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Obsolescence programmée : comment les entreprises entretiennent le cycle du jetable

Obsolescence programmée : comment les entreprises entretiennent le cycle du jetable
Marketing, ingénierie... Réunis sous le terme « d'obsolescence programmée », mille techniques sont employées par les industriels pour assurer un flux de consommation sacralisé par la pub. Certains étudiants de la Sorbonne avaient pris l’habitude, comme leurs profs, d’aller faire recharger leurs cartouches d’encre dans cette petite boutique de la rue des Ecoles. Neutre, le magasin affichait des étalages de réservoirs « génériques » pour toutes les marques : Epson, Canon, HP, Brother… Mais la petite affaire a bien vite été confrontée à un problème de taille : parmi les nouveaux modèles, certains ne reconnaissaient QUE le matériel « propriétaire », reconnus par une signature matériel et une signature logicielle dans la puce. Quant aux petits malins qui voulaient réinjecter de l’encre avec une seringue dans les têtes d’impression, malheur à eux, la puce traquait le niveau. Des ampoules jetables à l’iPad 2 Les trois méthodes ne sont pas toujours utilisées par les mêmes industries. Related:  Esprit Critique

Obsolescence programmée : et si le problème, c'était vous ? Depuis un an et demi que le grand public a appris la difficile expression obsolescence programmée, il ne se passe pas un jour sans qu’un journaliste, un blogueur ou des citoyens dénoncent l’affreux complot des industriels. On nous vole ! La désuétude planifiée de nos appareils serait le résultat d’une machiavélique machination ourdie dans les années 1920 par une société secrète au nom déjà lourd de menaces : le cartel Phœbus (entente entre les fabricants d’ampoules pour limiter leur durée de vie à 1 000 heures au lieu de 2 000 ou plus). Depuis, les industriels auraient systématisé le procédé en truffant les appareils électroniques de bombes à retardement, telle cette imprimante qui refuse de fonctionner en annonçant que sa cartouche est vide alors qu’elle contient encore de l’encre. D’ailleurs, tout le monde a pu le constater : les appareils électroménagers d’aujourd’hui durent beaucoup moins longtemps qu’ à l’époque de nos grands-parents. Un mythe ? D’où l’équation suivante :

L'après-démocratie (E. Werner) Détails Catégorie parente: Notes sur oeuvres Catégorie : Histoire Écrit par L'équipe Scripto « L’Après-démocratie » est un recueil de textes, dans lequel Eric Werner (EW) défend la thèse générale suivante : plus personne ne peut décemment croire que nous vivions en démocratie. Aile gauche et aile droite qui, au demeurant, font en pratique à peu près la même politique, imposée par « le vrai pouvoir ». Un vrai pouvoir qui se situe au niveau de l’hyperclasse, et de son gouvernement mondial. Nous voici dans « l’après démocratie ». Comment en est-on arrivé là ? Fondamentalement, pour EW, il s’agit tout simplement de la mise à jour de ce que la « démocratie occidentale » était de manière latente – mise à jour rendue possible par la disparition de l’ennemi. Un disparition de l’ennemi qui a levé les barrières que le système était obligé d’entretenir devant lui, pour échapper à son cours spontané… Depuis que le communisme a été vaincu, l’Occident n’a plus besoin d’entretenir une façade pluraliste.

Communication de marque | Mantalo Conseil En amont des produits ou des services, la marque tient une promesse globale qui fonde une stratégie marketing. À quoi sert une marque ? Entre la communication d’entreprise et la communication des produits, la marque représente un repère aussi précieux pour prospecter que pour fidéliser. Les professionnels du marketing associent souvent une marque à un univers. Les technologies toujours plus performantes liées à l’exploration de l’image offrent aux internautes les moyens de se projeter virtuellement dans l’univers interactif d’une marque. L’atmosphère et l’environnement sensoriel de la marque sont les leviers émotionnels que la communication de marque active en priorité. Peut-on créer facilement une marque ? En marketing, si rien n’est simple, tout est possible sous trois conditions : une vision claire du marché et de l'environnement global ;un équilibre stable entre ambitions et moyens mobilisables ;une créativité maîtrisée et ajustée à des cibles prioritaires.

Bilan du premier semestre Reprenons, point par point, l'environnement dans lequel nous avons évolué au cours de ce premier semestre. La Chine est confrontée d'une part, à une forte inflation et tente de la ralentir en montant ses taux, et d'autre part à une bulle immobilière qui ne cesse d'enfler et dont on sait qu'elle contribue largement au montant astronomique de créances pourries dans les banques évaluées autour de 540 MDS de $ soit 10 % du PIB. En outre, 2 000 des 3 000 MDS de réserve de change sont en dollar ce qui, du fait de la politique américaine, est devenue un véritable casse tête pour les autorités chinoises qui aimeraient bien se débarrasser de cette monnaie « fondante » mais qui ont du mal à trouver des acheteurs et des actifs de remplacement(pas le yen pas l'euro….). Le Japon, déjà en récession avant la catastrophe du 11 mars, est à l'agonie depuis 20 ans, avec un endettement de 225 % avant le tremblement de terre et qui sera probablement de 250 % en 2012. Bon second semestre !

Comment lutter contre l’obsolescence programmée ? Rafaele Rivais a relayé sur son blog SOS Conso, samedi 20 avril, un article largement repris et débattu au sujet de l’obsolescence programmée, notion selon laquelle la durée de vie des produits serait volontairement programmée pour être écourtée. Mais alors que le sujet est de nouveau au cœur de l’actualité, quels sont les outils à disposition des institutions publiques et des citoyens pour ne pas subir l’obsolescence des produits ? Les différents types d’obsolescence Il est courant de différencier plusieurs types de « désuétude planifiée ». En août 2012, un rapport publié par l’Ademe sur la durée de vie des équipements électriques et électroniques insistait sur la notion d’« obsolescence conjoncturelle » des produits pouvant être liée à : L’Ademe résume ces différents aspects en deux catégories d’obsolescence : Au niveau institutionnel Au niveau de la société civile Et quand vos produits sont en fin de vie, n’oubliez pas les filières de réemploi et le réseau des ressourceries.

Le capitalisme coopératif : ce que le monde rural nous apprend de l'économie Avec Georges Lewi et Pascal Perri Jean-Louis Chambon reçoit Georges Lewi, professeur à HEC et Pascal Perri, économiste, tous deux auteurs du livre Le défi du capitalisme coopératif. Ils nous invitent à entendre « ce que les paysans nous apprennent de l’économie ». Le livre Le défi du capitalisme coopératif paru chez Pearson dévoile un aspect méconnu de l'économie : les coopératives de France. Nos deux invités apportent un regard croisé sur une double actualité : la gouvernance mondiale, nationale et des entreprises, à la lumière de la crise économique et financière, et d'autre part, ce qui peut aussi apparaître comme une forme de «crise dans la crise», celle des agriculteurs et de l'agriculture. Un modèle à part ? Parler de «capitalisme coopératif» est-ce un non sens intellectuel ou sémantique, ou bien la juste prise en compte et de bon sens de la réussite du modèle économique ? La coopération replace l'Homme au cœur de l'économie. © Canal Académie - Tous droits réservés Déjà abonné ?

Obsolescence Programmée - concepts, exemples et actualités | La lutte contre le chômage est une escroquerie intellectuelle | Les dossiers Vous estimez que la lutte contre le chômage n'est, visiblement, pas la priorité de ceux qui nous gouvernent ? Vous vous étonnez qu'il n'y ait, sur ce point et depuis si longtemps, jamais de projet qui tienne la route et vous vous demandez pourquoi ? Voici la réponse. Sachez, vous qui venez de perdre votre emploi et goûtez aux joies de la précarité tant vantée par Laurence Parisot, que le chômage est voulu et planifié car il est un outil économique et psychologique indispensable au bon fonctionnement du système ultralibéral mondialisé dans lequel nous vivons. Contenir l'inflation => LIRE ICI notre article qui lui est entièrement consacré Tout cela se tient. Dérèglementer le travail et détruire les acquis sociaux Rien ne vaut le chômage, véritable aubaine pour le patronat ! Notre protection sociale (maladie, chômage, retraite…) étant dépendante des revenus de l'emploi (cotisations sociales), quand on détruit l'un, on affaiblit l'autre (déficit). La lutte contre le chômage ?

Bon usage de la piraterie par Florent Latrive A lire Après l’intégralité de la préface, nous publions un deuxième (et dernier, c’est promis !) article autour du livre de Florent Latrive « Du bon usage de la piraterie ». Il s’agit d’une lecture critique enthousiaste d’Hervé Le Crosnier, professeur à l’Université de Caen, fondateur de la liste biblio-fr, et auteur des "cent petits papiers" [1]. Le livre est publié aux Éditions Exils. Pour d’autres critiques (peut-être moins dithyrambiques ?!) Je voudrais vous faire partager mon enthousiasme pour le livre de Florent Latrive qui vient de paraître aux édition Exils : "Du bon usage de la piraterie". Il s’agit du premier livre en français qui fasse le tour de la question de la "propriété intellectuelle", et qui souligne à la fois : les dangers que portent les tentatives intégristes actuelles : la connaissance, la culture, l’information, ne peuvent être des propriétés "comme les autres", mais sont au contraire inscrites dans une dynamique collective et coopérative. Bravo Florent Latrive.

« Le capitalisme est à l’agonie » CQFD : Wikileaks, dont vous parlez beaucoup dans votre dernier ouvrage, prétend révéler les dissimulations et les mensonges des gouvernants. Pensez-vous que la vérité, dans le monde dans lequel on vit, a encore une force pratique ? Paul Jorion : La vérité a toujours eu une force pratique. Elle offre le moyen de construire des arguments qui soient à la fois cohérents et maîtrisés dans un environnement particulier. Il s’agit cependant d’une construction culturelle à partir d’arguments polémiques, et dont on peut dater l’émergence comme je l’ai expliqué dans mon ouvrage Comment la vérité et la réalité furent inventées (Gallimard, 2009). Il y a des périodes où un seuil psychologique est atteint pour les populations. La vérité en soi n’a peut-être pas autant d’impact qu’on peut l’imaginer. Mais ce qui est important ici, c’est le fait que les informations révélées par Wikileaks émergent à l’endroit où l’on avait tenté initialement de les tenir secrètes. Tout à fait.

Comment la publicité manipule vos esprits : 5 techniques auxquelles vous n’auriez jamais pensé Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi la publicité fonctionnait si bien ? Moi, je me suis longtemps demandé pourquoi on continuait à nous matraquer de publicités débiles, alors que tout le monde affirme qu’elles sont débiles. La réponse est simple : nos professionnels du marketing usent et abusent de différentes techniques de manipulation pour vous faire accepter et apprécier leurs produits. « Pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible. A partir de cette citation de Patrick Le Lay, PDG de TF1 en 2004, tout est dit, ou presque. Le big-bang publicitaire, les années 1940 Les publicités ont vu le jour dès les premiers temps de la télévision. Les publicitaires de l’époque feront alors appel aux motifs inconscients et viscéraux de la population. 1) Une technique de manipulation simple : vous rendre jaloux Lors de cette expérience, les volontaires ont été divisé en deux groupes.

Les nouveaux maîtres de la Terre | Claude Picher | Claude Picher Vous avez bien lu BRICA avec un A. C'est que le club des grands pays émergents (Brésil, Russie, Inde, Chine) vient d'accueillir une nouvelle recrue, l'Afrique du Sud (hélas, tous les médias de France parlent du BRICS, comme dans «South Africa» - en revanche, Exportation et Développement Canada utilise bien BRICA). Toujours est-il que les ministres des Finances des cinq pays se réuniront la semaine prochaine à Washington pour voir comment ils peuvent contribuer à aider les Européens à se sortir du trou. Il est loin d'être certain que cette rencontre donne des résultats impressionnants, pour trois raisons. D'abord, parce que la proposition brésilienne est accueillie assez froidement dans trois des cinq pays. D'autre part, «l'aide» que pourraient apporter les cinq pays se limitera probablement à l'achat d'obligations de la zone euro. En ce sens, l'initiative brésilienne apparaît comme un grand coup d'épée dans l'eau. N'empêche! Ce n'est pas tout. Telle est la nouvelle réalité.

Sociétés secrètes et Révolutions Qui a organisé la Révolution Française? «En dessous de la grande marée de l’histoire humaine, coulent les courants furtifs des sociétés secrètes qui, fréquemment, déterminent dans les profondeurs, les changements qui se manifestent en surface.» - Arthur Edward Wraite Benjamin Disraeli, Premier Ministre britannique de 1874 à 1880, confirma l’assertion ci-dessus relative au contrôle exercé par des sociétés secrètes dans les affaires des hommes, quand il écrivit : «Il y a, en Italie, un pouvoir que nous ne mentionnons que très rarement... Je veux parler des sociétés secrètes. Il ne sert à rien de nier, parce qu’il impossible de le cacher, qu’une grande partie de l’Europe – pour ne rien dire des autres pays – est couverte par le réseau de ces sociétés secrètes… Quels sont leurs buts ? Est-il possible que ce qu’on nomme «communisme» soit, en réalité, l’outil des sociétés secrètes? Le communisme est la façade de quelque chose de plus profond que ce qu’il prétend être.

l'économie c'est quoi ? Juste pour mettre les choses en place, une petite explication pédagogique. Lorsqu'un couple veut s'acheter quelque chose pour laquelle il n'a pas les moyens financiers. Il a le choix d'aller à la banque pour faire un prêt et le banquier lui donne X €, lui demande de faire des remboursements de "tant" par mois qui comprennent le remboursement du capital emprunté + les intérêts. C'est ainsi que les banques font de la monnaie et surtout permettent une augmentation de la richesse. Je prends cet exemple : j'emprunte 10 000 € pour acheter une voiture, j'en prends pour 4 ou 5 ans et tous les mois, je rembourse X Euros. Ici, nous avons le consommateur, l’industrie et le pouvoir financier qui sont contents et surtout l’Etat qui gagne la TVA et en fin d’année l’Impôt sur les Sociétés. J'ai aussi le choix de prendre un crédit revolving. Connerie sans fonds. Cette philosophie est tirée des travaux « l’hypothèse de revenu permanent » de Milton Friedman, Prix Nobel de l’Economie en 1976.

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