Financement de la recherche pharmaceutique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le financement de la recherche pharmaceutique recouvre l'ensemble des soutiens financiers directs et indirects apportés aux chercheurs travaillant au développement de médicaments. Le participation de l'industrie pharmaceutique à ces apports pose parfois des questions d'ordre éthique, la recherche du profit qui motive ses acteurs, les laboratoires pharmaceutiques, étant potentiellement conflictuelle avec les objectifs de santé publique qui s'y attachent. Types de soutiens[modifier | modifier le code] Comme l'indiquent plusieurs chercheurs, les laboratoires financent de nombreux projets universitaires[1]. Soutiens logistiques[modifier | modifier le code] D'après le Professeur Frédéric Rouillon, chef de service de psychiatrie exerçant à l'hôpital Saint-Anne à Paris, les experts universitaires bénéficient notamment d'un soutien logistique qui leur permet de développer leurs activités académiques. Recherches soutenues[modifier | modifier le code]
Économie sociale de marché D'après Alfred Müller-Armack, inventeur de la formule, « son caractère social réside dans le fait qu’elle est en situation de proposer une masse diversifiée de biens de consommation à des prix que le consommateur peut contribuer à déterminer par la demande[1]. » Naissance en Allemagne[modifier | modifier le code] On doit la première utilisation de ce terme à l'économiste allemand Alfred Müller-Armack dans un ouvrage de 1946, Wirtschaftslenkung und Marktwirtschaft [2]. Le nom que les ordolibéraux donnent à leur doctrine est l'économie sociale de marché, qui donne l'idée que le libre-marché est naturellement social. Ce système s'oppose à l'économie planifiée, à l'économie de marché complètement libre[4] et à l'économie mixte[3]. Il cherche à obtenir et maintenir à la fois une croissance élevée, une faible inflation, un faible chômage, de bonnes conditions de travail et une protection sociale. La réforme est un succès, qui abolit le marché noir. Royaume-Uni[modifier | modifier le code]
1957 : CCR : Centre commun de recherche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir CCR. Le Centre commun de recherche (CCR, Joint Research Centre en anglais) est le laboratoire de recherche scientifique et technique de l'Union européenne. Cette direction générale de la Commission européenne a été créée dans le but d'apporter les conseils scientifiques et le savoir-faire technique nécessaires pour soutenir les orientations politiques choisies par l'Union. Mission[modifier | modifier le code] La mission du Centre commun de recherche est de fournir un soutien scientifique et technique à la conception, à l'élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des politiques communautaires en répondant aux demandes de celles-ci. Les sept instituts du Centre commun de recherche sont : Historique[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Article connexe[modifier | modifier le code] Recherche européenne Lien externe[modifier | modifier le code] Site du CCR
John Maynard Keynes John Maynard Keynes en 1933. Signature Jeune, il rencontra aussi le succès en tant qu’auteur, avec l'écriture d'un livre sur le traité de Versailles intitulé Les Conséquences économiques de la paix, publié en 1919, et la rédaction d'articles pour des journaux et des revues. La force de John Maynard Keynes réside dans le fait qu'à la différence de ses prédécesseurs, il élabore une théorie nouvelle ainsi que les outils conceptuels nécessaires à la mise en place de politiques économiques alternatives. Sa pensée, notamment le courant keynésien dit de la synthèse néoclassique qui prédomina longtemps aux États-Unis[Note 3], perdit, de l’aveu même de ses partisans, une grande partie de son influence à partir du début des années 1980 avec la montée en puissance du monétarisme et de la nouvelle économie classique, qui promouvaient alors la dérèglementation financière. Jeunesse et vie culturelle[modifier | modifier le code] Famille et milieu d'origine[modifier | modifier le code] Livres M.
25 mars 1957 "Euratom" Traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (dit traité Euratom) est le traité fondateur de la communauté éponyme. Il a été signé en 1957 à Rome, en même temps que le Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. Contexte[modifier | modifier le code] Le traité suit la mise en place de la Communauté européenne du charbon et de l'acier, qui est entrée en vigueur en 1952 et qui constitue la première réalisation d'importance dans l'intégration de l'Europe. Cet échec provoqua dès 1955 des tentatives de relance du processus d'intégration européenne avec la Conférence de Messine. C'est ainsi qu'en 1957, les traités de Rome furent signés à Rome. Objectifs[modifier | modifier le code] La création de l'Euratom fait suite à la nécessité de l'indépendance énergétique des États fondateurs qui ne pouvaient seuls investir dans l'énergie nucléaire. Structure du traité[modifier | modifier le code]
Spéculation Dans le domaine philosophique, on nomme spéculation le fait de s'interroger sur les conséquences d'une hypothèse si elle était vraie, sans nécessairement la considérer au départ comme telle. Sur un marché quelconque, on nomme spéculation par extension de langage « l'activité consistant à tirer profit par anticipation de l'évolution à court, moyen ou long terme du niveau général des prix ou d'un prix particulier en vue d'en retirer une plus-value ou un bénéfice. »[1]. que les mouvements spéculatifs sont utiles sinon inévitables en ce qu'ils détectent les déséquilibres existants ou potentiels d'un marché ;qu'en vertu de l'efficience du marché financier ces mouvements contribuent à la stabilisation des prix ou à l'atténuation de ses fluctuations. Leur action sur la détermination des prix serait d'obtenir le niveau de prix assurant la meilleure allocation des ressources[2]. Critiques qui s'alimentent du constat de déséquilibres récurrents, notamment dans le domaine financier ou immobilier.
Industrie pharmaceutique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'industrie pharmaceutique est le secteur économique qui regroupe les activités de recherche, de fabrication et de commercialisation des médicaments pour la médecine humaine ou vétérinaire[1]. C'est l'une des industries les plus importantes économiquement, au monde. Cette activité est exercée par les laboratoires pharmaceutiques et les sociétés de biotechnologie. Historique[modifier | modifier le code] La pharmacie la plus ancienne recensée dans l’histoire date de 754 [2]. Au XIXe siècle, nombre de pharmacies européennes et nord-américaines sont devenues des compagnies pharmaceutiques à part entière, et, de fait, la plupart des compagnies pharmaceutiques actuelles ont été fondées à cette époque. Aux XXe siècle, les découvertes centrales des années 1920 et des années 1930 dans le domaine de la médecine, telles que la pénicilline et l’insuline, commencent alors à être produites en quantité industrielle et distribuées au détail.
Système monétaire international Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On appelle Système monétaire international (SMI) les méthodes utilisées pour l'échange de biens, de dettes et de services entre pays de devises différentes. Il a souvent changé : compensation, étalon or, étalon de change or multipolaire, étalon de change or établi sur le dollar, changes flottants. La crise de 1929, jugée responsable de l'ampleur et de la durée de la dépression, a conduit à une coopération internationale, affirmée par les accords de Bretton Woods, instaurant un système de changes fixes mais ajustables, régulé par le Fonds monétaire international (FMI). L'abandon de la convertibilité en or du dollar en 1971 a débouché sur un système moins régulé de changes flottants. La crise financière actuelle repose la question de l'organisation d'un système monétaire international plus stable et plus régulé. Les différents types de systèmes monétaires internationaux[modifier | modifier le code] La compensation[modifier | modifier le code]
13 décembre 2007 Traité de Lisbonne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le traité de Lisbonne Ce traité a été préparé au second semestre 2007 par une conférence intergouvernementale (CIG) constituée pour pallier la non-ratification du traité établissant une constitution pour l'Europe de 2004[1]. À la différence du traité constitutionnel de 2004, qui remplaçait les deux grands traités par un texte nouveau, le traité de Lisbonne conserve les traités existants tout en les modifiant en profondeur : Le traité de Lisbonne est entré en vigueur le [2], soit le premier jour du mois qui suit l’achèvement du processus de ratification dans les vingt-sept États signataires de l'époque, avec dépôt des instruments de ratification à Rome. Généralités[modifier | modifier le code] Le mandat donné à la « CIG 2007 » résulte du « projet de mandat pour la CIG », un document de quinze pages[4], annexé aux conclusions du Conseil européen de Bruxelles du . Les chefs d’État et de gouvernement réunis à Lisbonne le .
Marché monétaire Le marché monétaire désigne le marché informel où les institutions financières et les grandes entreprises (marché des billets de trésorerie) placent leurs avoirs ou empruntent à court terme (moins d'un ou deux ans). Les institutions financières recouvrent un grand nombre d'acteurs parmi lesquels les Trésors nationaux, les banques centrales, les banques commerciales, les gestionnaires de fonds, les assureurs, etc. Avec l'adoption des changes flottants, la monnaie est devenue une commodité comme les autres, un bien qui s’achète et se vend. Le marché monétaire est un élément essentiel au fonctionnement des marchés de capitaux. Mécanismes[modifier | modifier le code] Les interventions de la banque centrale sur ce marché correspondent au « refinancement ». Les opérations de la banque centrale sur les taux d'escompte et les opérations d'open market, conjointement avec les règles de mises en pension de certains actifs monétaires, sont censées réguler ce marché. Politique monétaire
Conflits d’intérêts, marasme éthique, influence pharmaceutique... Menaces sur la médecine (Roy Poses et Health Care Renewal) Par ses activités, prises de positions et analyses, le Dr Roy Poses est l’une des principales figures de la résistance aux influences et manipulations de l’industrie pharmaceutique. Depuis 1994, il est professeur associé de médecine à l’Université de Brown (Etats-Unis), l’une des plus réputées du pays. Depuis 1999, il est aussi professeur associé de médecine interne à la Virginia Commonwealth University. Il a fondé et préside la Foundation for Integrity and Responsibility in Medicine (FIRM). Roy Poses est le fondateur et principal auteur du meilleur blog / site sur le complexe médico-industriel : Health Care Renewal. Le blog Health Care Renewal s’est imposé comme LA meilleure référence internationale sur ces sujets, sans aucun équivalent français comparable. Par les nombreux liens, les lecteurs peuvent approfondir les dimensions évoquées. Le texte The Lancet Emphasizes the Threats to the Academic Medical Mission a été posté le 14 décembre 2010 par le Dr Roy Poses. Par le Dr Roy Poses 1.
Euro En usage sous sa forme scripturale le 1er janvier 1999, il est mis en circulation le 1er janvier 2002 à 0 h sous sa forme fiduciaire. Il succède à l'ECU, « l'unité de compte européenne » mise en service en 1979. L'euro est la deuxième monnaie au monde pour le montant des transactions[4], derrière le dollar américain et devant le yuan chinois. Depuis octobre 2006, elle est la première monnaie au monde pour la quantité de billets en circulation[5]. Au 1er janvier 2022, 28 187 546 465 billets en euro étaient en circulation dans le monde, pour une valeur totale de 1 544 370 485 175 €, ainsi que 141 184 192 506 pièces de monnaie pour une valeur totale de 31 233 475 945 €, l'ensemble représentant la somme de 1 575 603 961 120 €[6]. Fonctionnement[modifier | modifier le code] L'euro est géré par la Banque centrale européenne (BCE) qui siège à Francfort et par l'Eurosystème, composé des banques centrales des États de la zone euro. Émission et contrôle[modifier | modifier le code] Notes : J.
Jacques Delors : l’homme des firmes Les « lobbies », on croirait qu’ils se cachent sous les tapis. Pour mesurer leur influence, il suffit pourtant d’écouter Jacques Delors, l’ancien président (socialiste) de la Commission. Très fier d’avoir bâti l’Europe main dans la main avec les patrons… « Les dirigeants de l’ERT ont été à l’avant garde du soutien de mon idée. » C’est Jacques Delors qui l’explique tranquillement. Pour bâtir l’Europe, voilà avec qui le président de la Commission s’est allié : avec l’ERT, la European Round Table, qui rassemble 45 « capitaines d’industrie », les PDG de Total, Nestlé, Renault, Siemens, etc. En janvier 1985, le président de l’ERT (et de Philips), Wisse Dekker, avait publié « Europe 1990 : un agenda pour l’action », un document où il proposait de faire tomber les barrières commerciales et les frontières fiscales. Avancer à 140 à l’heure... C’est qu’à l’automne 1991, l’Europe se trouve, à nouveau, à un moment clé de son histoire : le continent est débarrassé du communisme. Un ver dans la gauche
Récession (économie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), une récession est une période d'au moins deux ans pendant laquelle l'écart de production cumulé atteint au moins 2 % de Produit intérieur brut (PIB) et la production devient inférieure d'au moins 1 % à la production potentielle durant une année au moins[3]. Selon un critère plus simple, une récession économique survient lorsque le taux de croissance du PIB diminue tout en restant positif pendant deux ou trois trimestres consécutifs (s'il n'y a qu'un trimestre de baisse puis une reprise au trimestre suivant, on ne parle pas de récession économique). En anglais, recession correspond au français « contraction ». Une récession (voire une contraction) peut s'inscrire dans une variation cyclique de la production[5] : Collectif, Les causes de la récession de 2009 Portail de l’économie