background preloader

Les jeux de société résistent au numérique

Les jeux de société résistent au numérique
Les jeux de société avaient quelque peu perdu de l'intérêt, en raison notamment du développement des supports électroniques. Mais désormais, ils reviennent sur le devant de la scène depuis quelques années, tant pour les adultes que pour les enfants et adolescents. Il faut dire que c'est un marché juteux. En France, quelque 12 millions de boîtes sont vendues chaque année. Les 44 éditeurs de jeux de société en France se partagent un marché de 240 millions d'euros avec un prix moyen de 20 euros par boîte. Si la réflexion est moteur des jeux traditionnels, les modernes font également appel à la rapidité, l'habileté ou encore l'imagination. Parmi tous ces jeux de société, on trouve des valeurs sûres, qui ont réussi à s'imposer de manière durable, comme Jungle Speed qui propose un jeu de rapidité, l'immortel Monopoly qui demeure une référence dans son domaine et qui se décline pour tous publics et dans de multiples versions.

Brève histoire des jeux de société L'Empire du Pixel Levant : Sommaire Brève Histoire des jeux de société De nos jours, on peut voir un nombre incalculable de jeux de société sur le marché. Mais à y regarder de plus près, ils sont presque tous dérivés de jeux très anciens. Les jeux précèdent l’histoire écrite. L’origine des jeux de société Les premiers jeux de société étaient des jeux de course. Ce jeu a été adopté par de nombreuses autres cultures au fil des siècles, chacune modifiant les éléments du jeu et ses règles. L’exemple le plus significatif étant celui du Jeu de l’Oie (maintes fois adaptés par des jeux vidéos) et plus récemment du « Trivial Pursuit » ou encore du jeu Othello, un grand classique connu également sous le nom de Reversi, qui après avoir quasiment disparu, a été "réinventé" par le Japonais Goro Hasegawa, qui l'appelle Othello. En plus des jeux de courses, les ancêtres de jeux comme les dames et les échecs sont également apparus très vite. Les jeux de guerre (wargames) Les jeux de rôles Conclusions

Jeux de Tafl Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une des positions de départ possible de hnefatafl sur le tablier de 13x13 cases La famille des jeux de Tafl ("table" en vieux norrois) regroupe différents jeux possédant plusieurs caractéristiques communes : Les jeux de tafl[modifier | modifier le code] Hnefatafl[modifier | modifier le code] Tawl-brwdd[modifier | modifier le code] Alea evangelii[modifier | modifier le code] Brandub[modifier | modifier le code] Brandub est un jeu irlandais qui fait probablement partie de la famille des jeux de tafl, mais on sait peu de choses sur lui. Fidchell[modifier | modifier le code] Fidchell (en irlandais moderne : ficheall) se jouait en Irlande. Ard-Ri[modifier | modifier le code] Tablut[modifier | modifier le code] Halatafl[modifier | modifier le code] Halatafl date au moins du XIVe siècle et est toujours connu et joué en Europe, sous le nom de jeu du renard et des poules (Fox and Geese (en)). Règles reconstituées[modifier | modifier le code] Le but est :

Le tablut, le hnefatafl et autres jeux nordiques A partir du 4ème siècle après JC, se sont répandus au Nord de l’Europe plusieurs jeux aux principes similaires et originaux, redécouverts aujourd’hui. Regroupés dans la famille des « Tafl » (« table » en vieux norvégien), ces jeux ont pour caractéristiques communes : un plateau de jeu carré, avec certaines cases marquées symétriquement ; des forces inégales (un joueur possédant le double de pièces que son adversaire) ; principe de prise des pièces par encadrement ; des objectifs de jeu différents et une pièce particulière, le roi. On tend aujourd’hui à penser que ces jeux sont l’adaptation d’un jeu romain, le Latrunculi, lui-même descendant du jeu grec Pettia. En effet, le principe commun de l’encadrement pour la prise et la découverte de quelques tracés de Latrunculli dans la Rome « britannique » accréditent cette hypothèse. Alors, jeux vikings ? Ils représentent aujourd’hui, de manière simpliste, le symbole ludique des vikings. Une grande variété de jeux Les principes de jeu Variantes

Les osselets, ancêtres du jeu de dés Osselets romains, dépourvus d’inscriptions, qui servaient probablement au jeu de lancer. © U. Schradler, Musée suisse du jeu, La Tour de Peilz Dans ce numéro L'auteur Elena Nikulina, biologiste spécialiste de l'évolution à l'Université de Kiel, en Allemagne, a aussi étudié les arts. À lire aussi Les soldats, après avoir crucifié Jésus, prirent ses vêtements, et ils en firent quatre parts, une pour chacun d'eux. Évangile selon saint Jean, xix, 23-24 Un osselet de mouton a un jour été jeté dans l'une des fosses à ordures d'une forteresse médiévale de Poméranie antérieure. Quel rapport y a-t-il entre les osselets et le genre de hasard que peuvent produire les dés ? Dans l'Antiquité, chacune des quatre faces larges portait un chiffre. Des dés nommés alea Fresques, vases, statues et de nombreux textes illustrent la passion des Grecs anciens et des Romains pour les jeux de dés. Dans l'Antiquité, les osselets étaient aussi des amulettes, et ils servaient à la divination. Deux types de jeu d'osselets

Dossiers : Jeux et jouets d'autrefois - Dossier Histoire Puisant ses racines dans l’Antiquité grecque, le jeu des osselets se pratique à l’aide de quatre, cinq ou huit osselets. Ces petits os proviennent du carpe du mouton ou du porc situé dans les pattes avant de l’animal. Dans l’Antiquité, c’est sous le nom « d’astragalisme », que l’on désignait ce jeu, ce nom provenant vraisemblablement du mot astragale qui servait à désigner la forme de ces petits os. Pendant le Moyen Age, le jeu des osselets semble avoir pris le nom de « jeu des bibelots ». Ce jeu, autrefois très répandu, va mener à la fabrication d’osselets en matériaux divers voire en matériaux précieux : ivoire, bronze, argent ou or par exemple... Description et évolution du jeu Un osselet présente quatre faces d’un aspect différent : des deux plus larges faces, l’une est convexe, l’autre concave. des deux plus étroites, l’une est plate, l’autre sinueuse. Suivant le rapport des auteurs de l’Antiquité, ces faces avaient chacune un nom et correspondaient à une valeur numérique : Règle

Le jeu de la Triomphe Académie des jeux oubliés La Triomphe est un jeu de cartes du début du XVIe siècle qui a introduit une hiérarchie entre les quatre couleurs – pique, cœur, carreau, trèfle – en permettant de désigner aléatoirement, au début de chaque coup, l'une d'entre elles comme étant supérieure aux trois autres. La couleur dominante a de ce fait reçu le nom de triomphe et le premier jeu ayant utilisé cette notion en a hérité de même. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, dans tous les jeux de cartes faisant appel à ce système hiérarchique des couleurs, la couleur dominante a ainsi été appelée triomphe. Pourtant, dans de nombreux autres pays le mot triomphe est toujours utilisé dans ce sens. Quant au jeu de la Triomphe, il n'est pas possible d'en donner une règle unique. Les princpes générauxLa Triomphe par équipeLa Triomphe individuelleL'As qui pille 1. La Triomphe est un jeu de levées qui se joue entre plusieurs joueurs avec un jeu de 32, 36, ou 52 cartes. 2. 2. 1 Supériorité de la triomphe 2.6 La vole 3. 1.

La Drogue, un jeu de cartes oublié. · Desaix Cette gravure ancienne nous rappelle qu’il existait autrefois un jeu de cartes que les militaires et les matelots appréciaient, c’était le jeu de la « Drogue ». « La drogue est une sorte de jeu de cartes, aux complications très simples, assez semblable à la bataille, et fort en usage chez les soldats et les matelots. Ce jeu a plusieurs avantages: d’abord on ne peut pas y avanturer d’argent; ensuite il adoucit l’humeur et fait comprendre la plaisanterie. Le perdant, à chaque partie, est obligé de se mettre sur le nez un morceau de bois fourchu, pareil aux épingles des blanchisseuses, appelé drogue, qu’il garde jusqu’à ce qu’il ait gagné à son tour. Mais s’il perd plusieurs parties de suite, les drogues superposées lui édifient sur le nez une espèce de télégraphe bizarre très embarrassant, surtout quand on est camus, ce qui égaye vivement les spectateurs. Atout ! C’est après la bataille de Magenta que M.Armand Dumaresq a fait, d’après nature, ce tableau . Colonel, trois mandrins!

Piquet (jeu de cartes) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le piquet est un jeu de cartes qui se joue principalement à deux avec un jeu de 32 cartes. Le piquet est un des plus anciens jeux de cartes à nous être parvenu. Le piquet a pris son essor en France où on a longtemps considéré qu'il y était né puis s'est exporté notamment vers l'Angleterre et l'Allemagne où il a là aussi rencontré le succès. Les cartes suivent la hiérarchie suivante, de la plus forte à la moins forte : L'as vaut 11 points, chaque figure 10 points. Chaque joueur tire une carte, celui qui tire la plus basse devra donner le premier. Le premier joueur écarte de son jeu une à cinq cartes qu'il ne souhaite pas garder ; il est tenu d'en écarter au moins une. Si un joueur n'a reçu lors de la donne aucune figure, on dit qu'il a cartes blanches. Il s'ensuit alors une phase de déclaration : le premier joueur dit quelles combinaisons il a pu former avec ses cartes, le second lui annonçant à chaque fois s'il en a de meilleures en main.

Related: