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Analyser une oeuvre d'art avec un tableau blanc interactif, un exemple

Le document ci-dessous présente quelques pistes d’usage pédagogique d’un tableau interactif pour analyser une œuvre d’art, le retable des Sept Sacrements de Rogier van der Weyden. Comme toute autre œuvre, ce retable nécessite de confronter les élèves, leurs représentations mais aussi leurs structurations encore inachevées du temps et de l’espace, avec la vision d’un artiste. Or ces conceptions sont parfois très éloignées. Si les différences de dimensions sont aisément perçues par un élève de 5e comme significatives d’importances ou de statuts inégaux, il n’en est pas de même de la conception "feuilletée" du temps (J. Il nous a semblé intéressant d’élaborer un document interprétatif compréhensible par les élèves et le professeur. élaboration du plan de l’église représentée sur le retable ; description-interprétation des groupes de personnages. Lors de la réalisation du schéma interprétatif, l’usage d’un tableau numérique interactif a présenté de nombreux atouts :

Annoter une vidéo Exploiter une vidéo en classe nécessite de pouvoir, à tout moment, faire un arrêt sur image pour mettre en valeur un plan, une situation, annoter l’image, pointer des éléments, les isoler, les étudier… L’apport du TNI est alors décisif, grâce aux fonctions de son lecteur vidéo intégré ou aux possibilités d’annotation de Bureau. Utiliser le Lecteur de support Workspace Lorsque l’on projette, sur le tableau numérique, une vidéo à l’aide du lecteur de support Workspace [1], on dispose des fonctions d’annotation intégrées à ce lecteur. Les outils d’annotation disponibles sont le Stylo et le Surligneur, dont on peut modifier la couleur et l’épaisseur. Trois options du lecteur permettent de définir le comportement que l’on souhaite attribuer aux annotations effectuées. La première, Mettre la vidéo en pause à la réalisation d’une annotation, évite d’avoir à cliquer sur le bouton Pause du lecteur (en bas à gauche) pour effectuer une annotation. Utiliser le mode Annoter sur le bureau

Carnets de voyage pour l’épreuve d’histoire des arts au DNB Par Françoise Solliec Au collège de la Vigière, dans le Cantal, ce sont des carnets de voyage qui serviront de support à l’épreuve d’histoire des arts du brevet. Leur réalisation est l’aboutissement d’un projet qui fait aborder artistes peintres et architectures, une mise en comparaison Paris Londres et une réflexion sur urbanisme et ruralité. L’an dernier, à la demande du professeur d’anglais, un voyage scolaire devait permettre aux élèves de 3ème de découvrir Paris et Londres. Les 2 classes de 3ème, soit 40 élèves, ont donc été impliquées dansce projet qui a démarré dès la fin septembre avec une exposition itinérante du CRDP de Clermont sur les carnets de voyage, installée au CDI, explique le professeur d’anglais. Le contenu du carnet comprend trois parties : les artistes plasticiens, une comparaison France et pays anglo-saxons au travers de 4 peintres, Turner, Monet, Pollock et Rothko les architectures (gothique, victorienne, verre et fer, industrielle, contemporaine)

Rendre la gomme magique L’outil Gomme permet de n’effacer que ce qui est écrit à l’aide des outils Stylo et Surligneur. En masquant, au préalable, les éléments d’un texte avec le Stylo (dans une couleur identique à celle du fond), il sera possible de « révéler » le texte, comme par magie, en passant la Gomme sur le tableau. La situation Situation 1 La page du tableau affiche un texte partiellement muet et des images dont la légende est masquée. Situation 2 On interroge les élèves à l’oral. Situation 3 Toujours à l’oral, on invite les élèves à compléter la phrase. La réalisation pas à pas On prépare la page de tableau, en disposant dans la page tous les éléments qui constituent l’exercice : la phrase à compléter (outil Texte), les images (outil Insérer un support), les textes des légendes (outil Texte), les rectangles (outil Formes). Pour préparer la Gomme magique : Pour utiliser la Gomme magique : La Gomme étant suffisamment large, un seul passage suffit pour tout révéler.

Oral d'Histoire de l'art du DNB - Nota bene* Ce début de semaine a été marqué par ma participation à l'évaluation de l'oral d'Histoire de l'art des 3e DP. Nous étions réparties en deux jurys de deux : dans le premier la prof d'art appliqué et une prof d'anglais, dans l'autre une prof de lettres/Histoire-géo et moi-même, chaque jury étant responsable d'une dizaine d'élèves. Après présentation de leur convocation et tirage au sort de l'oeuvre, les élèves bénéficiaient de : 5 min. de préparation et 5 min. de passage, une fiche support de préparation écrite à l'épreuve (rappel des étapes à suivre à l'oral) En l'occurence, les étapes à suivre étaient les suivantes : Description de l'oeuvre = "ce que je vois" Mise en parallèle = "ce que je déduis de la description faite" Développement des connaissances sur l'oeuvre = "ce que je reconnais et précise" Expression d'une opinion personnelle et argumentée = "ce que je pense de l'oeuvre" Du côté du jury, voici les points qui étaient soumis à évaluation :

L'Agence nationale des Usages des TICE - Produire une émission radio avec les TICE Professeur d’histoire-géographie au collège Germaine-Tillion de Lardy (91), animateur CLEMI et membre de la mission TICE de l’académie de Versailles, Erick Bureau réalise avec ses élèves de sixième et cinquième des reportages audio dans le cadre de l’accompagnement scolaire. Le projet « Journalistes en herbe » est un projet qui s'adresse aux écoles primaires, collèges et lycées. Alain Devalpo, journaliste reporter indépendant, collaborateur de médias nationaux (Radio France International, France Culture, Le Monde Diplomatique) et étrangers (Radio Suisse Romande), auteur de plusieurs livres, propose de construire un pont entre l’univers scolaire et le journalisme. Les productions journalistiques sont présentées sous diverses formes : journal, exposition, carnet de voyage, émission de radio, site Internet, blog. Le projet se déroule en trois phases au cours d'une année scolaire : Le déroulement L'apport pédagogique Les perspectives Erick Bureau

Histoire des arts vs mathématiques Par Julie Anne ...les amours impossibles ? C'est en tout cas ce que semblent penser certains de nos collègues matheux dès lors qu'on ose leur souffler qu'il serait peut-être envisageable d'entremêler les deux. Et quand on pousse un peu plus loin, jusqu'à évoquer l'idée de faire un travail concret sur ou autour des oeuvres, là ça devient plus compliqué. Mais en fouillant un peu la Toile, on se rend compte que c'est réellement possible de causer histoire des arts en cours de maths, et qu'en plus, il y a pas mal de choses à faire !" Un peu de théorie pour commencer En guise d'introduction : « Quand Art rime avec Maths » de Francine Velmer (Laboratoire Arithmétique et Algorithmique expérimentale, Université Bordeaux 1, Talence). Quand art rime avec maths de Francine Delmer Mathématique et art Propositions d'activités

Télécharger Finale NotePad - Gratuit, Editeur de partition musicale gratuit Afficher un corrigé L’enseignant a préparé un exercice sur une page du tableau. Le corrigé est également réalisé puis masqué. En classe, lorsque les élèves ont inscrit leurs réponses au tableau, l’enseignant fait apparaître le corrigé. Le principe Les éléments du corrigé sont préparés au préalable par l’enseignant et cachés grâce à l’utilisation des couches. La couche 1 contient les éléments de l’exercice, la couche 2 contient le corrigé.Le fichier d’annotation est sauvegardé avec la couche 2 Inactive et Invisible. La situation La page du tableau affiche les questions. En affichant les éléments contenus sur la deuxième couche, l’enseignant fait apparaître le corrigé de l’exercice. La réalisation pas à pas Tous les éléments qui constituent l’exercice (les images des paniers, les textes, les rectangles…) sont disposés sur la page en couche 1 (la couche par défaut). Faites attention à la mise en fond qui est irréversible. Pour préparer le corrigé : La gestion des couches

Dévoiler progressivement des éléments de cours Lorsqu’on devient un utilisateur régulier d’un tableau numérique interactif, on prend l’habitude de préparer à l’avance des pages de tableau contenant des éléments du cours que l’on souhaite montrer à certains moments prévus dans le déroulement de la séance. On construit ainsi la trame de son cours sur plusieurs pages de tableau rassemblées dans un fichier « tableau blanc », fichier propre au tableau utilisé (un fichier d’annotation pour Interwrite, un fichier paperboard pour Promethean, un fichier notebook pour SMART, un Bloc-notes pour Mimio…). Le Rideau et le Projecteur À certains moments du cours, on peut souhaiter ne pas montrer la totalité d’une page de tableau et ne dévoiler son contenu que progressivement. S’il s’agit de focaliser l’attention de son auditoire sur une partie précise de l’écran, on préférera le Projecteur (ou Spot) au Rideau. Les limites du Rideau L’utilisation du Rideau, bien que très facile à mettre en œuvre, ne convient pas toujours. Une solution

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