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Louise Michel

Louise Michel
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Louise Michel Louise Michel, gravure de Néraudan. Préoccupée très tôt par l'éducation, elle enseigne quelques années avant de se rendre à Paris en 1856. Elle demeure aujourd'hui une figure révolutionnaire et anarchiste. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Louise Michel en 1839. Louise Michel naît le en Haute-Marne au château de Vroncourt, fille de la servante Marie-Anne Michel[N 1] et « de père inconnu », vraisemblablement Laurent Demahis, fils du châtelain[1],[2]. Après la mort des Demahis en 1850, Louise est dotée par eux d'un petit pécule, mais elle et sa mère doivent quitter la maison de Vroncourt mise en vente par la veuve et les enfants légitimes de Laurent Demahis[4]. À Paris[modifier | modifier le code] En août 1870, à 40 ans, en pleine guerre franco prussienne, elle manifeste contre l'arrestation des blanquistes Eudes et Brideau[5]. La Commune[modifier | modifier le code] Louise Michel à Nouméa. Related:  Femmes rebelles, femmes fortes

Marie-Angélique le Blanc Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Le Blanc. Biographie[modifier | modifier le code] Ce dont on est certain et qui est attesté par des documents d'archives la mentionnant explicitement concerne sa vie entre sa capture à Songy et sa mort à Paris : son inscription au registre des entrées de l'hospice Saint-Maur de Châlons-en-Champagne, son acte de baptême, la mention de ses pensions dans les registres royaux, l'inventaire de ses possessions après décès. Les articles du Mercure de France ont été rédigés peu de temps après sa capture et sont donc de première main. Toutefois, il n'est pas totalement exclu que les journalistes de l'époque ait déjà voulu verser dans le sensationnalisme et exagéré certains faits. Selon Mme Hecquet et Charles de la Condamine qui se sont entretenus avec elle vers 1754-55 : Cependant, dans cet ouvrage, Mme Hecquet fait elle-même part de ses doutes au sujet de l'âge de Marie-Angélique. Notes[modifier | modifier le code]

Nestor Makhno Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nestor Ivanovitch Makhno (Нестор Іванович Махно), né le 26 octobre 1889 à Goulaï-Polié (oblast de Zaporijia) et mort à Paris le 25 juillet 1934, est un communiste libertaire[1] fondateur de l'Armée révolutionnaire insurrectionnelle ukrainienne qui, après la révolution d'Octobre et jusqu'en 1921, combat à la fois les Armées blanches tsaristes et l'Armée rouge bolchévique. En 1910, il est condamné aux travaux forcés à perpétuité pour « activités terroristes ». Libéré après la révolution de Février, il rentre à Gouliaï-Polié et participe à l'organisation des soviets de paysans et d'ouvriers. En 1918, après la signature du Traité de Brest-Litovsk qui livre l'Ukraine à l'Allemagne, il organise un mouvement de résistance armée qui poursuit les combats contre l’Armée des volontaires du général tsariste Denikine. En 1919, les groupes de guérilla se transforment en une véritable armée, la Makhnovchtchina qui compte jusqu'à 50 000 hommes.

L'affaire Boulin "Que voulez-vous que je réponde ? J'ai l'âme et la conscience tranquilles, et j'ai été exemplaire... Peut-être plus encore que vous ne le pensez, parce qu'il y a des choses que je ne peux pas dire ici Sur cette phrase se termine la dernière prestation publique de Robert Boulin : il vient de répondre pendant plus d'une heure aux questions des journalistes du Club de la Presse d'Europe 1 du dimanche 21 octobre. La dernière question porte sur l' "affaire de Ramatuelle". La question, au Club de la Presse, ne le surprend pas, ne le choque pas. Personne ne se doute, alors, qu'il les dira - et dans quelles circonstances dramatiques ! Sept jours après le Club de la Presse, le dimanche 28 octobre, seul dans son bureau en son domicile de Neuilly, Boulin s'installe devant sa machine à écrire et tape, à deux doigts, plusieurs lettres. Boulin déjeune ensuite dans son appartement du ministère, avec son fils Bertrand, et son gendre, Eric Burgeat. La soirée se passe. Une lettre à la famille "Navrant !"

Colibris ning Agnès Troublé Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Agnès Troublé Agnès b. par Gaspar Noé Biographie[modifier | modifier le code] Elle a épousé le 17 avril 1979 en secondes noces Jean-René Claret de Fleurieu (beau-fils de Pierre Mendès France) avec qui elle a eu deux filles. Agnès Troublé parraine le tribunal Russell sur la Palestine[4], « tribunal populaire international créé par des hommes et des femmes engagés dans la promotion de la paix et de la justice au Moyen-Orient ». Elle est la sœur de Bruno Troublé, fondateur et organisateur de la Coupe Louis-Vuitton. En 2012, elle réalise son premier long métrage, Je m'appelle Hmmm..., sorti en 2013 (en France en 2014). Réalisatrice[modifier | modifier le code] 2013 : Je m'appelle Hmmm... Prix et distinctions[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : agnès b., sur Wikimedia Commons

Internationale situationniste Formellement créée en juillet 1957 à la Conférence de Cosio di Arroscia, l'Internationale situationniste est née du rapprochement d'un ensemble international de mouvements d'avant-garde, dont l'Internationale lettriste (elle-même issue d'une rupture avec le Lettrisme d'Isidore Isou), le Mouvement international pour un Bauhaus imaginiste, le Comité psychogéographique de Londres et un groupe de peintres italiens. Son document fondateur, Rapport sur la construction de situations…[1], a été rédigé par Guy Debord en 1957. Dans ce texte programmatique, Debord pose l'exigence de « changer le monde » et envisage le dépassement de toutes les formes artistiques par « un emploi unitaire de tous les moyens de bouleversement de la vie quotidienne ». Au début, les Situationnistes ont fait parler d'eux pour leur utilisation du calembour comme arme politique, tournant en dérision l'art contemporain pour démontrer l'inanité et le superficiel d'une culture dite bourgeoise. 15 mai 1968 : 16 mai 1968 :

Off de Sarkozy: un journaliste de Rue89 mis en examen - L'EXPRESS Un journaliste du site Rue89 a été mise en examen ce vendredi 11 juin pour "recel", après une plainte de France 3 concernant la diffusion de propos tenus hors antenne par Nicolas Sarkozy il y a deux ans. Augustin Scalbert est passible d'une peine de 5 ans de prison et 375 000 euros d'amende, en théorie autant que Jérôme Kerviel. "Des poursuites au doux parfum de vendetta présidentielle contre un journaliste indépendant", estime Pierre Haski, directeur du site d'information. Cette mise en examen fait suite à une plainte déposée le 8 juillet par France 3 pour "vol, recel et contrefaçon" après la diffusion sur internet, en particulier sur Rue89, d'une vidéo montrant Nicolas Sarkozy hors antenne, avant un passage au journal "19/20" le 30 juin 2008. Sur cette vidéo, visionnée à plusieurs centaines de milliers de reprises, le Président semblait irrité parce qu'un technicien de France 3 ne lui avait pas rendu son salut avant l'interview.

L'Appel des Appels - Remettre l'humain au cœur de la société Adélaïde Hautval Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Adélaïde Hautval, surnommée Heidi, née le 1er janvier 1906 au Hohwald (Bas-Rhin), morte le 12 octobre 1988, est un médecin psychiatre français, déportée dans les camps de concentration nazis reconnue Juste parmi les nations. Biographie[modifier | modifier le code] Surnommée Heïdi, Adélaïde est la fille du pasteur Hass[1]. Adélaïde Hautval fait ses études de médecine à Strasbourg puis travaille dans des hôpitaux et des instituts neuro-psychiatriques[2]. Son arrestation a lieu en avril 1942, dans le train, alors qu'elle traversait la ligne de démarcation à Vierzon pour des raisons personnelles[2]. Sa qualité de médecin est reconnue au bout de quelques jours et elle devient médecin dans un des revier [n 1] de Birkenau[2]. Adélaïde Hautval est par la suite de nouveau affectée comme médecin au camp[2]. N'appartenant à aucun réseau ou organisation de résistance, Adélaïde Hautval n'obtient qu'avec difficultés une carte de déportée résistante[2].

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