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Déforestation en Amazonie : 2020, la pire année depuis 12 ans Publié le : 01/12/2020 - 09:22 Selon les données officielles du gouvernement brésilien, la destruction de l'Amazonie atteint un nouveau record depuis un an, du jamais vu depuis ces 12 dernières années. Les écologistes brésiliens voient rouge et pointent du doigt la politique de Jair Bolsonaro. L'Amazonie brûle toujours. En 2020, plus de 11 000 km² de la plus grande forêt tropicale du monde sont partis en fumée, soit une hausse de 9,5 % par rapport l'année dernière, selon les données de l’Institut national de recherche spatiale brésilien (INPE). Ce triste record est bien supérieur au précédent qui remonte à 2018, un an avant l'arrivée au pouvoir de Jair Bolsonaro. En d'autres termes, le Brésil n'atteindra pas son propre objectif visant à réduire la déforestation à environ 3900 km², conformément à la loi sur le changement climatique de 2009. "Les efforts commencent à porter leurs fruits" "L'État incapable de prendre soin de nos forêts" Pression internationale Avec Reuters
Le cycle de l'eau souterraine | BRGM L'eau s'évapore au-dessus de l'océan et forme des nuages. L'eau rejoint alors le sol sous forme de pluie, mais, aussi, parfois, de grêle ou de neige. Une partie de cette eau ruisselle sur le sol. Une autre s'infiltre. L'eau va traverser la terre végétale. Lorsque l'eau rencontre une couche imperméable, elle ne peut plus descendre. Tant qu'il pleut, la nappe se remplit plus vite qu'elle ne se vide et son niveau monte. A partir du printemps et jusqu'à l'automne, même s'il pleut, l'évaporation par la chaleur et par les plantes va utiliser toute l'eau qui pénètre dans la terre végétale. L'eau, qui descend à travers une couche poreuse, s'accumule sur la couche imperméable et forme une nappe qui s'écoule horizontalement. Dans la nature, il y a souvent une superposition de plusieurs couches poreuses et imperméables.
Le cycle de l'eau - SIGES Bretagne - ©2021 Le cycle global de l’eau obéit à des mécanismes internes et externes complexes qui sont influencés par de nombreuses variables d’ordre physique et chimique. Grâce aux conditions particulières de température et de pression qui règnent sur Terre, l’eau y est présente dans ses trois états physiques : vapeur d’eau dans l’atmosphère, liquide sur la surface et dans la croûte terrestre, solide dans les pôles et aux sommets des hautes montagnes. C’est ainsi que l’on distingue quatre grands réservoirs d’eau : les mers et océans, les eaux continentales (superficielles et souterraines), l’atmosphère, la biosphère. L’eau transite d’un milieu à l’autre selon un cycle interne (cf. schéma ci-dessous) qui est commandé par des mécanismes physiques dont les moteurs essentiels sont : l’évaporation, la condensation, les précipitations. Le cycle de l’eau terrestre © BRGM – Michel Villey L’eau dans l’atmosphère, une étape importante du cycle de l’eau Le cycle de l’eau : un échange permanent En moyenne :
Les métiers de l’eau | BRGM Auprès de ma famille, de mes parents, je me présente en tant qu'ingénieur hydrogéologue, dans un 1er temps. Puis, après, je précise en leur disant que je travaille dans la gestion de l'eau, que j'étudie la circulation, le comportement des eaux souterraines en vue d'en améliorer la gestion et leur préservation. Ma mission principale est d'étudier le fonctionnement d'aquifères particuliers. Ce sont les aquifères karstiques, notamment les aquifères karstiques en Dordogne. Et j'ai aussi une 2nde mission, qui est d'étudier le fonctionnement de la nappe du Plio-Quaternaire. On a besoin de faire une multitude de mesures piézométriques sur le terrain pour évaluer le niveau de ces eaux. On va également faire des mesures en souterrain, notamment par le biais des carrières souterraines, qui nous permettent d'avoir une visualisation 3D de nos fracturations et de nos conduits karstiques. Pourquoi j'ai choisi ce métier ? Pourquoi c'est un métier d'avenir ?