The causes we create through our actions of body, speech and mind, and the consequences that arise from these actions. The law of kamma states that as we sow so shall we reap, and whatever kamma we shall do, we will be the heirs that inherit it. So this evening I would like to speak on these two aspects of the teaching and also how they relate to each other, possibly illustrate how there is no contradiction at all. This is the appearance which seems real. When this is, that is.
L’ancrage : une excellente technique pour ceux qui pensent trop Attention : la technique que vous allez découvrir peut à elle seule changer beaucoup de choses dans votre vie ! Ce ne sont pas des promesses en l’air, et vous seriez bien bête de passer à côté. D’ailleurs, je me demande bien pourquoi je ne vous en ai pas parlé avant sur ce site… Peut-être que cette technique est si puissante que si je vous en parle, vous n’aurez plus besoin de venir sur ce site… sniff :) Bon aller je prends quand même le risque ! Pour qui est l’ancrage ? Alors déjà, quand je dis que c’est «une technique pour ceux qui pensent trop», en fait je pense qu’elle sera utile pour à peu près tout le monde ! Si vous venez sur ce site pour trouver plus de sérénité, alors vous avez sûrement un grand besoin d’apprendre et surtout de pratiquer cette technique de l’ancrage. «Ancrage», «être ancré», « s’enraciner »… ça veut dire quoi tout ça?? Être ancré, c’est être connecté à la terre. C’est habiter complètement ce corps qui est le nôtre et accepter de vivre notre vie ici sur terre.
Satipatthana Sutta "This is the direct way [Pāli: ekāyano ... maggo],[4] monks, for the purification of beings, for the overcoming of sorrow and lamentation, for the extinguishing of suffering and grief, for walking on the path of truth, for the realization of nibbāna...." (Vipassana Research Institute, 1996, pp. 2, 3.) The meditation techniques identified in this sutta can be practiced individually or successively or in an interwoven fashion. Text[edit] Title translation and related literature[edit] English translations of the title, "Satipaṭṭhāna Sutta," include: "The Arousing of Mindfulness Discourse" (Soma, 1999)"The Foundations of Mindfulness Discourse" (Nyanasatta, 1994)"The Frames of Reference Discourse" (Thanissaro, 1995) According to Anālayo (2006, pp. 29–30), Thanissaro (2000) and Nyanaponika (1996, pp. 9–10), part of the reason for the variety in this title's translation has to do with how the compound Pāli word "satipaṭṭhāna" is analyzed. Various Recensions & Canonical placement[edit] Contents[edit]
Couper les liens d’attachement Aujourd’hui, je vous propose deux exercices pour couper les liens d’attachement conscients ou non qui nous relient aux autres. Ces deux méthodes vont vous permettre de couper les liens toxiques entre vous et l’autre personne tout en conservant les liens d’amour. Il est bon de les appliquer régulièrement ou dès que le besoin se fait ressentir. Il n’est pas rare de ressentir immédiatement les bienfaits ou de constater des changements dans les jours suivants comme la résolution d’un problème, une sensation de paix, des nouvelles inattendues d’une personne. Cependant, il arrive parfois qu’il fallut plus de temps et persister dans la pratique avant d’obtenir des résultants selon l’intensité du lien qui vous relie à la situation problématique et votre capacité à lâcher prise. Une fois ces techniques faites, il est nécessaire de laisser les choses se faire en remettant vos soucis ou la relation en question entre les mains de l’univers. Les petits bonhommes allumettes de Jacques Martel :
Ajahn Jagaro - Buddhism and Vegetarianism About the Author Ajahn Jagaro was born John Cianciosi in 1948, in Italy, and migrated with his parents to Australia at the age of ten. After completing a Diploma in Applied Chemistry and working for a short time, he took leave of his home to travel in Asia. With no clear aim in mind, his travels eventually took him to a Buddhist monastery in Bangkok, where a casual interest in meditation developed into a decision to take ordination as a Buddhist monk in 1972. After a year spent in Bangkok and Southern Thailand, he travelled to the north-east, where he met his teacher, Venerable Ajahn Chah, the well-known forest meditation teacher, and spent the next ten years in and around Ajahn Chah's monastery, Wat Pah Pong, and its many branches. In 1979, Ajahn Chah invited Venerable Jagaro to become the senior monk, or Abbot, at Wat Pah Nanachat, a monastery not far from Wat Pah Pong. Buddhism and Vegetarianism We see this over and over again in every aspect of life. Scriptural basis
Petit exercice pour être dans l'instant présent Pratiquez ce petit exercice pour être dans l’instant présent Vous êtes-il arrivé de prendre un repas sans vous rappeler de la saveur du plat, de parler au téléphone et de ne pas écouter ce que l’autre dit, de marcher ou de rouler sans vous rendre compte de ce qui vous entoure, d’écouter de la musique en lisant et de ne vous rappeler ni de la musique ni de la lecture ? Et, au risque de frôler le cliché, de ne pas profiter d’un évènement, comme un voyage, des vacances, à cause d’une idée qui vous minait, d’un problème qui occultait tout le reste ? Dans bien d’autres cas, on a souvent tendance à se focaliser et à oublier le reste. Je me rappelle avoir assisté à une pièce de théâtre en compagnie d’une personne très philosophe, mais dont le plaisir a pourtant été gâché parce qu’en plus des spectateurs, il y avait deux classes de scolaires dans la salle, et que manifestement Ionesco c’était un peu trop pour eux. Munissez-vous d’un appareil doté d’une minuterie avec un son, une alarme.
About Ajahn Chah - Biography For more detailed information, have a look at the video-series of the Life of Ajahn Chah. Venerable Ajahn Chah (Phra Bodhiñāna Thera) was born into a typical farming family in a rural village in the province of Ubon Rachathani, N.E. Thailand, on June 17, 1918. He lived the first part of his life as any other youngster in rural Thailand, and, following the custom, took ordination as a novice in the local village monastery for three years, where he learned to read and write, in addition to studying some basic Buddhist teachings. After this he returned to the lay life to help his parents, but, feeling an attraction to the monastic life, at the age of twenty (on April 26, 1939) he again entered a monastery, this time for higher ordination as a bhikkhu, or Buddhist monk. He spent the first few years of his bhikkhu life studying some basic Dhamma, discipline, Pāli language and scriptures, but the death of his father awakened him to the transience of life.
cp_41_pxxxxxx_consc_Andre_FP.xp - meditation_CerveauPsycho_2010.pdf Reincarnation - Buddhism and Reincarnation or Rebirth Would you be surprised if I told you that reincarnation is not a Buddhist teaching? If so, be surprised -- it isn't. "Reincarnation" normally is understood to be the transmigration of a soul to another body after death. There is no such teaching in Buddhism. One of the most fundamental doctrines of Buddhism is anatta, or anatman -- no soul or no self. There is no permanent essence of an individual self that survives death. However, Buddhists often speak of "rebirth." What Is the Self? The Buddha taught that what we think of as our "self" -- our ego, self-consciousness and personality -- is a creation of the skandhas. The Buddha said, “Oh, Bhikshu, every moment you are born, decay, and die.” This takes us to the Three Marks of Existence, in particular anicca, "impermanence." What Is Reborn? In his book What the Buddha Taught (1959), Theravada scholar Walpola Rahula asked, Zen teacher John Daido Loori said, Thought Moment to Thought Moment Karma and Rebirth The Rev. What's the Point?