Média alternatif
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Difficiles à cerner précisément, une définition[1] présente qu'ils véhiculent des idées et informations habituellement peu diffusées dans les grands médias commerciaux. Aujourd'hui, les médias alternatifs peuvent revêtir des formats « traditionnels » (journaux, radio, magazine…) ou qui le sont moins : journalisme en ligne, magazines en ligne (webzine) et autres supports virtuels, multimédia dans Internet. Historiquement, les média alternatifs ont accompagné l'évolution des techniques de communication : presse alternative, radios alternatives, associatives (dès les années 1970), télévisions alternatives, Internet alternatif. Internet a également donné un second souffle aux radios libres associatives, grâce à la la technique de streaming (voir également webradio). Historique[modifier | modifier le code] Essai de synthèse théorique[modifier | modifier le code] Communication et médias alternatifs: entre polémiques et paradoxes. Usage de la technique.
Mediapart
USA : 10 chiffres qui disent tout
6 novembre 2012 Article en PDF : « It’s the economy, stupid ! » (C’est l’économie qui importe, idiot !). Réponse : Qu’allons-nous faire ? Le problème n’est pas « Quel président ? Le problème est plutôt : « Comment résister à la politique impériale des USA ? Source : Investig'Action Dessins : Yace Haut de la page - Accueil
Les nouveaux chiens de garde
Les médias se proclament « contre-pouvoir ». Pourtant, la grande majorité des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir. Au sein d’un périmètre idéologique minuscule se multiplient les informations prémâchées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices et les renvois d’ascenseur. En 1932, Paul Nizan publiait Les Chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en gardiens de l’ordre établi.
Investig’Action
Le Grand Soir
accueil et nouveautés
Orphelins de laboratoire (par Liam Scheff) Pendant que des enfants meurent en direct à Besla devant les téléviseurs du monde entier, d’autres agonisent en silence entre les murs blancs d’une clinique, à l’abri des regards indiscrets. Pour ces orphelins séropositifs il n’y aura pas de couverture médiatique ou si peu. Un hebdomadaire, le New York Press, a néanmoins brisé le silence religieusement observé par la grande majorité des media sur la controverse des dissidents du SIDA en publiant un article décapant de Liam Scheff ; un journaliste engagé qui signe ici une enquête sur les études pharmacologiques menées à Washington sur des enfants abandonnés.
CROM.be - Le Centre de Recherches sur l'Ordre Mondial - dirigé par Joël Labruyère
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