5 tests faciles pour voir tout ce que Google sait sur vous Google vous connaît mieux que certains de vos proches, et ce grâce aux traces que laissent vos actions sur ordinateur ou sur smartphone, collectées par défaut. Et si vous ne nous croyez pas, vous n'avez qu'à vérifier en 5 étapes ce que le géant du web sait sur vous (pour cela, il vous faudra sans doute vous connecter à votre compte Google) : 1. Les sites sur lesquels vous surfez, les recherches effectuées sur Google ou encore les vidéos que vous visionnez sur YouTube... Pour voir ce que Google sait de vos centres d'intérêt, cliquez-ici. Astuce : Sachez qu'il vous est possible de désactiver la proposition d'annonces basées sur vos centres d'intérêt, mais pas de les supprimer totalement. 2. Le GPS installé dans votre smartphone, Google Maps, est une mine de renseignements pour Google, qui garde ainsi une trace de tous vos déplacements. Pour voir ce que Google sait de vos déplacements géographiques, cliquez-ici. 3. 4. Les services proposés par Google sont plus nombreux que vous le pensez.
De l'identité numérique à la présence numérique : quelles notions à aborder Voilà maintenant plusieurs années que j’aborde l’identité numérique avec les élèves. C’est dans le projet de l’établissement de les sensibiliser à ces notions d’identité numérique, et de dangers et dérives du net. Mes séances sont complétées par l’intervention de l’Adjudant Aznar, gendarme spécialiste en cybercriminalité Il insiste auprès des élèves sur la vigilance qui doit être de mise autour de leurs publications sur Internet, ainsi que sur toutes les questions de paramétrages de Facebook, en partant de cas concrets rencontrés dans le cadre de ses missions. Ainsi, il prend en charge tout l’aspect « défensif » et prévention » en particulier sur les réseaux sociaux. Mais la présence numérique va au-delà de ça et avec cette séance, j’essaie de dépasser le cliché « danger du net ». Quels sont mes objectifs ? Cette séance est à replacer aussi pour chaque niveau dans une certaine progression : -En 5e, elle fait suite à la séance proposée en éducation civique sur l’identité numérique Etape 1.
Big Data : pourquoi nos métadonnées sont-elles plus personnelles que nos empreintes digitales A l’occasion du colloque « la politique des données personnelles : Big Data ou contrôle individuel « organisé par l’Institut des systèmes complexes et l’Ecole normale supérieure de Lyon qui se tenait le 21 novembre dernier, Yves-Alexandre de Montjoye (@yvesalexandre) était venu présenter ses travaux, et à travers lui, ceux du MediaLab sur ce sujet (Cf. « D’autres outils et règles pour mieux contrôler les données » ). Yves-Alexandre de Montjoye est doctorant au MIT. Il travaille au laboratoire de dynamique humaine du Media Lab, aux côtés de Sandy Pentland, dont nous avons plusieurs fois fait part des travaux. Nos données de déplacements sont encore plus personnelles que nos empreintes digitales Faire correspondre des empreintes digitales n’est pas si simple, rappelle Yves-Alexandre de Montjoye. Image : illustration de l’unicité de nos parcours repérés via des antennes mobiles. Et Yves-Alexandre de nous inviter à retrouver un de ses collègues du Media Lab. Hubert Guillaud
Les fiches et infographies Internet Attitudes - Comprendre et utiliser Internet Mis à jour le 24/08/17 par Jean-Christophe Olivier Le nouveau kit Internet Attitudes mis à jour en Aout 2017 est disponible en téléchargement ci-dessous, il se compose de 10 fiches et de 3 infographies à destination des lycéens, parents et formateurs pour apprendre à utiliser Internet et les outils numériques de manière raisonnée, en toute sécurité. Télécharger le kit Internet Attitudes nouvelle version 08 2017 (fiches A4 livret A5) Les 5 premières fiches : Blog / Cartes Mentales / Droits et Internet / E-Réputation / Information en ligne Les 5 autres : Jeux en Ligne / Maitrise des Outils / Outils Numériques / Réseaux Sociaux / Smartphones Infographies Vous pouvez télécharger les fiches et infographies unitairement ci-dessous : Les fiches Internet Attitudes Les infographies :
Surveillance : pour une autre politique des algorithmes «Lorsque les algorithmes sont devenus capables de détecter des comportements d’achat en ligne, je n’ai rien dit car je n’achetais que très peu en ligne. Lorsqu’ils ont détecté des comportements terroristes, je n’ai rien dit car je n’étais pas terroriste. Lorsqu’ils ont détecté des comportements de joueurs compulsifs je n’ai rien dit car je n’étais pas un joueur compulsif. Lorsqu’ils ont détecté l’ensemble de mes comportements, il ne restait plus personne pour protester.» Voilà où nous en sommes aujourd’hui, c’est-à-dire en 2015. Car sauf à réclamer un retour à l’éclairage à la bougie, nul ne peut aujourd’hui prétendre s’abstraire totalement de cette détection, et donc de cette surveillance algorithmique. Nul ne peut également, sauf au prix d’une grande naïveté, prétendre la réguler par le seul levier de la législation, fut-elle la plus contraignante possible. La première réponse à ces questions se trouve du côté de l’éducation. Olivier Ertzscheid
Marc L*** Mis en ligne le mercredi 7 janvier 2009 ; mis à jour le mardi 28 avril 2009. Bon annniversaire, Marc. Le 5 décembre 2008, tu fêteras tes vingt-neuf ans. Tu permets qu’on se tutoie, Marc ? J’ai eu un peu peur, au début, d’avoir un problème de source. Alors, Marc. Revenons à toi. On n’a pas parlé de musique. J’ai triché, une fois : pour avoir accès à ton profil Facebook (ce qui m’a bien aidé pour la suite), j’ai créé un faux profil et je t’ai proposé de devenir mon « ami ». Je pense à l’année 1998, il y a dix ans, quand tout le monde fantasmait déjà sur la puissance d’Internet. À la demande de l’intéressé, ce texte a été entièrement anonymisé et modifié (villes, prénoms, lieux, etc.) à la différence de la version parue dans Le Tigre en papier, dont seuls les noms propres des personnes citées étaient anonymisés.
Diffuser ses résultats de veille La diffusion des résultats d’une veille est, contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, l’un des exercices les plus complexes du processus de veille. Il existe effectivement de nombreuses manières de diffuser l’information et le choix parmi ces manières dépendra des compétences du veilleur (un consultant et un analyste se chargeront d’analyser l’information pour en tirer des recommandations stratégiques, un documentaliste la collectera et éventuellement la triera), mais également des exigences de son/ses client(s) interne(s)/externe(s). Si ces derniers n’ont aucune connaissance sur les manières de diffuser l’information récoltée, il est important de pouvoir leur présenter un éventail des solutions potentielles: Via ce schéma, j’ai essayé de synthétiser les différentes méthodes de diffusion des résultats d’une veille. Dans ce schéma, deux méthodes principales sont présentées: Beaucoup d’outils permettent aujourd’hui d’agréger ses résultats de veille et de les diffuser. La présentation
Le contenu posté sur les réseaux sociaux vous appartient-il ? - Cabinet d'Avocats Mathias Lorsque vous publiez une image sur Twitter, vous la partagez avec l’ensemble de vos contacts, qui pourront à leur tour la rendre accessible sur leur compte en la « re-twittant ». Les réseaux sociaux ont une vocation de partage, et incitent fortement les utilisateurs à faire circuler entre eux le contenu qu’ils postent sur la plateforme. Pour autant, comment se traduit ce partage en terme de droits d’auteur ? La décision du 14 janvier 2013, Daniel Morel v. La question vient d’être posée à un tribunal new-yorkais par un photographe qui a vu ses clichés postés sur Twitter être publiés sans son consentement par les plus grands organismes de presse. En effet, en janvier 2010, l’un des rares photoreporters présents en Haïti au moment du séisme, Daniel Morel, publie les premiers clichés de la catastrophe sur son compte Twitter. Cependant, la décision repose en grande partie sur la lecture des conditions générales d’utilisation (ci-après CGU) de Twitter.
Droit à l'image et photo de rue : partie 1 La photo de rue est un domaine où l’on entend souvent des choses très contradictoires sur ce qu’il est permis ou non de faire. Selon Bernard Jolivalt*, arpenteur photographique des rues depuis 1967, les années 1990 ont importé des États-Unis une culture procédurière qui a fait beaucoup de tort à cette pratique. Les années 2000 et la prolifération des appareils photo numériques n’ont fait qu’accentuer la méfiance voire l’agressivité des passants à l’encontre des photographes, amateurs et professionnels. Cette tension est aussi le résultat d’excès en tous genres, de la part des photographes comme des dispositions du droit à l’image. © Bernard Jolivalt Principes de base Le droit à l’image s’applique dans trois grands domaines : pour les personnes, les biens (qui incluent les propriétés et espaces privés) et les œuvres. Sur le principe, on ne peut pas empêcher la prise de vue. Le droit à l’image des œuvres (architecture) © Bernard Jolivalt Le droit à l’image des personnes © Bernard Jolivalt
Mes datas et moi (Re)Prendre en main son identité numérique et ses données personnelles. Description : L’utilisation des données collectées par des tiers au travers d’une multiplicité d’activités numériques relève de mécanismes complexes peu connus du grand public. Mes Datas et Moi contribue à l’amélioration de l’état des connaissances sur les risques numériques et à la nécessaire protection des données personnelles. Publics Jeunes à partir de 13 ans et tout public adulte. Accès Comment ça marche ? L'écosystème Mes datas et moi est structuré en trois grandes parties : Des “ sites expérience ” qui permettent de sensibiliser et d’éduquer aux risques numériques, de tester son e-réputation sur les réseaux sociaux, Facebook et Twitter, de manière ludique et sensorielle et de recueillir des réponses à des questionnaires interactifs qui alimentent les données statistiques de l’Observatoire. S’abonner à la Newsletter mensuelle Mes datas et moi L'application Mes datas et Moi Télécharger l'application Un partenariat
Conditions d’utilisation des images Allez au contenu Allez au menu principal Allez à la recherche Change language Accessibilité Soutenez le Louvre Accueil>Conditions d’utilisation des images Conditions d’utilisation des images Les règles à connaitre Les reproductions iconographiques et photographiques des œuvres présentées dans ce site avec une signature ou un "©" sont protégées au titre du droit de la propriété intellectuelle. Parmi ces informations publiques culturelles, seules peuvent être réutilisées au sens de la l'article 11 de la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 les photographies et textes aux conditions définies ci-après : - Les photographies créditées © Musée du Louvre / [ …] sont la propriété exclusive du musée du Louvre et sont utilisées par le musée du Louvre avec l’autorisation de leurs auteurs ou ayants-droits. - Les photographies créditées © RMN / [ …] sont la propriété de la RMN. Informations pratiques Horaires : Ouvert tous les jours de 9h à 18h sauf le mardi Nocturnes jusqu’à 21h45 le mercredi et le vendredi
16 "nouvelles" banques d'images "libre de droit" Il y a un an j’ai sorti un billet intitulé « 50 banques d’image libre de droit », depuis j’ai ajouté, puis retiré certains services internet ce cette liste, mais j’en ai ajouté plus que j’en ai retiré, total, aujourd’hui, j’en suis à 74 Banques d’images gratuites, est j’imagine que la liste va continuer à croître. Depuis que je fais cette veille, je me dis en fait que le mieux est tout de même produire nos images nous-même et de fabriquer une base de données personnelle. C’est ce que je fais sur flickr et aussi sur tumblr et maintenant sur 500px (ok sur ce dernier site je n’y ai mis que cinq photos). En tout cas, pour ceux qui manquent de temps ou d’inspiration, voilà la nouvelle liste de 16 nouveaux sites dénichés depuis un an et la liste complète est sur les 74 Banques d’images gratuites. Collections.tepapa.govt.nz 30 000 images gratuites à télécharger dont 17 000 totalement libres de droit. Je continue ma veille sur le sujet!
Des bandes dessinées gratuites et « libres de droits » Accueil > Formations et ressources > Liste des répertoires > Des bandes dessinées gratuites et « libres de droits » Recommander cette page à un(e) ami(e) Digital Comic Museum (DCM) est un site web dédié aux Comics tombés dans le domaine public et publiés au cours de l'âge d'or (« Golden Age ») de la bande dessinée américaine (1938-1945). L'objectif de DCM est d'offrir un accès gratuit à des centaines de bandes dessinées publiées avant 1959, numérisées et téléversées sur la plateforme par les utilisateurs. Bien évidemment, les modérateurs et administrateurs du site veillent tout particulièrement à éviter la mise en ligne de bandes dessinées protégées par le droit d'auteur (copyright). D'autres initiatives comme Comic Book + et BDzFR s'inscrivent dans la même démarche de mise à disposition de bandes dessinées « libres de droits ». Sources Digital Comics Museum : Niveau : Populaire Sujets : Arts graphiques - Peinture - Dessin
Le PACIFI vu par le Café pédagogique Par Blandine Raoul-Réa, dessin Fred Yvetot Ce parcours, coordonné par Jean-Louis Durpaire (IGEN EVS) et Mireille Lamouroux (CRDP - Versailles) est le fruit d’un groupe de travail composé de professeurs documentalistes, d’enseignants chercheurs et d’IA IPR EVS. « Celui-ci doit permettre à l’élève de se forger des compétences en matière d’information, selon une progression appuyée sur des situations de complexité croissante de la sixième à la terminale. » (JL Durpaire, IGEN) Un appui pour les documentalistes, mais pas seulement... Nicole Boubee et Brigitte Simonnot, maîtres de conférence, rappellent dans leur texte d'introduction : « Les activités informationnelles et documentaires sont des pratiques primordiales au cœur des apprentissages... En quoi ce PACIF peut-il servir le professeur documentaliste au sein de son établissement scolaire ? Parcours, un mot important Parcours, ce mot a tout son sens dans le travail des équipes éducatives. Dix fiches, dix domaines, dix capacités, dix attitudes