Lawrence Lessig | Wikipédia
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lawrence Lessig Lawrence Lessig (né le 3 juin 1961 dans l'État du Dakota du Sud aux États-Unis) est un juriste américain de notoriété internationale. Spécialiste de droit constitutionnel et de droit de la propriété intellectuelle, il est un défenseur réputé de la liberté sur Internet et s’oppose à une interprétation extensive du droit d'auteur qui porte atteinte au potentiel de création et aux échanges en ligne. Biographie[modifier | modifier le code] Lawrence Lessig a été l'assistant (clerk) de plusieurs magistrats réputés dont le juge Antonin Scalia, à la Cour suprême des États-Unis et le juge Richard Posner, à la Cour d'appel des États-Unis[3]. Il a commencé sa carrière universitaire en étant professeur assistant à l'université de Chicago entre 1991 et 1997. En 2002, Lawrence Lessig a reçu le prix pour le développement du logiciel libre de la Free Software Foundation[4]. Engagements[modifier | modifier le code]
Remix (book)
2008 book by Lawrence Lessig Lessig outlines two cultures - the read-only culture (RO) and the read/write culture (RW). The RO culture is the culture we consume more or less passively. The information or product is provided to us by a 'professional' source, the content industry, that possesses an authority on that particular product/information. Analog technologies inherently supported RO culture's business model of production and distribution and limited the role of the consumer to just that, 'consuming'. Digital technology, however, does not have the 'natural' constraints of the analog that preceded it. As opposed to RO culture, Read/Write culture has a reciprocal relationship between the producer and the consumer. Lessig posits that digital technologies provide the tools for reviving RW culture and democratizing production. The Internet and Commons The internet is essentially the hub for this type of economy. Free Software Remixing is this software's very nature. Books portal
France - WWOOF World Wide Opportunities on Organic Farms (France)
Pour le WWOOFer Comment ça marche ? Les hôtes vous accueillent comme un(e) ami(e), voire même comme quelqu'un de leur famille, c'est à dire que vous êtes nourri et logé à la même enseigne. Attention : aucune des personnes ne doit percevoir d'argent, le but de WWOOF est de s'enrichir en rapports humains, de découvrir et d'apprendre dans une ambiance « écolo » UNIQUEMENT. Cette expérience vous permettra : - de découvrir les techniques de l'agriculture biologique - de connaître des façons de vivre saines, alternatives - d'avoir plus d'informations, de comprendre le mouvement biologique et de participer à son développement - d'offrir aux citadins une expérience de la vie et du fonctionnement des fermes - de visiter la région où vous êtes et de vous intégrer à la vie locale - et surtout de croquer la vie à pleine dents ! +++++ Pour vous accompagner, un guide, indépendant de l'association, rédigé par une ancienne WWOOFeuse est disponible ici Haut de Page Pour l’hôte WWOOF est un échange.
La Fabrique du Libre
Creative Commons
Organization creating copyright licenses for the public release of creative works Creative Commons (CC) is an American non-profit organization and international network devoted to educational access and expanding the range of creative works available for others to build upon legally and to share.[3] The organization has released several copyright licenses, known as Creative Commons licenses, free of charge to the public. These licenses allow authors of creative works to communicate which rights they reserve and which rights they waive for the benefit of recipients or other creators. The organization was founded in 2001 by Lawrence Lessig, Hal Abelson, and Eric Eldred[4] with the support of Center for the Public Domain. In 2002, the Open Content Project, a 1998 precursor project by David A. Purpose and goal[edit] Creative Commons Japan Seminar, Tokyo (2007) Made with Creative Commons, a 2017 book describing the value of CC licenses. Creative Commons network[edit] Japan[edit] South Korea[edit]
Wwoofing : mode d'emploi
Besoin de vous évader, d’aller voir ailleurs, de vous rapprocher de la nature… mais avec quel argent ? La solution est toute trouvée grâce au wwoofing : choisissez le pays qui vous plaît, et partez offrir vos services quelques heures par jour dans une ferme bio en échange de quoi vous serez logé et nourri ! Une expérience à tenter de toute urgence. 1. Né dans les années 70 chez les britanniques, le concept du wwoofing, ou « Willing Workers on Organic Farms » s’est propagé au monde entier. La journée-type d’un wwoofer : Début de matinée : petit déjeuner avec la famille ou les autres wwoofers. L’expérience vous tente ? Une exception : Colombie, Croatie, Islande, Kenya, Laos… Près de 50 pays à travers le monde ne possèdent pas d’organisme national et se sont réunis pour créer une association de wwoofing internationale, que vous trouverez ici : www.wwoof.org Un conseil avisé : échangez plusieurs mails avant de vous décider pour une ferme plutôt qu’une autre en demandant des précisions :
Framakey
Remix culture
Remix culture, sometimes read-write culture, is a society that allows and encourages derivative works by combining or editing existing materials to produce a new creative work or product.[2][3] A remix culture would be, by default, permissive of efforts to improve upon, change, integrate, or otherwise remix the work of copyright holders. While a common practice of artists of all domains throughout human history,[4] the growth of exclusive copyright restrictions in the last several decades limits this practice more and more by the legal chilling effect.[5] As reaction Harvard law professor Lawrence Lessig, who considers remixing a desirable concept for human creativity, works since the early 2000s[6][7] on a transfer of the remixing concept into the digital age. Lessig founded the Creative Commons in 2001 which released Licenses as tools to enable remix culture again, as remixing is legally prevented by the default exclusive copyright regime applied currently on intellectual property.
Framabook | Livres libres
Lawrence Lessig, l'ami des damnés du web
Temps de lecture: 17 min À 56 ans, Lawrence Lessig a un CV plus long que le bras (littéralement) et accompli plus que certains ne pourraient le faire en dix vies. Universitaire, constitutionnaliste, figure de proue des défenseurs d'internet, il est une icône geek qui s'attaque aujourd'hui à la corruption et à la défense de réformes pour la démocratie, mais qui a aussi été candidat à la Maison-Blanche... Le documentaire de Flore Vasseur est assez éloigné de celui de Laura Poitras, Citizenfour. Lawrence Lessig estime énormément Snowden. «Avant la conférence, j’ai lu tout ce que pouvais sur les décisions qui l’ont poussé à faire ce qu’il a fait. Lawrence Lessig a demandé en septembre dernier à ce qu'il soit grâcié, en raison de l'utilité publique des informations divulguées. L'assistant progressiste d'un juge conservateur Lawrence Lessig ne s'imaginait pas un tel destin quand il s'est lancé dans une carrière d'universitaire au début des années 1990. Le «Elvis du droit numérique»