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Frédéric Lordon

Frédéric Lordon

Frédéric Lordon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Frédéric Lordon Frédéric Lordon en août 2011. Frédéric Lordon est un économiste et philosophe français d'inspiration spinoziste[1] né le . Il est directeur de recherche au CNRS et chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE)[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Élève de l'École nationale des Ponts et Chaussées (promotion 1985) et de l'Institut supérieur des affaires (promotion 1987)[3]. Il soutient sa thèse de doctorat en 1993 à l'EHESS avec le sujet : Irrégularités des trajectoires de croissances, évolutions et dynamique non-linéaire. Ses travaux comportent notamment un programme de recherche spinoziste en sciences sociales[5] et en sociologie économique[6]. Il mobilise et réinterprète le conatus spinozien et, ce faisant, se dégage de l'emprise du structuralisme althusserien pour réintroduire la dimension de l'action des individus-sujets au cœur des rapports sociaux, au cœur des sociétés[9]. Le SLAM[modifier | modifier le code]

Le commencement de la fin Pareilles aux images aériennes du front de tsunami avançant inexorablement vers une côte japonaise dont le sort est scellé, le déploiement de la crise financière depuis trois ans donne une impression d’irrésistible fatalité, avec en prime cette sorte d’incrédulité un peu stupide de dirigeants qui croient encore pouvoir tout sauver quand tout est déjà compromis. Un choc de la magnitude de la crise dite « des subprime », crise dont on ne redira jamais assez qu’elle a été celle de la finance privée, était voué à produire, via le canal du crédit, une récession dont les conséquences sur les finances publiques s’annonçaient désastreuses. Plus encore impliquées dans la détention de titres souverains qu’elles ne l’ont été dans les titres privés hypothécaires, un choc massif dans l’un puis l’autre compartiment menace de mettre à bas tout le système des institutions financières. Quand les agences font de la politique Les Etats-Unis à leur tour dans la lessiveuse Le chaos cognitif de la finance

Climat Que représente 1 tonne de CO2 ? 1 tonne de CO2 =* 8,3 années de chauffage à pompe à chaleur électrique d’ un logement de 60 m2* 1 année et demi de chauffage au gaz d’un logement de 60 m2* 4 000 km parcourus en voiture, 399,89 ppm C'est la concentration de C02 dans l'atmosphère en 2013 contre 390 ppm en 2012 et 385, 99 ppm en novembre 09 On considère que la limite qu'il ne faudrait pas dépasser devrait être 350 ppm ; mais ce niveau a constamment été dépassé depuis 1988. 276,80 ppm C'était la concentration de C02 dans l'atmosphère en 1744 17Climat et océans. 2010L'année 2010 aura été l'année la plus chaude depuis 1880 selon l'Organisation météorologique mondiale. 2010 est ex aequo avec 2005 et 1998. 62 %Climat et sondages. 4°CRéchauffement climatique. Banquise et climat. Or, elle joue un rôle très important sur le plan climatique en reflétant les rayons du soleil alors que l'océan libéré de toute glace absorbe plus de chaleur. 60 bonnes résolutions pour le quotidien

De quoi est fait la crise économique qui nous plombe Mardi 27 décembre 2011 2 27 /12 /Déc /2011 13:13 Si il faut retenir un seul fait de l'année 2011, on retiendra sans doute l'actualité redondante de ces réunions et sommets "de la dernière chance" où les chefs d'Etat devaient chercher des solutions pour sauver la France, l'Europe ou le Monde. Toute l'année, l'information a été saturé par la redondance de cette mise en scène de l'angoisse qui a fini par personnifier la Crise toute entière. Mais la crise est-elle seulement ce déficit budgétaire abyssal et ce triple A en perdition? Prenons de la distance et changeons de siècle. Le 14 juillet 1989, les parisiens qui prennent d'assaut la prison d'Etat, à la Bastille, savent-ils qu'ils déclenchent une révolution qui va bouleverser leurs vies, leur pays et l'Europe toute entière? Revenons à notre Crise : la crise financière est mise en avant mais elle révèle la crise de l'Etat fragilisé. Partager l'article ! inShare

« ISLAMOPHOBIE » : le mot qui gêne L’éditocratie n’aime pas être confrontée à l’islamophobie ambiante : elle a donc entrepris de réécrire l’histoire de ce mot. En 2003, l’éditocrate Caroline Fourest explique – sans toutefois produire à l’appui de cette assertion la moindre citation précise – que « le mot “islamophobie“ a été pour la première fois utilisé en 1979, par les mollahs iraniens qui souhaitaient faire passer les femmes qui refusaient de porter le voile pour de “mauvaises musulmanes“ ». Deux ans plus tard, elle dénonce, dans un burlesque essai (qui lui vaudra d’être distinguée par très chiraquien Jean-Louis Debré), le « piège du mot “islamophobie“ », qui a (cette fois-ci) été fabriqué, explique-t-elle, par « certains groupes islamistes anglais » soucieux de se poser en « victimes » pour mieux faire taire « les critiques contre l’islam » - et qui seraient soutenus dans l’installation de ce « piège sémantique » par « le Parlement musulman de Grande-Bretagne, l’organe représentatif des musulmans anglais ».

Fabrice Nicolino Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En 1988, il a participé au lancement de l'hebdomadaire Politis, qu'il a quitté en septembre 1990, avant de reprendre une collaboration régulière entre 1994 et 2003. Il a écrit dans le magazine Terre Sauvage entre 1994 et 2011; il est chroniqueur au quotidien La Croix depuis 2003. Il est également le fondateur, avec Dominique Lang, des Cahiers de Saint-Lambert, revue dont le sous-titre est Ensemble face à la crise écologique. Fabrice Nicolino écrit des articles sur le thème de l'écologie dans l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo depuis le mois de janvier 2010. Publications[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Lordon : « Le soulèvement ou la table rase par l'effondrement » Le 15 janvier 2011, Frédéric Lordon, économiste hors sérail microcosmique, était invité à une conférence organisée par Attac et Mediapart sur le thème : « Quel remède à la crise démocratique européenne ? » Frédéric Lordon décida de répondre à cette question « sans circonvolutions inutiles ». « Ma réponse, c’est : le soulèvement ou bien la table rase par l’effondrement financier. » La “démocratie” des marchés La démocratie représentative n’existe plus, pose Frédéric Lordon en citant le cas du référendum de 2005 et en pointant les pions Papademos et Monti avancés sans scrupules par la troïka financière (BCE, Commission européenne, FMI) au mépris de toute souveraineté populaire. La loi des marchés (ces « tiers inclus au contrat social ») règne en maître. Citant la récente dégradation de la France, Frédéric Lordon relativise l’importance d’agences de notation parfaitement « périphériques ». S’attaquer à la structure d’ensemble La reconstruction, mais avec qui ?

Comment les mécanismes de marché contribue à la détérioration du climat Les équilibres écologiques peuvent-ils être rétablis sans sortir des mécanismes de marché ? Les thuriféraires du capitalisme veulent y croire et citent des exemples d’application réussie de leurs recettes libérales, notamment aux Etats-Unis. A les entendre, l’octroi de « droits de polluer » échangeables sur le marché mondial permettrait même de relever sans douleur le grand défi de ce siècle – le changement climatique. Deux types de mécanismes de marché peuvent être mis en oeuvre dans le cadre d’une politique environnementale : les écotaxes et le commerce de droits d’émission contingentés. En principe, la fixation de plafonds d’émission est préférable du point de vue environnemental. Le vrai bilan du « cap and trade » aux USA Une des premières expériences de « cap and trade » outre-Atlantique avait pour but d’éliminer le plomb dans l’essence. L’échange de droits est donc loin d’avoir prouvé sa supériorité environnementale à travers la lutte contre les pluies acides. Notes [2] Curtis A.

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