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Catabase (littérature)

Catabase (littérature)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La catabase (du grec ancien κατάϐασις / katábasis, « descente, action de descendre ») est un motif récurrent des épopées grecques, traitant de la descente du héros dans le monde souterrain, les Enfers. C'est l'une des épreuves qualificatives les plus décisives de l'initiation et de la formation du héros épique. « La catabase est la descente de l'esprit, soit imaginaire, soit rituelle (ex. : descendre à la grotte d'Éleusis), soit spirituelle » ; elle a lieu « soit en enfer (ex. : Orphée descendant chercher Eurydice aux Enfers) soit au royaume des morts (ex. : Jésus, selon Matthieu, XXVII), soit à l'intérieur de la Terre (ex. : l'antre de Trophonios) ; le but est nécromantique (acquérir des savoirs ou pouvoirs par les morts), ou chamanique (extase, guérison, recherche des âmes, etc.) ou initiatique (revenir à l'origine ou à 'l'intérieur') ou symbolique. » — Pierre A. — Reynal Sorel, apud Dictionnaire critique de l'ésotérisme, PUF, 1998, p. 265. Related:  MytheOccultisme / Ésotérisme / Religion

La mythologie égyptienne La mythologie prend une place importante dans la civilisation égyptienne antique. C’est probablement l’une des mythologies comprenant le plus de dieux. Pendant plus 3000 ans, les égyptiens s’évertuèrent à les honorer, érigeant des temples et faisant des offrandes aux pieds des statues. A l’origine du monde : Le Noun et les premiers dieux A l’origine, il y avait le Noun, le chaos liquide : la crue du Nil mélangée avec de la boue. D’après le point de vue Héliopolitain, la vie est née à Héliopolis, la cité du soleil grâce à l’Ennéade : le groupe des neuf dieux. Quant aux prêtes memphites, ils envisagent la création du monde avec le dieu Ptah, dieux des métallurgistes, artisans et architectes. L’humanité face aux dieux : la punition d’Atoum et l’incontrôlable déesse Sekhmet Au début du monde, Atoum réunit les dieux révoltés contre lui, pour punir l’humanité jugée ingrate. Sekhmet fait partie de la triade Memphite avec Ptath dont elle est l’épouse et leur enfant Nefertoum. Le déclin des dieux

Anabase (religion) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Anabase. On appelle anabase, dans un contexte religieux, la montée de l'esprit. Le mot appartient au culte des Mystères grecs (dont les Mystères d'Éleusis). « L'anabase est l'ascension de l'esprit, soit imaginaire (ex. : tantrisme), soit rituelle (ex. : ascension d'une montagne sacrée), soit spirituelle (ex. : Mahomet, Coran, LIII, 4-10). « Une catabase est la descente effectuée de plein gré par un homme vivant dans le royaume des morts, l'Hadès... Il ne faut pas confondre l'anabase avec des notions proches : ni avec l'ascension, qui est une montée du corps, ni avec l'extase. Corpus Hermeticum, I : Poimandrès, § 1 : « Ma pensée s'en était allée planer dans les hauteurs, tandis que mes sens corporels avaient été mis en ligature. »Coran, LIII : « C'est seulement une Révélation qui lui a été inspirée.

Tantrisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le tantrisme dont le mot d'origine occidentale inventé au XIXe siècle est dérivé du terme tantra[1] (sanskrit selon IAST ; devanāgarī : तन्त्र)[2] désigne un ensemble de textes, de doctrines, de rituels et de méthodes initiatiques qui ont pénétré de façon diffuse la plupart des branches de l'hindouisme[3], et dont la définition exacte ainsi qu'une origine historique restent un sujet de discussion parmi les spécialistes occidentaux[4]. Il s'exprime dans des textes ou tantra (qui signifie « trame », « chaîne », d'un tissu et, au figuré, se déroule en s'enchaînant: mais aussi par la suite, « doctrine », « règle » et « livre (doctrinal) »[5]) révélés, selon la légende, par Shiva Lui-même[6] spécialement pour l'homme déchu du dernier âge, selon la cosmologie de l'Hindouisme. La littérature tantrique se compose de textes qui ont des noms divers comme les tantra, les saṃhitā, les āgama et même certains sūtra[8]. Lingam et yoni — Gabriel Pradiipaka

Bibliotheca Classica Selecta Lubin Baugin Lubin Baugin (né vers 1612 à Pithiviers ou à Courcelles-le-Roi - mort en 1663 à Paris) est un peintre français du XVIIe siècle. Biographie[modifier | modifier le code] Un peintre de natures mortes[modifier | modifier le code] Né à Pithiviers ou à Courcelles-le-Roi dans une famille aisée, Lubin Baugin se forme dans l'entourage des peintres de Fontainebleau, avant de rejoindre Paris dans les années 1628-1629. Son origine provinciale lui interdit, dans un premier temps, d'entrer dans la confrérie des peintres parisiens et de pratiquer les sujets les plus élevés de la hiérarchie des genres. Le voyage en Italie[modifier | modifier le code] Le retour à Paris et la gloire[modifier | modifier le code] De retour à Paris, Baugin s'installe pont Notre-Dame. Le lendemain de sa mort, le 11 juillet 1663, il est enterré à l'église Saint-Sulpice, à Paris. Périodes[modifier | modifier le code] On a longtemps pensé que trois périodes ponctuent son œuvre : De son œuvre entier[modifier | modifier le code]

Vipassanā Vipassanā (pāli) ou vipaśyanā (विपश्यना, sanskrit; chinois 觀 guān; tibétain ལྷག་མཐོང་, lhaktong) désigne dans la tradition bouddhique la « vue profonde »[1] ou « inspection »[2], ainsi que les pratiques de méditation qui y sont associées. C'est la deuxième étape des pratiques de méditation dans le bouddhisme, qui est utilisée après samatha, « la pacification mentale ». Certains scientifiques étudient aujourd'hui cette méditation issue de la tradition spirituelle orientale et qui est devenue populaire en Occident au XXe siècle, notamment par l'intermédiaire de Mahasi Sayadaw[3], S. N. Goenka[4] et Ajahn Chah[5]. Définition[modifier | modifier le code] Vipassanā peut être défini comme « la lumière intuitive apparaissant brusquement et révélant la vérité sur l'impermanence, sur la misère et sur l'impersonnalité de tous les phénomènes corporels et mentaux de l'existence[2] ». Relation avec Samatha[modifier | modifier le code] Pratique[modifier | modifier le code]

Les légendes de la mythologique scandinave : Óðin, Loki, Þórr, Fenrir, hydromel, Sleipnir, Baldr Plus d’un millénaire est passé depuis l’abandon de leur religion païenne par les anciens scandinaves. Le blanc christ a progressivement effacé des traditions les rites et mythes des anciens Dieux nordiques. Óðin, Þórr, Freyja... Sans les deux Eddas, aujourd’hui, personne ne connaîtrait leur histoire, et Tolkien n’aurait vraisemblablement pas écrit "Le Seigneur des anneaux". Les sources Pour ce qui est des sources contemporaines, peu d’éléments restent disponibles. Car les mythes païens se transmettaient principalement oralement. Après la conversion des scandinaves au catholicisme, la transmission s’est perdue, peu à peu. L’Edda poétique est le premier texte à mettre par écrit certains de ces mythes. Snorri Sturluson compléta ce texte avec son Edda en prose. Les scaldes eux-même dans leurs poèmes donnèrent quelques indications quant aux mythes nordiques. Les principaux mythes Óðin et l'hydromel Óðin déguisé, arrive près de l’endroit où est gardé le nectar. Þórr et le géant Geirod

Yi Jing Le Yi Jing est souvent représenté par le taijitu entouré des huit trigrammes. Le Yi Jing (chinois simplifié : 易经 ; chinois traditionnel : 易經 ; pinyin : yì jīng ; Wade : i4ching1, également orthographié Yi King ou Yi-King), est un des classiques chinois, dont le titre peut se traduire par « Livre des mutations », « Classique des changements » ou « Canon des mutations » ou encore « Livre des transformations ». Il s'agit à l'origine d'un traité de divination, appelé Zhou Yi (chinois : 周易 ; pinyin : Zhōu Yì ; Wade : Chou1 I4) c'est-à-dire « changements de Zhou », pour la raison que son élaboration date du Ier millénaire avant l'ère chrétienne, époque des Zhou (1027-256 av. J.-C.). Il donne l'interprétation de tirages divinatoires effectués avec des tiges d'achillée millefeuille. Dans le courant de la seconde moitié du Ier millénaire av. Le Yi Jing est l'un des principaux classiques chinois, et l'un des ouvrages les plus importants dans l'histoire de la culture chinoise. 訟:有孚,窒。 九二:鳴鶴在陰。

Généalogie des divinités grecques selon Hésiode, mythes et légendes Ce site présente UNE généalogie des Dieux grecs. “Une généalogie” et pas “La …” car il n’existe pas d’unique version. Chacune diffère selon les auteurs. La référence, ici, c’est Hésiode. On s’aperçoit facilement, dans cette représentation de la descendance du Chaos et dans les histoires vécues par les Dieux, Déesses, Titans, Géants, Nymphes, que leurs relations et aventures n’ont pas grand chose de “divin”. Vous trouverez ici une nouvelle version un peu plus interactive sinon l’ancienne est à droite! L'Alchimie neil powell Skip to main contentAccessibility help 10 results Web results L'Alchimie de Neil Powell Relié Commandez cet article chez momox-shop.fr. Découvrez et achetez L'Alchimie - Neil Powell - le Livre de Paris sur www.librairiesdeportmaria.fr. Rating: 3 - ‎1 vote Sep 21, 2019 - Edito L'alchimie - Présence De L'inexpliqué de Powell Neil - Livre. PAULLINI (Christian Franz), Neuvermehrte heylsame DreckApotecke, Francfort, 1696. Original, colorful works of art constructed from recycling discarded book covers. Missing: Alchimie The latest Tweets from Neil Powell (@neilpza). Die Transparenz gläsernen Materials spielte in der Alchimie eine besondere ... so einen 50 Neil Powell, Die Wissenschaft der Alchemisten, Frankfurt, 1980, 7. View Neil Powell's profile on LinkedIn, the world's largest professional community. Johannes Daniel "Neil" Powell (born 28 June 1978) is a former South African rugby union player and currently the coach of the South African national rugby ... Notices about Filtered Results

Liste de créatures légendaires Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette liste regroupe les créatures légendaires (ayant un article dédié), c'est-à-dire des créatures dont l’existence, non prouvée de manière scientifique, repose sur des croyances passées ou actuelles. Elle ne reprend pas les divinités ayant fait l'objet de cultes. Les créatures fictives modernes de la fantasy et de la fiction ne sont pas incluses. A[modifier | modifier le code] B[modifier | modifier le code] C[modifier | modifier le code] D[modifier | modifier le code] E[modifier | modifier le code] F[modifier | modifier le code] G[modifier | modifier le code] H[modifier | modifier le code] I[modifier | modifier le code] J[modifier | modifier le code] K[modifier | modifier le code] L[modifier | modifier le code] M[modifier | modifier le code] N[modifier | modifier le code] O[modifier | modifier le code] P[modifier | modifier le code] Q[modifier | modifier le code] R[modifier | modifier le code] S[modifier | modifier le code] T[modifier | modifier le code]

Magnificat Le texte contient de multiples références à l'Ancien Testament, notamment au Premier Livre de Samuel et aux Psaumes. Il se situe au centre de l'épisode de la Visitation, qui marque formellement le passage du cycle du Baptiste à celui de Jésus et, sur le fond, de l'Ancienne à la Nouvelle Alliance. Depuis la Renaissance, le Magnificat a inspiré de nombreux compositeurs de musique classique, dont Claudio Monteverdi, Marc-Antoine Charpentier, Henry Purcell, Antonio Vivaldi, Jean-Sébastien Bach, Anton Bruckner et Arvo Pärt. Le Magnificat dans le Nouveau Testament[modifier | modifier le code] Un texte unique[modifier | modifier le code] Le titre de cette prière, Magnificat, est le premier mot (l’incipit) de sa traduction latine dans la Vulgate. Ce passage ne figure dans aucun autre texte néotestamentaire : il appartient au Sondergut (« tradition propre ») de l'Évangile selon Luc[1]. Contenu[modifier | modifier le code] Thématique[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

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